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Covington Marcus Narcis – My heart leaps for C

« La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale »
Françoise Sagan

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Nom; Mauresby

Prénom; Covington Marcus Narcis

Surnom; Qui oserait lui donner un surnom ? Il déteste la simple idée de se faire appeler autrement que par son prénom, voire son nom de famille. Parfois, certains l’appellent juste Narcis, ce qui a le don de l’ennuyer fortement.

Age; Covington est né un 12 Janvier, et est donc capricorne. Ca vous fait une belle jambe n’est ce pas ? Il est âgé de 16 ans si vous voulez tout savoir.

Année; 6° année si mes calculs sont exacts, et je doute qu’ils ne le soient pas.

Nationalité; Britannique par son paternel, qui avait la brillante idée d’être de Cornouailles, ce qui fait de lui un anglais, et norvégien par sa mère, ce qui est déjà plus original. Covington ne supporte pas que l’on confonde britannique et anglais, alors attention à ce que vous dites.

Orientation Sexuelle; Hétéro, hétéro et hétéro. Covington n’a jamais été attiré par les hommes et ça n’est pas près de changer. De toute façon, si cela lui passait un jour par la tête, il serait bien trop fier pour l’avouer.

Sang; Oh non, Covington n’est pas sang pur, loin de là. Il est tout ce qu’il y a de plus mêlé. Il ne sait pas exactement qui est moldu dans sa famille, ou qui est cracmol, mais il sait en tout cas que son sang n’a rien de pur et bleu. Bien sur, il n’en dira rien, ne pensant pas que c’est un élément important

Maison souhaitée; Du point de vue de Covington, aucune maison ne vaut plus que les autres. Il ne croit pas en ce concept de meilleure maison plus brillante ou avec de meilleures qualités. Bien sur, il serait ravi de participer à la gloire de la sienne, mais il refuse de rentrer dans le jeu de la détestation des autres. C’est quelque chose qu’il trouve puéril et dénué d’intérêt.

Baguette; La baguette de Covington est faite en bois d’orme qui symbolise les cycles de l'énergie naturelle qui font de nos blessures nos plus grandes forces. Cet arbre correspond bien à la personnalité de Covington. Mesurant 24,7 centimètres, souple mais solide, elle est parfaite pour les sorts défense. Elle contient un élément plus qu’étonnant dans une baguette, c'est-à-dire un des espèces de filaments qui ornent la tête des créatures des eaux comme les strangulots ou les sirènes. Cette baguette n’a pas été faite en Grande Bretagne, mais en Norvège, par un fabricant nettement soupçonné de faire des baguettes non-conformes aux codes magiques.

Forme du Patronus; Le patronus, ainsi que l’animal totem de ce cher Covington, est l’opossum, un animal assez inhabituel certes. Ce n’est pas un patronus très développé, mais on distingue bien ce petit marsupial américain et néo-zélandais.

Forme de l'Epouvantard; Covington ne s’est jamais trouvé en face d’un épouvantard, et il n’est pas pressé de le faire. Il n’a jamais vraiment réfléchit à ce qui apparaitrait devant lui le cas échéant. Il est à parier que l’immonde créature prendrait la forme d’un renne. Ne riez pas, mais Covington fait une allergie aux rennes depuis que sa mère l’a terrorisé avec une histoire de renne cannibale. Cette peur d’enfant a beau être puérile, Covington ne peut s’en détacher, et ce même s’il préférerait mourir que de l’avouer.

Animal de Compagnie; Covington possède un chat, un petit chartreux un peu paresseux, avec une grosse fourrure grise et chaude. Son nom est Carbon Ball, boule de charbon, et il mérite bien son nom car il ressemble à s’y méprendre à un plumeau pour ramoner les cheminées. Il ne fait pas beaucoup d’efforts, mais cela convient bien au garçon qui est complètement gâteux de ce chaton. Il le considère comme la huitième merveille du monde, et le seul individu sur terre qui vaille la peine de se bouger.

Métier Envisagé; Covington a rarement envisagé son futur métier avec précision, mais il sait qu’il veut travailler pour le ministère. Si possible, il serait intéressé par des postes d’importances. Surement décidera-t-il de se spécialiser dans la justice magique, de loin la branche qui l’intéresse le plus.

Avatar; Alex McKee

Pseudo; KeroZen
Age; 17 ans

Comment avez-vous découvert le forum ? Non vous ne me ferez pas avouer... Bon ok, par un partenaire.
Comment le trouvez-vous ? Je le trouve très bien organisé et j’aime l’idée… sinon je ne serais pas là
Code; Ok by Cass

RP;

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Sanford Riley Mauresby était un homme en apparences quelconques. Petit, les cheveux tristement brun, deux petits yeux noirs et perçants, un nez pointu comme celui d’une fouine. Non, il n’avait vraiment rien pour plaire. Il possédait une entreprise familiale, que son ancêtre, le très honorable Sanford Caius Mauresby, avait créée après la seconde guerre mondiale dans la bonne ville de Bristol, en Cornouailles. Depuis cet homme, tous les fils ainés de la famille Mauresby se nommaient Sanford, avec un prénom différent derrière à chaque fois. Sanford Riley n’était pas particulièrement brillant, ni particulièrement beau comme nous l’avons vu. Mais qu’importe tout ça lorsqu’on possède la richesse. L’argent, scintillant et paresseux dans les grands coffres de banques, fait oublier le physique le plus ingrat et l’esprit le plus bas.

C’était le cas de cet homme ci qui, à défaut d’avoir prestance et sagesse, était marié à la plus jolie femme que la Norvège avait eut l’honneur de voir en ce temps. Jorrund Amundsen, madame Mauresby, était ce que l’on appelle communément une jolie plante. Grande et fine. Une cascade de longs cheveux d’or tombaient sur ses épaules frêles, encadrant un visage au teint de crème, fait de traits fins et d’une bouche mutine et rouge comme une cerise. Dans cette perfection de quasi translucidité s’éveillaient deux billes, bleues et grises comme un ciel d’orage. Seulement sous ses dehors fragiles et purs, aucune beauté intérieure ne dormait. Elle était une vraie furie colérique et mauvaise. Mais son mari pardonnait toujours la rage destructrice de cette walkyrie. Il savait qu’elle ne l’aimait que par l’argent et le prestige qu’il pesait, mais lui-même n’était attiré que par sa beauté, comme un papillon gauche et veule aimanté par la lueur dansante de la bougie. Aussi cela ne lui faisait rien.

Mais aujourd’hui était un jour particulier, car aujourd’hui arrivait le fruit de cette union bancale. En effet, Sanford Riley se trouvait dans la salle d’attente d’un hôpital, attendant en se tordant les mains un énième Sanford Mauresby. Le temps lui semblait interminable, et il semblait partagé entre l’excitation joyeuse et l’angoisse. Il faisait les cent pas, tournant comme un lion dans une cage trop petite. Ce manège dura jusqu’à ce qu’une infirmière vienne lui annoncer la grande nouvelle. Enfin le petit garçon était né. Plein d’appréhension, il attrapa dans ses bras le poupon, enveloppé dans une couverture. Quelle merveille ! Deux yeux peinant à s’ouvrir, d’un bleu de pluie, qui fixaient le monde nouveau à travers le brouillard. Sa peau fragile et douce, sa petite bouche qui se tordait en pleurs. Comment un aussi beau miracle pouvait naître de ce monstrueux assemblage ? En tout cas, ce fut loin d’être l’avis de Sanford. Allez savoir pourquoi, une rage grotesque prit possession de lui à la vue de cet être innocent. Peut être était ce la douce beauté sereine qui émanait de l’enfant, ce calme béat ? En tout cas c’était de loin l’explication la plus logique à ce coup de folie.

Il redonna le bébé à l’infirmière qui demeura surprise et tourna les talons, cherchant un endroit où cacher sa colère, la seule et unique qu’il eut de sa vie. Le pauvre petit garçon ne pouvait comprendre où il était tombé, et continuait de sourire et pleurer tour à tour à l’attention d’un auditoire qui ne voulait pas le voir. Plus tard, il serait aussi rejeté par sa génitrice qui voulait fuir le dégout qu’il lui inspirait. Elle était dégoutée par son image et l’image du père qui s’imposait d’elle-même. Elle le haïssait, lui et le fruit de leur union. Quel étonnant départ dans la vie, et quel manque flagrant de chance. Il ne recevrait même pas le prénom traditionnel, son père ayant eut la maligne méchanceté de l’affubler de trois patronymes fous, dont le dernier, Narcis, était la consécration de cette absurde détestation. Mieux vaut lire ça que d’être aveugle.

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_Covy ? Tu crois que les lucioles c’est des fées ?

_Nan je pense que c’est juste des insectes.

_Bah moi j’aime pas les insectes mais j’aime les lucioles. Alors ça peut pas être des insectes !

_Bah j’te dis que c’est des insectes.

La petite fille, avec des grandes tresses blondes, tourna ses grands yeux bleus vers son frère qui regardait fixement devant lui les lucioles sans vraiment les voir. Covington faisait souvent ça. Il regardait devant lui mais il avait les yeux flous, dans le vide. Il réfléchissait, et la petite aurait donné beaucoup pour savoir ce qu’il pensait. Mais elle ne pouvait pas lire dans les pensées. Alors elle serra son ours en peluche dans ses bras et reprit sa contemplation des petits insectes dans l’espoir de voir une fée venir lui parler. Robeen Clothilde Janet Mauresby était la petite fille la plus douce et la plus mignonne qui soit. Elle portait toujours des petites chaussettes roses, faisait de la danse, dessinait des personnages de dessins animés. Elle portait ses longs cheveux blonds coiffés en tresses, en chinion ou en queue de cheval. Elle était parfaite, et son frère était fou d’elle, au point de toujours la protéger. Et il fallait dire qu’il avait de quoi la protéger. Jorrund Mauresby était cruelle et ne supportait pas cette enfant douce. Elle aurait voulut briser ce sourire de ses doigts. Ainsi Covington devait ruser pour détourner la colère de sa mère de sa petite sœur. Des qu’il sentait que sa mère s’énervait, il s’arrangeait pour que sa colère dérive sur un autre sujet, et n’en ayant que peu sous la main, il la détournait vers lui-même. Sauf que ce soir là, alors que la délicate douceur de l’été promenait son manteau étouffant sur l’Angleterre, il ne pourrait pas la protéger. Il était trop tard de toute façon, et la machine infernale du Destin était en marche pour briser le calme. Déjà elle s’avançait, en la personne de la mère tyrannique qui traversait le jardin à grands pas. La blonde marâtre attrapa sa fille abasourdie par le bras et l’entraina avec elle.

_Viens Robeen tu dois y aller.

_Aller où maman ?

_Maman qu’est ce que tu vas lui faire ?

_Occupe toi de tes affaires Narcis !

L’accent trainant et guttural ne trompait pas sur sa nervosité et filait entre ses lèvres comme le venin de la vipère. Quelque chose clochait. Covington ne put que suivre sa mère à distance respectable, suivant à petites foulées ses grandes enjambées. Elle trainait toujours la petite fille derrière elle qui pleurnichait qu’elle lui faisait mal au bras. Qu’importe, puisque la mégère ne se souciait que peu de son malheur. Robeen lançait des regards désespérés à Covington, qui demeurait impuissant face à la situation inattendue. Enfin, après une traversée du jardin qui leur sembla à tous trois des siècles, ils entrèrent dans la maison et se trouvèrent instantanément dans le hall. Covington dut cligner plusieurs fois des yeux sous l’effet du changement brutal de luminosité, pour percevoir la silhouette ronde et autoritaire d’une vieille sorcière. Elle était comme celles des contes, avec un nez recourbé, les traits graves et tirés, des cheveux filasses tirés en chinion sévère. La vieille dame prit alors la parole en hochant la tête.

_Voila notre petite Robeen ! Tu vas venir avec moi quelques temps d’accord ?

Son ton se voulait rassurant et amical mais on sentait la pointe de sécheresse et d’inimitié poindre. Cette voix fit froid dans le dos au garçon qui regarda avec horreur la femme, celle-ci ne lui prêtant d’ailleurs aucune attention. Il était sous le choc de la nouvelle et de ce que cela signifiait. Robeen n’avait jamais été éloignée de lui longtemps, et il craignait pour elle. La vieille tourna un regard entendu vers Jorrund et entraina Robeen, transplanant avec elle dans un grand crac. Tout ceci c’était passé si vite que Covington ne savait plus que penser. Il sentit néanmoins l’œil inquisiteur de son père se poser sur lui depuis le palier de l’escalier, et il tourna la tête pour le regarder. Un sentiment de trahison et de profonde haine naquit en lui. Ses parents avaient toujours été injustes, mais Covington avait pensé en son for intérieur maintes et maintes fois qu’il avait dut faire quelque chose de mal pour mériter ça. Mais là, ils n’avaient aucun droit de faire ça. Robeen était innocente, gentille. Jamais elle n’avait mérité ce qui lui arrivait, de se faire écarter de la sorte. Car Covington était suffisamment futé, même malgré son jeune âge, et il comprenait fort bien que le « quelques temps » voulait dire bien plus que simplement un week end ou des vacances.

Il n’aurait sut dire, même des années plus tard, ce qui avait motivé cette action de ses parents. Il ne savait que ce qu’il avait vu, et ce qu’il avait vécut après. Longtemps cette nuit là il veilla dans le noir, le regard toujours vide rivé au plafond, sans que son esprit ne pense à quoi que ce soit. Le vide, le manque, et tout cela ne faisait que renforcer son désarroi. Son esprit ne s’habituerait jamais à ce manque, mais jamais il ne le mentionnerait clairement dans son esprit. Il se comportait comme si rien n’avait changé, malgré la souffrance qu’il ressentait. Il avait apprit bien assez tôt dans cette famille que pour survivre, il fallait cacher ce que l’on pensait… Ce qu’il mit tout son cœur à mettre en œuvre.

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Covington savait effectivement bien cacher ses émotions, trop bien même selon les dires de certains. La colère semblait couler sur sa peau comme de l’eau sur du carrelage andalous. Rien ne filtrait dans ses yeux vifs et intelligents, si ce n’était une certaine dose d’ironie et de mépris. Il avait toujours eut une haute idée de lui-même et il considérait qu’il lui fallait montrer une excellente image de lui-même. Ainsi, il répondait aux insultes par le sarcasme et un étalage de culture et de malignité. Il ne s’abaissait pas à se mettre en colère, et encore moins à user d’insultes à son tour. Il se sentait bien trop supérieur pour cela. Son grand esprit méritait bien des joutes verbales bien plus évoluées.

Le garçon qui se trouvait en face de lui à cet instant comprenait de toute évidence mal à qui il avait affaire. Il continuait inlassablement à le provoquer, une expression teigneuse sur le visage, lui disant des remarques blessantes qui auraient poussé n’importe quel orgueil à réagir au quart de tour. Mais Mauresby avait un autre type d’orgueil, pas de ceux qui vous poussent à prendre la mouche. Aussi, il regardait l’autre élève par des petits regards lancés au dessus du livre qu’il était en train de lire come si de rien était, les pieds sur la table de la bibliothèque comme quelqu’un qui n’a rien à craindre ni a se reprocher. Indolent et insolent comme à son habitude. Il aurait put rester des heures come ça si le garçon n’avait pas avancé un argument qui ne pouvait pas laisser le jeune Covington de marbre.

_Ta sœur est beaucoup plus marrante que toi Mauresby.

On aurait presque put entendre le plafond s’écrouler sans que Covington esquisse le moindre geste. Il resta comme abruti par ces paroles pendant un long moment, presqu’une éternité. Enfin, il posa délicatement le livre refermé sur la table et tourna son regard pour donner à son interlocuteur toute l’attention que celui-ci semblait réclamer. Il ne bougeât pas, sondant les yeux du garçon pour tenter de déterminer la part de bluff de ce que celui-ci savait réellement. Apparemment il en savait long, il le voyait dans ses yeux, ce qui ne manqua pas de le déstabiliser. Il attira brusquement le garçon en avant en l’attrapant par le col de sa chemise et lui souffla d’un ton qui se voulait posé mais qui trahissait sa nervosité.

_Que sais tu exactement sur ma sœur ?

_Hey oh moi je sais juste qu’avant j’étais dans une autre école et que je suis arrivé que cette année à Poudlard. Dans mon école avant y’avait une fille qui s’appelait Mauresby.

_Comment elle s’appelait ?

_Rohan ou Robbie peut être.

_Robeen ?

_Oui c’est ça.

_T’étais où avant ?

_Beauxbaton !

Covington lâcha le col de l’autre élève, prit son sac avec brusquerie, et tourna les talons pour quitter la bibliothèque d’un pas vif. C’était ce que l’on appelle un retournement de situation, ou pus exactement un rebondissement de l’intrigue. Covington n’avait plus revu sa sœur depuis huit ans, depuis ce fameux jour où elle avait été emmenée loin de lui. Il aurait payé cher et accepté de bruler en enfer pour la voir ne serait ce qu’une fois. Aussi, lorsqu’il entendit plus tard parler des délégations étrangères, son cœur ne fit qu’un bond. Peut être pourrait il enfin glaner des informations ?

Fiche finie...

Je suis conscient que le premier et le deuxième RP ne donnent pas beaucoup d'indications de caractère mais j'espère m'etre rattrapé dans le dernier RP. Si la logique de la colère du père et du départ de la soeur est un peu fumeuse, c'est parce que j'ai choisit le point de vue de Covington qui ne comprend pas lui même.

J'ai demandé qu'on supprime mes deux autres comptes pour éviter d'en avoir trop.

Par contre je n'ai pas bien comprit en quelle année on est censé être dans le RP.

Je vais te demanderun peu de patience. Car nos effectifs sont réduis et malgré ma présence mes temps de connexions sont assez brefs.

Bien sur... j'ai tout mon temps ^.^

[Jolie fiche en passant Wink

]

*On pose le choixpeau sur la tête du jeune garçon, celui-ci semble s'éveiller, tanguant de gauche à droite sous ses réflexions.*

Voyons ça... Pensif, réfléchi, protecteur, intelligent, secret, orgueilleux à outrance, sarcastique à ses heures, mâlin, rusé, insolent, ambitieux... Le choix ne se pose même pas, poursuis donc ta route chez les :

Serpentards !

*Enjoy, tu connais la maison je crois.
* Donc bon RP, et n'oublie pas CB où tu pourras plus facilement te lier. Pense à faire ton topic de sujets et celui de tes relations. N'hésite pas à aller demander directement aux autres...

» Come in a world of desilusion > CMN Mauresby <
» It's the Start of something New. { Covington M. N. Mauresby }