Il est temps de grandir. => Terminé

i d e n t i t é ;


Nom; Aurèl
Prénom; Endreas Vencan
Surnom; Le jeune homme n'a pas de surnom et il s'en porte très bien.
Âge; Endreas entame sa dernière année à Poudlard, il a donc 17 ans
Nationalités; Du côté de son père le jeune homme est hongrois et de sa mère, Anglaise.
Orientation Sexuelle; Bisexuel
Sang; Sangs mêlés




monde magique ;




Maison souhaitée: Je n'ai pas vraiment de préférence.
Baguette; Parmi les nombreuses baguettes qu'il a cassé, Endreas trouve que la petite dernière lui convient parfaitement, une très belle baguette en bois de cerisier qui provient de son pays natale, qu’est la Hongrie. Une plume d'hippogriffe, le tout d'une longueur de 25.6 cm.
Forme du Patronus; Loup
Forme de l'Epouvantard; Endreas meurt de peur devant les souris. Banal certes, mais lorsqu'il vivait avec son père en Hongrie dans leur manoir, celui-ci était infesté de rats, de souris et autres rongeurs bien désagréables. C'est pour cela que le jeune homme a choisi un magnifique chat pour pouvoir prévenir l'arrivée de ces éventuelles nuisances.
Animal de Compagnie; Le chat d' Endreas est un Mau Egyptien ; cet animal a une robe des plus originale, de loin vous pourriez dire qu'il est marron, bronze, mais en approchant le jeune chat ( âgé de seulement sept ans ) contient d'infime trace de roux et de noir, ce mélange lui donne cet aspect bronze qui a tout de suite plus au jeune homme.
Métier Envisagé; Langue-de-plomb au département des mystères.



r p ;




- Tu n'épouseras pas cette moldue Valérius ! Tu m'as bien entendu ? Jamais je ne te laisserais faire. Le père de Valèrius était très clair sur se point là, il n'avait pas le droit d'épouser une moldue.
- Voyons papa, nous ne sommes plus au 18eme siècle. Epouser une personne sans pouvoirs n'est plus tabou...
- Comment ? Pour les autres familles peut-être mais la notre Valérius ? La notre ? Nous ne pouvons nous permettre une disgrâce pareil. De toute façon je t'en empêcherais. Tu ne l'épouseras pas et point final.
- Tu n'as pas pensé que je pouvais ? Tu...
- Ne redis jamais ça !
Le père de Valérius commençait à s'enerver. Plusieurs semaines auparavant, Valérius avait rencontré une jeune moldue qui venait pour les vacances d'été. Tout de suite, ils s'étaient plus et ne se quittaient jamais. Ils se voyaient quotidiennement et leur entente grandissait de jour en jour. Valérius avait découvert qu'il éprouvait des sentiments sincères envers la jeune femme et il ne doutait pas de la reciprocité de ce sentiment. C'est pour ça qu'il avait decidé de lui demander sa main.
- Mais tout serait tellement plus simple si tu essayais de comprendre. Nous pourrions tous vivre dans le manoir et nous serions heureux. Valérius tentait la carte de la dernière chance, il ne voulait pas se mettre à dos son père.
- AUCUN MOLDU NE VIVRA SOUS CE TOIT ! La colère du père venait d'éclater sous les yeux ébahis de Valèrius.
- Je n'ai plus besoin de ton accord de toute façon, je l'aime et je l'épouserai. Rien de ce que tu pourras dire ou faire ne me fera changer d'avis. Valérius avait comprit la véracité de se sentiment, il savait qu'il l'aimait il en était plus que sûr. Rien ne se mettrait en travers de son bonheur.
- Si tu quittes cette maison pour rejoindre cette fille, sache que je prendrais ça pour un acte de rébellion, jamais tu ne vivras en paix. Si tu épouses cette fille. Je la chercherais. Vous n'aurez aucun répit, car si je la trouve je la tuerais. Dans ses yeux, une lueur de folie. Valérius venait de voir disparaitre les derniers espoirs qu'il avait fondé fondre sous le regard dévastateur de son père.
- Tu n'oserais pas me faire ça...
- Si bien sur que si. La famille ne connaitra pas la honte que tu souhaites lui infliger.

Plusieurs semaines s'étaient écoulées depuis le mariage de Valérius Aurèl et Kristen McHampton. Ils étaient tous deux en Angleterre, à présent. Là ou s'était déroulé leur mariage, en compagnie de la seule famille de la mariée. Kristen savait ( car les circonstances l'imposaient ) que son mari était un sorcier. Celui-ci l'avait mise au courant avant de la demander en mariage, elle n'avait pas paru trop choquée mais, avait mis plusieurs minutes avant de parler. Par contre, elle n'avait pas hésité lorsqu'il lui avait demandé sa main.
Kristen savait à présent qu'ils devraient se cacher et ne pas attirer l'attention. Elle avait trouvé un travail à Londres et Valérius exercait dans le milieu magique. Tout deux avaient un très bon niveau de vie, ils vivaient dans le centre de Londres dans un grand appartement du 19ème siècle.
Leur bonheur perdurait et Kristen tombait enceinte peu après leur mariage.
Un magnifique bébé pointait son nez le matin du 6 juin. La famille McHampton organisait une fête merveilleuse en l'honneur du nouveau né et Valérius avait balayé tous ses soucis dans sa tête lorsqu'il avait comprit qu'il était papa. Rien ne fut plus merveilleux que cette fête et tous étaient aimants envers le petit garçon, qui se nommait Endreas Vencan Aurèl.

Pendant ce temps, la famille de Valérius n'avait pas arrêté les recherches concernant le fils fugueur. Tous avaient développé une haine injustifiée envers la jeune femme qu'il avait épousé. Et plus les mois passaient, plus leur haine grandissait. Ils avaient beaucoup cherché, en vain. Mais un matin d'hiver, plus d'un an après la disparition de Valérius, les parents de celui-ci apprirent une nouvelle qui faillit les faire mourir de joie. Un ami de Londres avait vu le couple dans ses rues chics. Il n'avait pas eu de doutes et s'était empressé d'envoyer un hibou aux Aurèl. Ceux-ci ne réfléchissaient plus, ils n'avaient qu'une seule idée en tête. La vengeance.

- KRISTEN SAUVE TOI. PRENDS L'ENFANT. La voix de Valérius retentissait d'une voix forte et désespérée, il paniquait, il ne voulait pas perdre sa femme et son fils, les amours de sa vie.
- Je ne partirais pas sans toi Valérius, viens, viens avec nous, je t'en supplie. L'horreur et la panique se refletaient dans les yeux de la jeune mère, elle était sur le point de craquer. Elle ne voulait pas quitter son mari.
- Pense à Endreas, que serait-il sans toi à ses côtés ? Je t'en prie, pars.
Ses yeux se remplissaient de larmes, la jeune femme se détournait de son mari et partait en direction de la porte de secours avec Endreas dans les bras. Malheureusement, leur échange avait donné le temps à la famille Aurèl de s'organiser et de boucher toutes les issues. Le père de Valérius, dans une rage folle en découvrant qu'ils avaient eu un enfant, et un fils qui plus est, ne put retenir son cou de baguette magique, un avada kedavra retentit dans tout l'appartement.
Valérius n'avait pas eu le temps de voir la baguette de son père s'abattre sur l'enfant quand il comprit que Kristen ne laisserait pas Endreas mourir. Il voyait comme dans une scène de film sa femme au ralentit alors que lui courrait désespérément comme un fou, il lançait des sortilèges au hasard, touchant beaucoup de personnes, il ne voyait pas qui il touchait, ses yeux étaient focalisés sur sa femme, Kristen. Valérius arrivait trop tard, Kristen s'était jetée devant Endreas pour le protéger, elle avait reçu le sortilège dans le dos. Elle gisait, morte au pied du père de Valérius, Endreas dans les bras. Valérius ne pouvait pas croire qu'elle était morte. Un cri puissant retentit de sa gorge. Pendant une minute peut-être, plus personne n'osait bouger, les rayons du soleil qui avaient été jusqu'à ce matin d'une réconfortante beauté pour un mois de Décembre, venaient de tourner au cauchemar pour Valérius. Il ne voulait plus voir le soleil, il ne voulait plus voir ses visages haineux, il ne voulait plus voir cet appartement qui avait été le centre, le quartier général de leurs bonheurs à trois, il ne voulait plus qu'une chose, partir, loin d'ici avec son fils, partir très loin, il ne voulait plus voir l'Angleterre, plus pour l'instant en tout cas. Il avait besoin de matière, il voulait que son fils ne connaisse jamais ses grands parents, que jamais Endreas ne connaisse sa famille.
Valérius entrait dans une colère noire, il n'arrivait pas à comprendre pourquoi son père avait fait ça. Valérius lançait des sorts de tous les côtés, personne n'osait répondre ce qui facilité la tâche du jeune veuf, il aurait voulu tous les torturer, les tuer. Il voulait des réponses, pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Cette même question qu'il hurlait en jetant des sorts, cette même question qui transperçait son crâne. Cependant, il ne tuait personne, il ne voulait pas de sang sur les mains et il savait que rien ne pourrait ramener sa chère et tendre.



______

Voila je pense avoir fini.

Relis toi, il y a plein de fautes ôÔ ce qui m'a assez étonné je dois dire. J'ai lu le début mais je viens de tomber sur: "Les yeux écarquillaient" ... qui me laisse assez perturbé pour continuer. PAsse ta fiche sur bonpatron mais relis toi surtout celle-ci n'est pas une erreur d'inattention que j'ai repéré

je suis quelque peu tête en l'air.
Les fautes sont corrigées. Enfin je pense.

Cassian Dale a écrit:

J'ai lu le début mais je viens de tomber sur: "Les yeux écarquillaient" ... qui me laisse assez perturbé pour continuer.

La faute continue là. Hum sinon, bon j'ai l'impression que ton texte est un peu construit n'importe comment, pour la première partie par exemple: tu commences à dire qu'ils doivent se cacher et ce n'est qu'après que tu expliques pourquoi, puis tu dis que son père est triste de pas avoir des nouvelles de sa famille, mais il a changé de nom ... comment veux-tu que sa famille le retrouve ? C'est pas logique.

J'ai l'impression que tu utilises des Deus ex machina, ca tombe du ciel et c'est de ce qu'il y a plus de normal, par exemple tu dis qu'il a un égo démesuré, etc ... mais la seule chose que tu prouves c'est qu'il est sadique et manipulateur. Enfin, j'ai du mal à comprendre comment un père protecteur et aimant a pu élever un fils pareil et surtout que 'lenfant ait pu développer une telle personnalité, je comprendrais si son père le battait, s'intéressait guère à lui mais là c'est contradictoire ....

La vie commence.



Le petit Endreas maintenant âgé de neuf ans vivait avec son père en Hongrie, après la mort du père de Valérius celui-ci reprenait le manoir pour un jour le léguer à son fils. Valérius ne s'était toujours pas remis de la mort de sa femme Kristen et il avait échappé de peu à la mort d'une autre personne aimée, Endreas. Son fils unique pour qui il donnerait sa vie. Valérius gâtait beaucoup son fils, il lui offrait tout ce qu'il voulait. Il désirait un dragon ? Valérius lui servait sur un plateau en argent, aucune limite, aucune loi n'aurait pu arrêter Valérius, il souhaitait tellement voir son fils heureux que n'importe quel prix était concevable.
Après la mort de Kristen, Valérius et Endreas avaient emménagé à Paris. Il travaillait pour le ministère français, communication international, et de ce fait, il voyageait beaucoup. Valérius ne laissait jamais son fils seul ; s'il devait partir plus de trois jours, il l'emmenait avec lui. Endreas adorait voyager, il découvrait tellement de choses avec son père que la sensation désagréable du transplannage ou de l'avion ( quand les destinations étaient trop éloignées ) lui était complètement égal. Endreas était curieux de tout, il adorait découvrir les pays étrangers, les traditions, les habitudes alimentaires. A chaque fois qu'ils allaient dans un pays étranger, Endreas n'arrivait pas à partir, il voulait en avoir toujours plus, il pouvait se plonger corps et âme dans la culture du pays et mettre plusieurs jours à s’en défaire.
Malgré ses nombreux caprices, Endreas était un enfant beaucoup plus mûr que les enfants de son âge. Il avait eu le droit de fréquenter des enfants moldus depuis qu'il était tout petit, son père ne faisait aucune différence et il lui disait souvent qu'un sorcier d'une lignée pure peut-être un abruti fini et que les sangs mêlés ou ceux qui naissent sans liens de parenté avec un sorcier peuvent se montrer très intelligents et brillants en matière de magie. Endreas n'avait donc pas du tout de problèmes concernant les différentes familles de sorciers, pour Valérius c'était très important de lui enseigner ceci, car bientôt, quand il entrerait dans une école de sorcellerie, il serait confronté à ses différences. Endreas ne comprenait pas quand son père lui parlait des familles de sorciers qui ne supportaient pas les sorciers d’ascendance moldue. Endreas était très ouvert et partageait son temps entre ses amis moldus et les cours particuliers que son père lui donnait.
Pour un enfant de neuf ans le jeune Endreas se montrait très courageux, son père qui ne lui laissait aucun répit dans son apprentissage lui apprenait à vaincre sa peur première, les souris.
- Rien ne devrait te toucher Endreas, n'ai pas peur, regarde comme elle est petite, elle ne peut pas te faire du mal. L'oeil brillant par l'excitation, Valérius croyait beaucoup en son fils et il voulait le préparer au mieux à l'extérieur. L'extérieur de ce petit nid qu'ils avaient construit.
- Je vais y arriver, je vais y arriver. Endreas était très concentré, pour lui s'était une question d'honneur et de courage, il ne voulait pas décevoir son père, il voulait prouver qu'il pouvait le faire et rien ne l'empêcherait, pas même une souris. Le petit garçon prit son courage à deux mains et attrapait la souris par la queue, en une seconde elle se débattait comme une folle, ses yeux écarquillés par la peur, Endreas ne pouvait pas retenir ses cris, mais il ne lâchait pas. C'était sa proie et malgré la peur qu'elle lui inspirait il ne se laisserait pas faire. C'était une question d'honneur pour le jeune garçon.
Valérius souriait et d'un coup de baguette magique il faisait disparaitre la souris.
- Je suis très fier de toi Endreas. La main du père venait se poser sur celle du fils. Endreas souriait il était fier de lui, mais pour rien au monde sa peur des souris s'était volatilisé.
- Je pourrais en avoir une comme toi un jour ? Endreas montrait du doigt la baguette de son père. Il nourrissait secrètement le désir d'en posséder une. Le jeune Aurèl était très mystérieux et son père l'avait déjà remarqué, cependant il ne voulait rien faire pour frustrer ou violer le jardin secret de son fils, après tout, chacun a le droit à ses petits secrets.
- Bien-sûr que tu en auras une, et peut-être même plusieurs si tu fais comme ton vieux père.
A ses paroles, Valérius éclatait d'un grand rire tonitruant qui déridait le front d'un coup sérieux d'Endreas. Il n'avait pas vraiment comprit ce à quoi faisait allusion son père, mais après cette révélation Endreas demandait des histoires à son père sur sa jeunesse, Endreas était très curieux et ne se lassait jamais.
Même si le jeune Endreas était d'humeur joyeuse, intéressée et curieuse en présence de son père, lorsqu'il était seul, il ne pouvait pas s'empêcher de penser à sa mère. Il n'avait aucun souvenir d'elle et ça le rendait très malheureux, il ne voulait pas ennuyer son père avec cela, car, à chaque fois qu'il avait le coeur trop gros et qu'il en parlait, il voyait dans le regard de son père la tristesse et la douleur revenir. Il en parlait avec beaucoup de dévotion et de passion. Endreas savait qu'il n'avait jamais cessé de l'aimer et qu'il en souffrait. Endreas cachait ses pensées à son père, il ne voulait pas qu'il sache à quoi il pensait, il ne voulait pas qu'il le voit triste ou soucieux, d'ailleurs Valérius était pareil, il ne se montrait jamais triste devant son fils, il attendait que le petit soit couché pour se plonger dans ses souvenirs.



- A quoi penses-tu Endreas ? Valérius était soucieux comme toujours lorsque son fils revenait d'une bagarre.
- Qu'il l'a mérité, il n'avait pas à parler à Elena comme ça !
Endreas revenait du village voisin et une fois de plus, il venait de se battre. Endreas avait la sale manie de se battre pour pas grand-chose et cela exaspérait son père. Pourtant, il ne pouvait jamais discuter devant les arguments irréfutables du jeune garçon. Soit il dénonçait une injustice, soit il répondait à une injustice. Valérius ne savait pas vraiment s'il fallait punir ou non Endreas, car il ne trouvait pas de motif valable. Comment dire à un enfant qui veut faire la loi que ce n'est pas bien ? Bien que Valérius ait essayé de lui dire que ce n'était pas à lui de faire la justice, Endreas n'avait pas vraiment fait attention.
- Endreas, tu ne peux plus te battre comme ça avec les autres enfants, tu sais bien que nous sommes des sorciers et qu'attirer sur nous des moldus n'est pas une bonne technique de camouflage. Il disait cela en souriant, mais Endreas avait bien vu la lueur d'inquiétude dans les yeux de son père.
- Je n'y arrive pas papa, il a été si méchant que je ne pouvais pas, ne rien faire ! Elena pleurait !
- Je le sais bien mon ange. C'est juste qu'avant notre départ tu aurais pu te montrer plus gentil. Nous partons quand même dans quelques jours, si les parents des enfants pouvaient avoir une bonne image de nous lorsque nous reviendrons pour les grandes vacances...
Les Aurèl partaient pour l'Angleterre dans quelques jours, Endreas venait de recevoir sa lettre d'admission pour Hogwarts. Endreas était très excité, car il allait enfin devenir un sorcier. Il le souhaitait plus que tout et son courage lui hurlait de ne jamais se décourager, de toujours apprendre ses leçons, il souhaitait réussir plus que tout, donner à son père de quoi être fier de lui. De plus, là-bas, il pourrait enfin parler de ses pouvoirs avec d'autres personnes que son père.



Hogwarts.

- Oui on le sait que tu as eu une super note en métamorphose Endreas, tu n'es pas obligé de nous en faire part toute la journée tu ne crois pas ?
Un des meilleurs amis d'Endreas râlait souvent sur le fait que le jeune homme soit si arrogant et orgueilleux. Lui-même était une personne assez humble de sa personne et de voir Endreas se pavaner comme il le faisait si souvent était leur principal sujet de discorde.
- Tu es jaloux hein ? Un sourire malicieux sur les lèvres du jeune homme se dessinait, il aimait tellement montrer qu'il était fort et intelligent. Son père l'encourageait beaucoup sur cette voie, ce qui le rendait encore plus orgueilleux. Puis la curiosité venait reapparaitre sur les traits du jeune homme, il voulait savoir si quelqu'un l'avait battu. Beaucoup de personne voulait savoir pourquoi Endreas était si curieux de tout. Il aimait beaucoup la nouveauté et dès qu'il trouvait quoi que se soit qui est un quelconque intérêt, il pouvait en chercher la signification, les origines... Malheureusement, aucune personne n'avait obtenu de réponse, Endreas n'étalait pas ses idées au grand jour, seules quelques personnes étaient au courant de ses sentiments.


- Arrêtez voyons Aurèl, vous allez vous faire mal ! Le cours de botannique s'était très bien déroulé jusqu'a ce qu'une plante, une snargalouf ait décidé de s'agiter. Endreas n'avait pas reflechi et il essayait de stopper la plante qui envoyait des épines un peu partout sur les élèves. Le professeur de botanique essayait, en vain, de l'arrêter.
- Ne bougez plus Professeur, je vais vous la calmer. Endreas, avec le sac d'un élève s'approchait de la plante qui envoyait beaucoup d'épine sur lui, s'il parvenait à s'approcher suffisamment de la plante, il pourrait former un bouclier assez puissant autour de celle-ci, puis avec l'aide du professeur ils pourraient la calmer.
Endreas était plié en deux, il ne parvenait pas à voir s'il était suffisamment près pour appliquer son plan, derrière le professeur et les élèves continuaient de l'appeler pour qu'il revienne avec les autres. Le coeur battant la chamade, le corps plié en deux, Endreas savait à présent qu'il n'était plus très loin, d'un bond il brandit sa baguette et se retrouvait en face de la plante vénéneuse, le bouclier se formait autour de la plante en deux secondes, les épines qu'elle lançait restèrent à l'intérieur. Un soupir collectif s'échappait de la bouche des élèves.
- Merci Endreas, mais tu n'étais pas obligé de faire tout ça. Nous aurions pu attendre qu'elle s'épuise. Cela aurait mis plus de temps... Enfin merci quand même.
Un immense sourire traversait le visage d'Endreas. Son égo était à son maximum... Du moins pour aujourd'hui.

r é a l i t é ;






Avatar; Guy Robinson
Pseudo; Lilie
Prénom; Ophélie
Âge; 17
Comment avez vous découvert le forum ? Sur un top sites
Comment le trouvez vous ? Bien. J'avais très envie de faire un forum dans le monde d'HP.
Code; OK par Agathe.

J'ai remanié le tout. Je crois que ça devrait être bon à présent.