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 So. The son of the king ... Me ! [fini !]

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MessageSujet: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 18:43

Je suis déjà désolé de la quantité de travail que je vous donne, mais c'est à cause de Cassian Razz Non pas que je le connaisse, mais quand je vois la qualité de ce qui est écrit ... Je me mets à écrire. Beaucoup. Et puis, je m'excuse aussi de la piètre qualité de la dernière partie ... Merci d'avance.



Identité

Nom : MacFallen
Prénom : James
Surnom : Personne ne s’avise à lui en donner, sous peine d’être immédiatement renvoyé de l’école. Sauf son père, qui, dans un moment de mièvrerie, se plaît à le surnommer mon petit canard, mon sucre, et j’en passe.
Âge : 9 ans
Année : 1999
Nationalité : Anglaise
Orientation Sexuelle : A 9 ans, ce n’est pas dans les questions que l’on se pose. Bien entendu, son regard se porte parfois sur une jolie élève, ou sur un joli professeur, mais il ne s’est jamais vraiment posé la question.
Sang : Sang pur, évidemment.

So. The son of the king ... Me ! [fini !] Jane510

Monde magique

Maison souhaitée : Bien entendu, c’est son père qui aura sans doute le dernier mot, et puis, il n’est pas encore rendu à cette étape-là de la vie. En tout cas, James se verrait bien parmi les rangs des … Gryffondors. Allez savoir pourquoi … Mais Père le mettra sans doute parmi les Serpentards. Mais il a encore le temps de le convaincre de changer d’avis …
Baguette : C’est son père qui l’a choisi pour lui, évidemment, il voulait la plus belle, la plus puissante. Peut importait le prix. Sa baguette est composée de bois d’if, car c’est un bois maléfique et funéraire, dont la sève est un poison. Il symbolise la mort, mais aussi l’éternité, liant mort et naissance. La baguette est d’une longueur de 20 centimètres. En son cœur, on trouve de la poudre de diamant, et un cheveu de Vélane. Rien n’est trop beau pour faire plaisir à James.
Forme du Patronus : James ne peut décemment pas lancer un Patronus convenable. D’abord parce qu’il est trop jeune, et ensuite, parce qu’il faudrait qu’il ait un événement heureux à se rappeler … Donc, pour l’instant, son Patronus est une forme informe, un amas de fils argentés, comme des rubans de soie, mais en moins beau. Quand il arrivera à l’année où il apprendra le sort, ou quand son père daignera lui apprendre, son Patronus aura la forme d’un furet.
Forme de l'Epouvantard : Même s’il ne l’avouera jamais, James a une peur irrationnelle des lapins. Allez savoir pourquoi. Pourtant, il a été élevé dans la pure tradition des Démons. Il ne devrait avoir personne ni de rien ni de personne. Et pourtant …
Animal de Compagnie : Tous les élèves d’Hogwarts sont les animaux de compagnie de James. Il adore jouer avec eux.
Métier Envisagé : Prince des Ténèbres, Maître des 7 Démons. Mais James sait bien que son père ne lui laissera jamais sa place. Il cherche encore, mais il a le temps me direz-vous.

Réalité

Avatar : Jeremy Sumpter. D'ailleurs, si une âme aimante et compatissante passe dans le coin, j'veux bien un p'tit kit Razz
Pseudo : //
Prénom : Thomas
Âge : Age bête, âge con, âge de la raison … 17 !
Comment avez vous découvert le forum : Je suis sur un autre forum, donc je clique sur les partenaires, et je tombe sur le forum de Twilight (J’aime beaucoup les bouquins, mais j’avais pas envie de m’y inscrire). Du coup, je clique sur tous les partenaires de Twilight, et je tombe sur vous.
Comment le trouvez vous : L’image du début est vraiment magnifique, c’est pour ça d’ailleurs que je m’y suis arrêté. Je suis tombé de haut devant la qualité des rares postes que j’ai lu. Et je suis vite redescendu de mon nuage. Je ne voulais plus m’y inscrire du coup. J’avais trop peur d’être ridicule. Mais j’ai pris mon courage à deux mains finalement. J'ai posté, mais je me sens toujours aussi ridicule ... Quelqu'un pour m'aider ? Razz
Code : OK by Zaren. Et je dois dire que j’ai ramé. Pas pour le trouver. En fait, j’ai lu le règlement … 3 fois. Mais quand je passais sur cette phrase, je ne la comprenais pas. Ensuite, hop, un p’tit tour sur la fiche de présentation, et horreur, un code ! Mais j’ai pas vu de code ! Et finalement, pourtant, j’ai compris Razz


Dernière édition par James MacFallen le Mar 30 Déc - 20:27, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 18:44

Histoire

Préambule

So. The son of the king ... Me ! [fini !] Jane110


« Vous êtes comme les roses du Bengale, Marianne, sans épine et sans parfum. » - Alfred de Musset


Voilà comment on ne pourrait sans doute pas qualifier James. Et, même si vous osiez essayer, vous ne pourriez sans doute pas vous en vanter bien longtemps. Justement, James a un parfum. Unique. Et des épines. Nombreuses. Sûrement pas comme cette Marianne.
James est un petit morveux, imbu de sa personne, et imbu de son pouvoir. Il sait ce qu’il possède. Pratiquement tout. Il sait naturellement à qui il le doit, et il lui en est reconnaissant.
Ne vous fiez surtout pas à sa petite frimousse qui inspire le bonheur et la confiance. S’il a été créé, c’est pour une raison bien précise, ne vous en faites pas. Il sait se débrouiller seul, et il sait très bien faire ce pourquoi il est là. Un moindre faux pas de sa part, et c’est l’Enfer. Mais il y a sans doute déjà un pied. Voire plus …
Je sais la question que tout le monde se pose. Comment se fait-il que Faust McFallen, le célèbre directeur d’Hogwarts, le Prince des Ténèbres, le Maître des 7 Démons, puisse-t-il être le père d’un garçon aux apparences si adorables ? Comment se fait-il qu’il est un fils ? Avec qui l’a t’il eu ? A quel âge ? Comment se fait-il que le petit rôde toujours dans le coin ?
Vous croyez vraiment qu’après 9 ans passés auprès de Faust, le petit James n’a aucune séquelle. Bien sûr que non. Lorsque les élèves sont proches de Faust, leur péché capital est d’autant plus tentant. Donc, James, après presque 9 ans passés près de Faust, a beaucoup de tentations. En fait, il les a presque toutes. Sauf une, que son père a tenté d’éradiquer. La paresse. Intéressons-nous un peu aux trois péchés capitaux qui sont les plus présents chez James.

« La médisance, ce sont des ragots que la morale rend fastidieux. » - Oscar Wilde


Découvrez Various Artists!

La colère. James est un enfant colérique. Il sait ce qu’il veut, et il fera tout pour l’avoir. Et si vous ne voulez pas, vous devrez en répondre devant son père. Ce que je vous déconseille fortement. Du coup, James a pris l’habitude d’avoir ce qu’il veut. C’est un enfant affreusement pourri-gâté. Et même plus. C’est donc normal que les élèves évitent son chemin, préfèrent s’écarter devant lui, voire s’aplatissent quand il passe, pour les plus peureux d’entre eux. Le pire, c’est quand il entre dans une colère folle. Il crie, saute partout, court dans les couloirs, pleure, re-crie, re-saute, re-court, re-pleure. Il est très difficile de l’arrêter. A part en lui donnant ce qu’il demande.

« L'amour, c'est le soleil après la pluie, et la luxure, c'est l'orage après le soleil. » - Shakespeare


Découvrez The Virgins!

La luxure. Le plus grand rêve de James serait sans doute de faire comme Cléopâtre, prendre tous les jours des bains de lait d’ânesse pour avoir une belle peau. Ou alors … D’autres rêves dans le genre, tous aussi inutiles et chers les uns que les autres. Mais peu lui importait. Quand il voulait quelque chose, il l’avait, donc il n’y avait pas de problèmes. Il aimait aussi se rendre à Gringotts, et se vautrer dans l’argent amassé par son père, regarder les diamants qu’il conservait jalousement. Il aurait pu y passer des heures, et des heures … Si les banquiers ne restaient pas là à le fixer comme s’il était un fou. Mais trêve de plaisanterie, nous savons tous que la luxure, selon les catholiques, évoquent les dérives du plaisir sexuel … James n’en ai pas encore à ce stade là, mais, ne vous en faites pas, ça ne saurait tarder.

« Il n’y a que le père qui n’envie pas le talent de son fils.» - Goethe


Découvrez Sohodolls!

L’envie. Alors là, dire que James est envieux, c’est presque un euphémisme. Si quelqu’un a plus que lui, ce n’est sûrement pas pour longtemps. La réussite d’un autre, il ne peut certainement pas l’accepter, et vous savez comment il est … Il fera tout pour qu’un autre ne réussisse pas. Il envie tout ce qui peut être enviable. La beauté de Cassian Dale, le courage de Zaren Wisper, le chat d’Agathe Sagot, l’intelligence du Choipeau, … Bref, chacun au Château à quelque chose qui fait envie à James, le tout est de savoir quoi pour l’utiliser contre lui …


Dernière édition par James MacFallen le Mar 30 Déc - 20:30, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 18:44

Enfers, 1999, quelque part dans les sous-sols


Découvrez Frédéric Chopin!


« Où la passion rôde, la compétition guette. Ou serait-ce l’inverse ? » - Robert Blondin


« Comment as-tu pu ? Comment as-tu osé ? Et pourquoi ? »

Un sourire se dessina sur la bouche de la femme. De toute évidence, la situation paraissait drôle. Ce devait sans être la première. Et peut-être même la dernière. Ce qui ferait d’elle la seule, l’unique. Elle entrerait dans la postérité. Mais après tout, c’est ce qu’elle avait toujours recherché. Rentrer dans l’histoire. Peut lui importait les moyens, peut lui importait le temps, seul pour elle comptait le but. Et finalement, le voilà si proche, et pourtant si … lointain. Peut-être que la réalisation de son œuvre, de l’œuvre de toute une vie, elle ne la verra pas. Vivante en tout cas. Mais après tout, tout ce qui importait c’était sa réalisation. Et c’était en bonne voie.

« Réponds ! Comment as-tu pu ? »

Elle avait même réussi à l’énerver, lui le grand Faust, l’indomptable, le mauvais, l’indétrônable Faust. Il était là. A ses pieds. En train de la supplier. Il la suppliait. Rien que pour ça, elle pouvait rentrer dans la postérité. C’était tellement drôle. Si seulement le monde pouvait le voir. Il était vraiment ridicule. Répugnant. Insignifiant. A se traîner au sol pour avoir des réponses à ces questions. Depuis quand le maître des Démons ne pouvait-il pas avoir ce qu’il voulait ? Depuis quand se traînait-il à terre pour avoir une réponse à sa question ? Elle se mordit la lèvre inférieure. Avec une grande sensualité. Il ne pouvait jamais résister à cela. Elle le considérait à présent comme un faible. C’est elle qui aurait dû être à sa place. C’est elle qui était forte. Mais une femme sur un trône, il n’y a que la Reine Elizabeth, dans le monde des Démons, il n’était pas près à l’accepter.

« Quand ? Réponds-moi ! »

« … »

« S’il te plaît ! »


Et le voilà qui devenait poli. Il était vraiment trop faible. Il en devenait pathétique et mièvre. Mais qui donc avait eu le bon sens de le mettre sur le trône. Qui avait osé voter pour lui ? Qui avait osé lui faire croire qu’il avait la carrure pour cela ? Sans doute sa mère. Elle était très douée, elle aussi, pour manipuler le petit Faust.

« Le temps d’une gestation. Dans 9 mois, il sera là, près à t’aider. Ou à te succéder. »

Un terrifiant hurlement déchira l’air. De toute évidence, la nouvelle ne paraissait pas lui faire plaisir. De toute façon, rien ne paraissait lui faire plaisir. Il prenait un malin plaisir à dénigrer tout ce qu’on lui disait, donnait. Même les âmes qu’il fauchait ne lui donnaient plus la même jouissance qu’auparavant. Ce qui était sûr, c’est qu’il n’avait pas ses règles. La femme, non plus d’ailleurs. Elle l’avait remarqué depuis quelques temps. Elle ne s’en était pas inquiétée, puisqu’elle savait. Cela faisait parti du plan. Celui pour rentrer dans la postérité. Elle savait qu’il le prendrait mal. Elle savait aussi que cela lui passerait sans doute très rapidement. Bien sûr, cela ne faisait sans doute pas parti de ses plans. Il n’imaginait sans doute pas qu’il aurait un jour un descendant. Mais il finirait par s’en accommoder, et de vivre avec.

… Le temps d’une gestation …


Découvrez Leama!

« Ces plaisirs violents ont des fins violentes / Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu / Que leur baiser consume. » - Shakespeare


Elle était là. Au milieu de la pièce. Seule. Allongée à terre. Autour d’elle. Rien. Le néant. Elle pleurait. Ca ne devait pas se terminer comme ça. Comme pour lui. Elle se sentait si seule. Elle avait longuement espérée que, peut-être, il serait là. A attendre. A voir. Elle regrettait à présent. Tout paraissait tellement … parfait. Tout avait si bien marché. Ce ne pouvait tout de même pas se terminer maintenant. Comme une femme seule, abandonnée de tous, dans la plus grande pauvreté.

Soudain, elle entendit un bruit. Elle tendit l’oreille, et perçut un souffle rauque, une respiration lourde et saccadée. Il était là. Il était venu. Il voulait assister au miracle de la naissance. Au miracle de la vie. C’est un peu paradoxal tout cela, vous ne trouvez pas ? Le maître des Démons, le Prince des Enfers, qui vole les vies, assiste au miracle de la vie, à la naissance de sa descendance.

Pourquoi ne l’avait-il pas tuée ? Pourquoi n’avoir pas mis fin à ses jours, ainsi qu’à ceux de l’enfant. Peut-être qu’il avait un cœur. Peut-être qu’il avait des sentiments. Arrêtez de rêver ! Un cœur ? Vous me faites bien rire. Si le Prince des Enfers était là, c’est parce qu’il avait compris, compris qu’il avait besoin de cette femme, et surtout de cet enfant. Il pouvait bien entendu vivre sans amour, sans cœur, mais il avait besoin de l’enfant. Pas pour se donner bonne conscience après avoir fauché autant d’âmes, ni pour celles qu’il faucherait bientôt. Non, tout simplement car la femme avait raison. Il avait besoin de quelqu’un pour l’épauler, pour l’aider à accomplir ce pour quoi il était sur Terre. Mais si jamais le petit devenait trop envahissant, ou s’il voulait le tuer, il se montrerait aussi cruel que Cronos.

Le cri strident de la femme l’interrompit dans ses pensées quant à l’avenir de l’enfant qui sortirait, à en croire les cris, sous peu. Faust ne bougea pas. Faust ne fit aucun signe pour appeler, ou pour aider la femme. Il était trop absorbé par le miracle de la vie. C’était la première fois. La première fois qu’il voyait s’accomplir devant lui l’acte de donner la vie. Il trouva cela plus répugnant qu’autre chose, mais il laisser la « chose » continuer jusqu’à son terme. La femme était en sueur, au bord de la mort. Quelle ironie. Mourir en compagnie du Prince des Enfers, en donnant la vie, aux Enfers. Quelle fin ironique. Cela la fît même sourire. Dans son dernier souffle, elle supplia à son tour Faust.


« Embrasse-moi … Une dernière fois. »

Faust s’exécuta, respectant la volonté d’une femme qu’il avait haït, qu’il avait aimé, jusqu’au bout, et ce, même s’il ne voulait pas l’avouer. Lorsque les lèvres se rencontrèrent, un dernier frisson parcourut le corps de la femme, et ses yeux se fermèrent d’eux-mêmes. Elle était morte, mais elle avait réussi. Elle pourrait aller en Enfer l’âme en paix, ironique, n’est-ce pas ? Elle savait que sa progéniture ferait ce qu’on attendait d’elle, et qu’ainsi, elle, la seule femme à avoir jamais séduit le Prince des Enfers, et à avoir obtenu ce que jamais personne n’avait obtenu jusque là, rentrerait dans la postérité pour cela. On garderait son nom gravé dans les livres d’histoire, et sur sa tombe, Faust inscrirait : « A jamais mienne, à toujours dans l’Histoire. »

Un cri (encore un autre !) retentit dans la grotte. Le mioche criait à gueule ouverte. Il fallait dire qu’il ne voulait pas que son père l’oublie, et surtout, il voulait montrer qu’il était bien vivant, et qu’il ne mourrait pas en couche. Sa mère ne l’aurait sans doute pas voulu ainsi. Mais après tout, c’est une réaction commune à tous les enfants de son âge, enfin, c’est à dire, à tous les nouveaux-nés, non ?

Faust s’approcha de l’enfant. Ce dernier était tout petit, pas un cheveu sur le crâne, pas un poil sur le corps, deux magnifiques petits yeux verts. Un enfant normal. Ce n’est pas parce que vous êtes le fils du Prince des Démons, qu’obligatoirement, vous êtes anormal ! Il avait tout de même une petite chose originale. Il avait déjà une dent. Chose pas impossible, il existe quelques nouveau-nés qui naissent avec une dent. On raconte que ce fût aussi le cas de Napoléon. Et oui, ce p’tit bout d’chou est destiné à faire de grandes choses …


« Tu t’appelleras … »

Faust pris l’enfant, le détailla sous toutes les coutures. Il ne voulait pas commettre d’impers.

« James … James MacFallen, fils de Faust MacFallen. »


Dernière édition par James MacFallen le Mar 30 Déc - 20:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 18:45

L’enfance

So. The son of the king ... Me ! [fini !] Jane310


« Est-ce mal de produire une société pleine de gens beaux ? » - Yang Yuan


Découvrez Arthur Rubinstein!


Faust éleva James dans le pur respect des traditions des Démons. C’était son premier, et sans doute son seul, enfant. Il lui donna tout l’amour qu’il pu. C’est à dire, vraiment pas beaucoup. Mais il faut savoir qu’un Prince des Ténèbres ne peut pas non plus donner trop d’amour. Cela deviendrait vraiment ridicule. Jusqu’à l’âge de ses 5 ans, James ne vît jamais la lumière du jour. Son père le gardait en Enfers, pour ne pas qu’il s’imprègne trop vite de magie blanche selon ses propres dires. Bien entendu, Faust ne pouvait décemment pas rester tout le temps auprès de James pour lui apprendre comment être un bon fils de Maître des Démons. Il eut de nombreux précepteurs, tous aussi terrifiants les uns que les autres. Les relations qu’ils entretenaient avec le petit James étaient toujours, au départ, très conflictuelles. Le petit hurlait rien qu’à la vue horrible des Démons, ce qui est tout à fait normal. Et puis, par la suite, cela ne s’arrangeait pas non plus, quand James s’habituait à les voir. Est-ce que vous avez déjà essayé d’apprendre à un enfant à se servir d’une baguette magique alors qu’il n’a que 3 ans ? Je vous le déconseille fortement.

« Répètes après moi : Nox ! »

« Fox ! »

« Non, Nox ! »

« Fox ! »


Le Démon soupira. L’apprentissage allait être long. Pourquoi fallait-il que son maître souhaite que son fils se débrouille pour prononcer correctement une formule magique simple, alors qu’il n’arrive pas encore à dire « Papa » ? On lui avait donné un travail presque impossible à réaliser. Mais personne n’a le droit de décevoir Faust … ou alors, on termine … Enfin, vous l’avez compris. Non, le Démon ne pouvait pas décevoir Faust. Il venait ainsi tous les jours, se préparant plusieurs heures à l’avance psychologiquement, et s’appliquait à apprendre au petit James la base de la magie. Les débuts furent difficiles. La suite le fût tout autant. Mais au bout d’une année, le petit James arrivait à se débrouiller seul pour les quelques sorts basiques qu’on apprenait normalement en première année. Son précepteur avait fait du bon travail, et Faust su le remercier comme il fallait …

« Le mal triomphe par l’inaction des gens de bien. » - Edmund Burke



Voilà, James a quatre ans, et maîtrise les sorts basiques d’élèves de première année. Incroyable, n’est-ce pas ? Tout ça à cause de son père qui le pousse au maximum de ses capacités chaque jour, qui l’oblige à travailler encore et encore, jusqu’à l’épuisement. Mais ce n’est pas tout. Faust ne veut pas en rester là. Il veut que son fils comprenne. Qu’il comprenne comment se servir des sorts, comment lutter seul, dans la nature.

Un jour, alors que le petit dormait profondément, il le réveille brusquement, lui demandant de ne prendre que sa baguette magique. James est quelque peu effrayé par le ton et la rapidité de son père. Mais c’est surtout l’incompréhension qui emplit les pensées du garçon, et on peut aisément lire la peur dans ses yeux.

Faust court rapidement, difficilement suivi par James. Il a dû mal à suivre son père qui a de grandes jambes, et donc qui fait de grandes enjambées. Déjà en temps normal, quand Faust marche, James doit courir pour rester à ses côtés. C’est très drôle à voir ce couple dans la rue, mais les gens ne rigolent pas. Ou en tout cas, ils n’ont pas intérêt. Faust est très protecteur envers James, et il ne supporte pas la moquerie devant la beauté de son fils. Pour en revenir à l’histoire, Faust pénètre dans une pièce, donc James ignorait l’existence. En fait, pas vraiment, son père lui avait déjà montré, mais il lui avait clairement indiqué qu’il ne devrait y entrer sous aucun prétexte.

Le cœur de James accéléra un peu plus, son souffle se fît plus rapide. Même si c’était le fils du Prince des Ténèbres, cela ne l’empêchait pas forcément d’avoir peur. Il entra dans la pièce, devant son père, et sentit la porte se refermer derrière lui.


« Collaporta »

James déglutit bruyamment. Il savait reconnaître les sorts basiques, son précepteur lui avait appris. Il venait de se rendre compte que son père venait de l’enfermer. Sans aucune raison. Pourquoi avait-il fait cela. Y avait-il un intrus dans leur « maison » ? Avait-il commis une bêtise que son père ne lui avait pas pardonnée ? James chercha en vain dans son esprit une explication rationnelle à sa situation, et à l’attitude de son père, mais rien ne venait. Il n’arrivait pas à comprendre ce qu’il faisait là. Il s’assit donc dans un coin de la pièce sombre et poussiéreuse, attendant.

Mais l’attente fût de courte durée. Alors qu’il se morfondait sur son sort, James entendit un bruit. Pas un bruit de pas qui pourrait annoncer sa délivrance, non plutôt comme des pas subtiles, plusieurs à la fois. Comme si …


« Lumos »

Un cri, étouffé, sorti de la gorge de James. Devant lui se tenait une énorme araignée. Une araignée immonde, velu, grosse, … Bref, une araignée comme on les voit dans les cauchemars. Sauf qu’elle était là, devant lui. Et le pire, c’est qu’elle avançait vers lui, à pas lents, les mandibules dehors. C’est alors qu’il comprit. C’était une épreuve. Pas du genre épreuve écrite du BUSE pour vérifier que vous connaissez, au moins dans la théorie, les sorts. Non, c’était une épreuve, et Faust mettait la vie de sa progéniture en danger. Après une phase de flottement, à cause du choc de découvrir une créature comme celle-ci, James pris son courage à deux mains.

« Aragna Exime »

L’araignée, malgré sa taille, se retrouva à l’extrémité de la pièce, projetée par le sort de James. Ne lui laissant pas le temps de se remettre de son choc, ni de se relever, James s’empressa de mettre la touche finale à l’examen.

« Picsifors »

L’araignée se transforma immédiatement en poisson. Comme il était hors de l’eau, il ne cessait de bouger la queue, dans l’espoir, utopique, de trouver de l’eau, et de pouvoir enfin respirer. Les branchies bougeaient, tentant d’aspirer de l’air, avec une synchronisation presque parfaite. James resta là, à regarder le miracle de la mort. Le poisson se débattit encore longtemps, plusieurs minutes, avant de s’éteindre, après un dernier soubresaut. Durant la longue agonie du poisson, James n’avait pas bougé, n’avait pas tenté un seul geste pour tenter d’aider le poisson. Après tout, l’araignée avait tenté de le tuer, pourquoi ne la tuerait-il pas ?

« Cistem Aperio »

« Père, comment avez-vous pu ? »


Faust resta là, dans l’encadrement de la porte, le sourire aux lèvres. Il s’approcha de son fils, se mit à genoux, tendit la main, et la passa dans les cheveux blonds de son fils. Son sourire barrait toujours son visage. Pas un mot ne sortait encore de sa bouche. Il se contentait de regarder son fils, de graver l’image de ce fils prodigue dans sa mémoire. Finalement, il ouvrit la bouche, mais ce n’était pas pour répondre à la question de James.

« Bravo, je suis fier de toi. »

Ce fût les seuls mots qu’il prononça. Il prit James par la main, et le ramena dans sa chambre. Il le borda, l’embrassa sur le front, lui chuchota des paroles de réconfort, et éteint la lumière. Voilà comment se termina la première épreuve que lui fit subir Faust. La première épreuve d’une longue série.


Dernière édition par James MacFallen le Mar 30 Déc - 20:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 18:45

Les années Hogwarts

So. The son of the king ... Me ! [fini !] Jane410


« Le secret, c'est qu'il n'y a pas de secret. Nous sommes des petits enfants égoïstes et malheureux, pleins de peur et de colère... » - André Comte-Sponville



Découvrez The Pierces!


Comment faire rentrer James dans l’école, malgré son âge, et sans que cela n’éveille les soupçons … ? Voilà le dilemme auquel se retrouvait confronté Faust. Bien entendu, il ne pouvait décemment pas dire que c’était son fils. Il en perdrait sa réputation, son statut, … Tout. Le Prince des Ténèbres qui aurait un fils, c’est absurde. Et, je ne parle même pas de la sécurité du petit. Tous les démons, qui voudraient lui reprendre le pouvoir, n’hésiteraient pas à utiliser le garçon pour arriver à leurs fins, et ça, Faust ne le permettrait sans doute pas. Non, il ne le permettrait pas.

Il lui fallait trouver un prétexte qui tienne la route, qui soit subtile, qui lui permette de garder un œil sur James, tout en le protégeant. C’est difficile. Et finalement, il trouva. Pour ça, il convoqua le jeune homme dans son bureau. De toute évidence, James s’attendait à une nouvelle épreuve, il toqua timidement à la porte, et quand elle s’ouvrit, la peur se lisait, comme toujours, dans ses yeux. Il s’approcha lentement, s’attendant à voir un monstre sortir du placard, comme son père lui avait fait subir lors d’une des épreuves. Mais non, il arriva jusqu’au fauteuil sans encombre, et s’assis, guettant avec beaucoup d’appréhension la réaction de son père.


« James, tu vas rentrer à Hogwarts. »

« Que … ? »

« Pas comme élève, tu seras le fils du concierge. Tu ne devras jamais dire que tu es mon fils. Compris ? »

« Oui, Père. »

« Par contre, si tu as des problèmes, tu pourras venir me voir. Tu seras comme … mon protégé. Oui, c’est ça, comme mon protégé. »


Comme vous pouvez le constater, le dialogue n’est pas ce qui uni le plus Faust et son enfant. Non, ils avaient une relation … disons … Ils avaient une relation bizarre. C’est tout. Une relation de maître à élève. Tous les enfants ont des parents. Ils entretiennent une relation avec leurs parents. Des relations affectueuses, des relations conflictuelles. Mais vous ne verrez jamais des parents qui forcent leur enfant à dépasser leurs limites, à les faire travailler tard le soir, à leur imposer des épreuves toutes plus dures les unes que les autres, … Non, vos parents ne sont pas des monstres, Faust sans doute un peu.

Donc voilà comment James allait rentrer à Hogwarts. Il ne serait pas un élève, il ne serait pas un professeur, ni un fantôme. Non, il serait le fils du concierge. Un fils qui trainerait toujours dans les pattes des élèves et des professeurs, à la recherche d’une bêtise à faire. Mais, il ne faisait pas que cela. Son père avait d’autres envies pour son fils. Il se chargeait de vérifier les dires des Chasseurs. Vérifier la potentialité des victimes que l’on soumettait aux faucheurs d’âmes. C’était ça le but de toute l’existence de James. Il avait été conçu pour aider Faust, voire pour le succéder, il ne faut pas l’oublier.


« Lèvres ! Lèvres ! Baiser qui meurt, baiser qui mord. Lèvres, lit de l’amour profond comme la mort. » - Albert Samain


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Voila à peine quelques mois que James était à Hogwarts. Déjà il avait fait les cent coups. Déjà il avait observé de nombreux élèves. Déjà il connaissait tous les recoins du Château. En même temps, il n’avait rien d’autre à faire. Pendant que les élèves étaient en cours, il ne pouvait pas les embêter, ni les suivre, ni les imiter, ni rien faire avec eux. Il errait dans les couloirs, telle une âme en peine, comme un fantôme, sans rien à faire.

Par un après-midi pluvieux, James s’amusait à courir dans les couloirs le plus rapidement possible. La plupart des élèves étaient en cours à ce moment là. Mais ce n’est pas ça qui l’en empêcherait, ni personne d’ailleurs. Pourtant, alors qu’il arrivait au bout du couloir, il percuta la personne qui arrivait en sens inverse, et qui tournait elle aussi. Le choc fût rude, mais seulement James se releva. De toute évidence, se prendre un enfant en pleine figure devait faire mal. Pris de remords, James tortilla son doigt dans ses cheveux blonds. C’est un signe distinctif. Dès qu’il se sent mal, il tortille ses cheveux.

Il se pencha pour voir qui ne se relevait pas. C’était lui. Le beau Cassian, celui que James envie depuis son arrivée, là, par terre, à ses pieds. C’était trop inespéré. Il se mit à genoux, se mordilla la lèvre inférieure, et se pencha. Il aurait pu le toucher, palper son corps, ses bras, ses mains, ses doigts, … Il aurait pu toucher son visage, les imperfections, ses oreilles, son nez, ses lèvres … Les lèvres qui ne cessaient de l’appeler. Les lèvres qui criaient … James ne pu résister. Il se pencha sur le visage de Cassian, et déposa un chaste baiser. Un seul, avant de partir, tout honteux, laissant Cassian, là, seul, sans rien dire, sans un mot.
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Zaren Wisper

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Zaren Wisper


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MessageSujet: Re: So. The son of the king ... Me ! [fini !]   So. The son of the king ... Me ! [fini !] Icon_minitimeMar 30 Déc - 23:01

Bienvenue... enfin... déjà merci pour les compliments, c'est gentil. Mais sinon...

Non mais sérieux c'est une blague c'est ça ? On me fait une blague ! Où est la caméra cachée ?
*la cherche... soulève les coussins... remue tout sans la trouver*
Ah c'en est pas une ?

Alors je veux bien être gentil cinq minutes, mais c'est le genre de truc qui m'agace sensiblement. As-tu ne serait-ce que eu l'autorisation pour faire un personnage pareil ? Je ne crois pas !
De plus imaginer le seigneur des ténèbres en train de supplier quelqu'un... mais laisse-moi rire... on n'est pas chez Disney. Le grand méchant ne devient pas gentil au contact d'une personne adorable... C'est le Seigneur des Enfers, celui qui adorerait entendre les gens hurler de douleur 24h/24, et considérerait ça comme une douce mélodie. Donc on redescend sur terre et on arrête... ça !

Faust n'a pas de fils, son nom de famille a été créé spécifiquement pour sa venue à Hogwarts, il n'a même aucune véritable existence sur terre (nom, sécurité sociale, etc. Même pas de cartes de crédit, tu te rends compte ?). Et même si le concierge avait un fils, ce dernier ne mettrait pas les pieds à Poudlard avant ses 11 ans, et à condition qu'il soit bien évidemment sorcier. [Oh grande nouvelle au fait, Faust n'est pas sorcier, navré de te l'apprendre comme ça, ça doit te faire un choc.] Et les règles de Poudlard... le choixpeau répartit, ça s'arrête là. Les démons n'ont aucunement changé le système de répartition, et puis quoi encore ! Bout de tissu nous ferait une tentative de suicide si c'était le cas.

De plus, tu introduis Cassian dans ta fiche, c'est bien gentil de vouloir absolument avoir un lien avec l'admin, -je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'il est très mignon- mais le minimum aurait été de lui demander, tu ne crois pas ? En fait comme toute l'idée de ton personnage en réalité...

Pour moi c'est du grand n'importe quoi, et je n'ai pas la patience de relever toutes les incohérences de tout ça, donc sache seulement que ton personnage est refusé d'office ! Faut savoir arrêter les conneries et de se moquer du monde.

Donc maintenant tu as le choix, soit tu refais un autre personnage qui respecte l'univers Harry Potter, celui du forum, et de ce fait le travail de l'administrateur dans sa conception ; soit tu pars.
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