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MessageSujet: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeSam 9 Mai - 19:33


    l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l 1241649954_028cut the skin to the bone
    fall asleep all alone
    hear your voice in the dark
    lose myself in your eyes
    choke my voice say goodnight
    as the world falls apart
    |&|


i d e n t i t é ;


    Nom; Carroll
    Prénom; Lyssandre
    Surnom; Il vous faudra être dans les petits papiers de la demoiselle Carroll pour vous permettre une telle familiarité, il y a donc bien peu de chances que vous éprouviez un jour le besoin de connaître ses surnoms, puisqu'ils n'ont, en somme, aucune utilité. Si vous faites preuve de suffisamment de subtilité, il se peut que vous soyez autorisé, tacitement, à l'apostropher de manière moins convenue en n'utilisant que la première syllabe de son prénom ; sachez toutefois qu'elle y verra là la marque d'un esprit effrontément espiègle.
    Âge; 16 ans
    Année; 6ème année
    Nationalité; Anglaise
    Orientation Sexuelle; Bien que Lys soit attirée essentiellement par elle même, il lui arrive de s'enticher –plus ou moins brièvement- de créatures inférieures, sans distinction de sexe. Enfin, pratiquement sans distinction de sexe, mais elle reste cependant plus friande du sexe dit ‘fort’ -ce qui, d'après son opinion, coïncidence avec les clichés de la société actuelle de la manière la plus hasardeuse qui soit. A savoir toutefois que la jeune fille est plus branchée "sensuel" que "sexuel", ainsi, elle pousse rarement l'acte jusque au bout. A quoi peut-il bien servir de continuer le jeu quand l'on sait par avance que l'on a déjà gagné ? Et, en l'occurrence, se donner de la sorte à qui que ce soit lui donnerait plutôt l'impression de laisser gagner son partenaire, qui en tirerait certainement plus de plaisir qu’elle même, à ne pas en douter. Car, en effet, qui pourrait être plus désirable qu’elle ?
    Sang; Mêlé. Lyssandre ne croit pas en la valeur du sang. Certainement parce que rien ne lui permet de se distinguer de ce côté là. Quoi qu'il en soit, elle estime qu'on ne peut sérieusement prétendre être de Sang Pur, comme l'on ne peut sérieusement prétendre en être totalement dénué. De ce fait, elle accorde aussi peu d'importance aux titres en tout genre, les "sirs", les "comtesses" et les "ducs" peuvent aller voir ailleurs si elle y est, et qu'ils ne comptent pas sur elle pour les courbettes et tout l'toutim, merci bien. Bien que possédant de nombreux vices, Lys base rarement ses préjugés sur des critères aussi "mondains".



monde magique ;


    Maison souhaitée; A ses yeux, cela n’a strictement aucune importance. Loin d’elle l’idée de douter des compétences des artefacts sans grand apparat, elle n’aurait aucun mal à admettre qu’une ridicule peluche ensorcelée soit capable d'invoquer de puissants boucliers magiques, seulement il ne faut pas pousser le bouchon trop loin ; un chapeau capable de lire dans son esprit et de la juger ? Impossible. A ses yeux, la répartition n’est qu’une forme de loterie au cours de laquelle tout se déroule au hasard, point final. Bien sûr, avant de participer elle même à ce rite de passage, elle fut prise d’une légère appréhension, liée sans doute à ces idées reçues que l’on a des maisons de Poudlard. En effet, elle craignait de se retrouver à Gryffondor, avec une bande d’orphelins optimistes et bien trop téméraires pour être les dignes possesseurs de cet organe humain qu’on appelle communément le cerveau. Poufsouffle ? Des mordus de travail, dont les efforts pour obtenir de bonnes notes sont généralement vains. Lys angoissait fortement à l’idée de se retrouver dans une telle maison ; jamais elle ne saurait s’y intégrer ! Serdaigle ? Ne savent pas s’amuser. Réfléchissent trop. Certes, en définitive, cela lui aurait fait une caractéristique dominante en commun avec eux mais, déjà, à l’époque, elle anticipait suffisamment pour savoir que cela lui nuirait ; en effet, elle ne semblerait pas si brillante, en compagnie de sorciers à l’intellect déjà bien développé. Restait Serpentard. Cette maison bourrée de fils à papa sans aucune autonomie, incapables d’agir par eux mêmes et dont la prétention sans limite est notoire. Il ne lui reste plus qu’à croiser les doigts pour que la réalité ne corresponde pas aux clichés.
    Forme du Patronus; Une hyène.
    Forme de l'Epouvantard; Elle l’ignore elle même et ne souhaite pas s’y confronter. Oh bien sûr même un tel brin de jeune femme rencontre de nombreuses peurs ; son monde est basé sur une mise en scène qui ne tient debout que grâce à elle, et ce serait une catastrophe si tout cela s’écroulait. C’est sans doute cela qu’elle craint le plus, perdre le contrôle des évènements, subir une humiliation publique, ne pas parvenir à s’en sortir dignement. Car Lyssandre met un point d’honneur à ne jamais se mettre en colère, à ne jamais hausser la voix, car cela serait témoigner d’une faiblesse qu’elle ne saurait supporter. Si quelqu’un osait l’insulter en public –car toutes les affaires de la demoiselle se déroulent en public, ou du moins bien souvent-, elle se mettrait à rire ; s’énerver serait vain, et attesterait d’une sensibilité qu’elle a toujours nié posséder.
    Animal de Compagnie; Un maine coon, qu’elle n’a toujours pas baptisé à ce jour. Quand elle s’adresse à lui, elle l'appelle simplement Sir Cat, ou Monsieur Chat*.
    Métier Envisagé; La demoiselle n’aime pas l’idée de se restreindre à une seule ambition immuable, une idée fixe qui la pousserait à négliger certaines matières au profit d’autres. En conséquence, elle préfère donc multiplier ses possibilités en bataillant sur tous les fronts, d’autant que les différentes carrières l’intéressant sont aussi diverses que variées. D’un côté, certains domaines à dominance administrative lui plairait bien –elle raffolerait d’un poste haut placé au ministère ou dans la justice magique- mais d’un autre côté le côté fastidieux et rébarbatif de ces professions la rebute quelque peu, à l’inverse des métiers plus hétéroclites qu’elle rêverait exercer ; par exemple, elle adorerait dresser des dragons, un vieux rêve de gamine qui ne demande qu’à se concrétiser, il s’agit par ailleurs d’un métier qui ne manque pas de noblesse non plus, ce qui ferait peut-être basculer la balance en sa faveur.


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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeSam 9 Mai - 19:34

l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l 090505071047512015

r p ;


Prologue.
L'orgueil est le fait d'avoir, par amour, une opinion plus avantageuse que de raison sur soi-même.


    ..........Mon histoire a un début et ne connaît pas de fin, c’est là que réside le charme du moment présent ; si cela me plaît, il m’est permit de croire que jamais elle n’en connaîtra. Pour répondre à votre interrogation muette, oui, je fais parti de ces nombreuses personnes qui fantasment à propos d’immortalité, mais pour des raisons, qui, je l’espère, diffèrent de celles du commun des mortels. Premièrement, l’idée que je puisse dépérir un jour me semble ridicule, et grotesque. S’il existe une entité supérieure, il est impossible que celle ci accepte l’idée de voir des asticots déguster sa plus œuvre, car nul doute qu’il s’agirait alors d’un véritable festin –bien que l’idée de goûter ma propre chair ne m’est pas encore venue à l’esprit, je peux aisément imaginer qu’il doit s’agir d’un des mets les plus raffinés qui eussent jamais été.
    ..........Il n’existe aucune mort noble, et c’est pour cette raison bien précise que je refuse de mourir. Certes, je ne suis pas sotte au point de croire que l’on me présentera forcément une alternative, et c’est pour cette raison que, lors de ces jours tristes et pluvieux qui nous incitent à nous plonger dans les méandres les plus tortueuses de notre esprit, je songe à mon futur suicide. Ce sera là mon dernier compromis, il est impératif que je meurs de ma propre main ; dans le cas contraire, je ne trouverais jamais le repos éternel. Mais ne partons pas aussi défaitistes, il se peut que je parvienne à mettre au point cet élixir de vie éternelle, je ne serai certainement pas la première, ni même la dernière. Oh, une dernière chose avant que je vous laisse, n’allez pas croire que cette arrogance ostentatoire m’est coutumière, il n’est absolument pas dans mes habitudes de me montrer aussi expansive, je vous prie de le croire. Mais il s’agit ici de mes confessions, et je ne veux pas que l’on me puisse blâmer de manquer de cœur à l’ouvrage, aussi je vous livre mes pensées les plus confidentielles, teintées de ce léger soupçon d’impertinence que j’aime à considérer comme une forme évoluée de sarcasme.



Acte I.
L'orgueil se contente de son propre suffrage, la vanité a besoin du suffrage des autres.


    ..........L’esprit vide, ou du moins presque vide, Lyssandre fixait le plafond avec des yeux si accusateurs qu’il était étonnant que celui-ci ne se soit pas effondré sur l’instant. La pauvre petite fille fulminait. Depuis combien de temps n’avait-elle pas été aussi vulgairement traitée ? Elle ne parvenait pas même à remonter à la dernière remontrance qu’elle avait du subir de la part de ses parents, cela veut tout dire. Qu’ils l’aient réprimandée et condamnée à un après-midi de solitude pour une simple crêpage de chignon entre filles, c’était plus que ce qu’elle ne pouvait supporter. Kirsten, elle, n’était sûrement pas punie, Lys en était convaincue. Parce que Kirsten était une enfant choyée, pourrie-gâtée jusqu’à la moelle, et ses parents manquaient cruellement d’autorité… Perdue dans ses songeries, Lyssandre manqua de pas entendre sa mère qui frappait à sa porte, et eut à peine le temps de se redresser et de s’aimabilifier le visage que cette dernière était déjà entée. Hésitant au niveau de la porte, elle prit une grande inspiration et vînt s’installer par terre, à côté de sa fille.

    ..........Sue Lynn
    Ma chérie, j’ai vu les McMahon et… inutile de te préciser qu’ils n’étaient pas spécialement ravis à l’idée de partager un nouveau tête à tête avec moi…

    ..........Lyssandre


    ..........Sue Lynn
    J’ai vu Kirsten aussi, tu l’as bien amochée, je suis fière de toi ! … ah, je parviens enfin à tirer un sourire de ce visage de marbre. Plus sérieusement, Lyssou, qu’est-ce qui se passe entre vous deux ? C’est à cause d’un garçon ? C’est cela ? Mon dieu, tu es bien jeune pour ce genre d’affaires, je ne pensais pas que…

    ..........Lyssandre, sortant de sa torpeur
    Maman ! Non ! Tu te trompes sur toute la ligne. Je me fiche des garçons. C’est uniquement cette péronnelle qui me tape sur les nerfs ! Tu la verrais, tu... tu comprendrai. Elle est si prétentieuse, et… elle ne cesse de se vanter de tout ce qu’elle possède ! Elle se vante même de choses qui n’ont rien d’honorables ou d’enviables, mais elle est si fière, si arrogante, on ne peut qu’avoir envie de lui rabattre le caquet ! Mais en plus de cela, elle est complètement bouchée, j’ai essayé de lui faire entendre raison, comme tu m’avais conseillée, mais en vain… Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi obtus, c’est effroyable, maman.

    ..........Sue Lynn, inclinant légèrement la tête de côté et croisant ses jambes en position en tailleur.
    Voyons, Lyssandre, ce n’était pas une raison pour teindre ses cheveux en vert… J'ignore comment tu en es arrivée à ce résultat -et je pourrais même être impressionnée si ce n'était pas aussi méchant de ta part- mais je tiens à ce que tu me promettes que tu ne recommenceras plus. Je me suis rapidement excusée auprès des McMahon, mais je ne pense pas qu'ils me font confiance ; ils sont convaincus que je suis de mèche avec toi, j'en mettrais ma main à couper. D’autant qu’ils se méfient énormément de la magie, n’y étant pas habitués…

    ..........Sue Lynn ferma les yeux un instant, pensive. Lyssandre savait exactement à quoi elle songeait ; il y a quelque temps elle avait surpris une conversation entre ses parents et avait appris que la mère de Kirsten était une cracmol et son père un moldu. Prise la main dans le sac, la blondinette avait promis de ne pas ébruiter cette histoire et elle comptait bien rester fidèle à cela ; ses parents ne lui avait jamais donné aucune raison de leur en vouloir et elle leur resterait loyale tant que cela continuerait. Sauf si, bien sûr, il y avait moyen d’outrepasser leur vigilance en discréditant Kirsten auprès de quelqu’un qui ne risquait pas de commettre d’impair.

    ..........Lyssandre, relevant la tête vers sa mère
    J’ai tenu ma parole, maman.

    ..........Sue Lynn, saisissant l'occasion pour lui caresser la joue du bout du doigt
    C’est bien ma fille, je n’en attendais pas moins de ta part… Revenons-en à nos moutons. Un peu d’arrogance ne nuit à personne, toi même, tu es pleine d’assurance et tu est fière, est-ce un mal ?

    ..........Lyssandre, cherchant ses mots
    Il y a une différence, maman… Je ne saurais pas l’expliquer mais… Si. Tu vois, il n’y a aucune noblesse, aucune subtilité dans l’arrogance de Kirsten. Oui, c’est cela, elle manque cruellement de subtilité. Et tout le monde tombe dans le panneau. Tout le monde gobe ses histoires la bouche grande ouverte. Elle m’exaspère, parce qu’elle met en avant la crédulité, la stupidité, et tout ce qu’il y a de nul chez les gens de mon âge. Elle s’y croit trop, alors qu’elle n’a rien pour, ça craint.

    ..........Sue Lynn
    D’après ce que tu me dis mon chou, j’ai plutôt l’impression que cette Kirsten est mal dans sa peau. Quand quelqu’un se vante de ses possessions, ou prétend avoir des choses qu’il ne détient pas, c’est qu’il essaye de se vendre. Il essaye de plaire. Je pense que Kirsten cache son malaise derrière ses grands airs, elle veut qu’on la regarde, qu’on l’apprécie, c’est une forme de faiblesse et il n’y a là rien à envier. Tu as du mal à le comprendre car tu n’es pas du tout comme ça toi. A l’inverse de Kirsten, tu ne tiens pas vraiment compte de l’avis des autres, tu es très autonome d’après l’avis de tes professeurs, tu n’as besoin de personne, tu te forges ton propre caractère, tes propres opinions, oui, tes professeurs sont très fiers de toi ; ils regrettent uniquement que tu contestes leur autorité. Ca, ma fille, on peut dire que tu as du mal avec la hiérarchie ! Alors, si, pour commencer, tu sortais de cette chambre et allait mettre le couvert ?

    ..........Dans la tête de Lyssandre, les pensées défilaient à toute vitesse ; sa mère venait d’apporter la clé à nombre de ses interrogations intérieures. Le dénouement de cette conversation était surprenant mais la fillette considérait que sa mère était loin d’avoir tort, son raisonnement tenait même bien la route. Un sourire aux lèvres, Lys émergea doucement de son mutisme et hocha la tête en réponse à la question rhétorique de sa mère, avant de filer en courant dans le couloir. Sautant les marches trois par trois dans les escaliers, avec l’impression de voler, la petite blonde occupait son esprit par des questions beaucoup plus superficielles, concernant pour la plupart le repas qui allait lui être servi. Elle se sentait si légère soudainement.



Dernière édition par Lyssandre R. Carroll le Lun 11 Mai - 21:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeSam 9 Mai - 19:39

Acte II.
L'orgueil ne réussit jamais mieux que quand il se couvre de modestie.


    ..........L’alliance d’une légère brise caressant sa peau et de ce soleil folâtre qui venait doucement embrasser ses jambes dénudées avait comme un effet soporifique sur Lyssandre, dont les seuls dodelinements de tête témoignaient d’un état de veille avancée. La France lui avait manquée tout au long de l’année, en particulier sa méditerranée natale, et elle était toujours transie de joie à l’idée d’y retourner pour l’été. Sa nationalité bancale l’avait toujours un peu perturbée, et même si son appartenance à la citoyenneté du Royaume-Uni était à présent officielle, elle peinait énormément à digérer cette information. Dans son cœur, elle était toujours française, bien que sa mère se soit établie définitivement à Swansea depuis quelques années déjà. Son père ? Elle n’en avait pas. Quand on abordait le sujet devant elle, elle arguait que Sue Lynn était sa mère et son père à la fois, et bien plus encore, si bien qu’il lui arrive même de désigner cette dernière en disant ‘mes parents’. Lorsqu’on lui rétorquait que chaque enfant possède deux parents, elle riait à gorge déployée, et agissait comme si l’idée d’avoir un père lui paraissait totalement absurde et dénuée de sens.

    ..........A cet instant même, Lyssandre était loin de songer à toute cette affaire de paternité, ce ne sont pas des pensées à avoir lorsque l’on se prélasse au soleil. Les yeux clos, la jeune adolescence se concentrait sur ces trois autres sens actifs et s’efforçait de ne songer à rien d’autres qu’aux sensations qu’elle éprouvait à l’instant même. La chaleur estivale et le gazouillement lointain des oiseaux se mêlait en un accord parfait avec le parfum enivrant des jasmins qui bordaient la terrasse frontale sur laquelle elle était installée. Tous les éléments présents concordaient afin d’apaiser totalement la jeune blonde. Jusqu’à ce que son ouïe capte un son discordant qui eut l’effet immédiat de la tirer de la transe dans laquelle elle venait à peine de se plonger.

    ..........Lyssandre, se redressant précipitamment sur son séant, plissant les yeux afin de distinguer l’inconnu qui avait brisé son instant de plénitude totale. Quand elle réalise de qui il s’agit, elle pousse un léger soupir et se rallonge sur son transat.

    Nicholas… Quelle charmante visite, tu aurais du me prévenir de ta venue ; je me serais installée dans le jardin de derrière et aurait feint de ne pas exister.

    ..........Nicholas, visiblement nerveux
    Je suis pas non plus super enchanté à l’idée de me pointer en territoire ennemi, Carroll.

    ..........Lyssandre grinça silencieusement de dents ; elle avait beau adorer le français, elle ne supportait pas que l’on puisse prononcer son nom de famille comme s’il s’agissait d’un atroce patronyme barbare.

    ..........Nicholas, cherchant ses mots ; il ne cache pas qu’il en coûte beaucoup de venir ainsi dévoiler ce qu’il a à dire
    Amélie pleure la disparition de son fichu chat, Ivan a cette acné étrange plein la face et Benjamin se roule limite en boule par terre comme un gosse chaque fois qu’on prononce ton prénom. Moi j’ai rien. Enfin, j’ai beau chercher, je vois pas. Alors que tu nous accusais tous les trois de cette… ce truc.

    ..........Cette connerie avait-il voulu dire. Le fait qu’il se soit rattrapé à la dernière minute provoqua une bouffé de plaisir chez Lyssandre ; il avait peur d’elle. C’était l’effet escompté.

    ..........Lyssandre, toujours paresseusement allongée, les yeux clos
    Et tu viens ici, pour me dire que tu souhaiterais que je joue avec toi comme j’ai joué avec tes camarades ? C’est cela ?

    ..........Nicholas, après s’être humidifié les lèvres par nervosité
    Non, non, pas du tout. Mais ça me stresse. De, jour après jour, me lever en me demandant ce qui va me tomber dessus. Alors si tu dois faire quelque chose, et bien, je sais pas, mais, merde, fais le !

    ..........Lyssandre, se redressant sur ses avants-bras, tout sourire
    Tu me donnes des ordres à présent ? Comme c’est… amusant.

    ..........Le sourire carnassier qu’elle arborait exhibait clairement l’enchantement que lui faisait ressentir cette situation. Cela n’arrivait pas souvent, alors elle se délectait de chacun des détails ; la goutte de sueur qui cheminait le long de l’échine de Nicholas, et qui le faisait légèrement frissonner et se courber d’environ 5° en avant, ses yeux hyperactifs qui voyageaient d’un coin à l’autre de ses orbites, ses mains qui lui paraissaient tout d’un coup bien lourdes, inutiles, et même embarrassantes. Avant qu’il n’est ait eu l’occasion de répondre, Lys prit l’initiative de se lever en douceur de son fauteuil, et de s’approcher de Nicholas, l’invitant par la même occasion à se taire.

    ..........Lyssandre, accoudée à la rambarde de la terrasse, un rictus déformant légèrement son visage, exhibant ces canines saillantes qui l’avaient complexée lorsqu’elles étaient toute jeunette, et qu’elle considérait maintenant comme un atout majeur.

    Il y a une raison toute simple au fait que je ne me sois pas vengée de toi, Nicholas. Je suis une peste, je l’admets, mais pas une garce. Chacun de mes actes est calculé. Je peux me permettre de m’en prendre aux trois autres, car je sais qu’ils pourront tourner la page, s’en remettre… Toi, à l’inverse, je doute sérieusement de ta force mentale et émotionnelle. Je ne m’en prends pas à toi, pas parce que je te tiens plus en estime que les autres, mais parce qu’au contraire, tu ne me semble pas suffisamment fort pour que je puisse te taquiner à ma manière. J’espère sincèrement que tu m’en voudras pas…

    ..........Elle attendait ce moment depuis si longtemps ; à son goût, Nicholasavait mis bien trop de temps à se décider de venir poser réclamation. Sans avoir besoin de l’observer, elle savait qu’il devait fulminer à présent ; il démarrait toujours au quart de tour, elle l’avait toujours su, depuis leur première rencontre. Humilié, il réfléchirait à ce qu’il pourrait bien lui rétorquer, et, confronté à son manque flagrant de répartie, tournerait les talons et s’en irait.

    ..........Lorsque Lyssandre se retourna, il n’était déjà plus là. A la place qu’il occupait quelques secondes auparavant se tenait Sue Lynn.

    ..........Sue Lynn

    Que s’est-il passé ? J’ai croisé un jeune homme furibond qui s’en allait de notre maison, les poings tellement serrés que ça ne m’étonnerait pas qu’il se soit démis une articulation ou deux… A propos de gens furibond, j’ai aussi reçu les plaintes de certains parents qui pensent que tu t’en prise à leurs enfants, et j’aimerais avoir une discussion avec toi à ce sujet…

    ..........Hésitation.

    ..........Lyssandre
    Je n’y suis pour rien, maman. Dans les deux cas. Nicholas était déjà énervé en arrivant, et je sais qu’Amélie et se bande ne m’aiment pas ; ça ne m’étonnerait pas qu’ils aient mis au point une nouvelle mise en scène pour m’attirer des ennuis. De quoi s’agit-il cette fois ?

    ..........C’était là son unique regret ; chacun de ses plans, chacune de ses vengeances restait systématiquement secrète. Cette fois ci elle avait dévié de son plan originel en avouant devant Nicholas avoir un lien avec les évènements récents qu’il avait cité, et elle avait pleinement conscience qu’elle avait outrepasser le Code. Cependant, cela avait nécessaire pour la dernière partie de son plan. Nicholas ne saurait jamais qu’elle s’était bel et bien vengée de lui ; il allait remettre en question sa condition pendant plusieurs jours, et ses amis allaient se méfier de lui puisqu’il n’était pas touché par le retour de flamme. Avec un peu de chance, il deviendrait peut-être même un paria de la société ; c’était presque plausible après tout, étant donné la cruauté sous-jacente des gamins de cet âge.



Acte III.
Il y a des gens qui fuient la jalousie par paresse, d'autres qui l'écartent par orgueil.


    - Je reste sans voix.
    - Si seulement…

    Le coup de coude que je reçu dans les cotes me chatouilla plus qu’il ne me blessa et un léger rire cristallin s’échappa d’entre mes lèvres avant même que je n’ai le temps de le réaliser. Allongés dans l’herbe, le corps de mon meilleur ami étendu à mes côtés, je n’aurais pu rêvé de meilleur situation. Elias était un ange, tout droit tombé du ciel pour supporter mes sarcasmes, mes humeurs, mes obsessions, mes étranges complexes et mon Code d’honneur. S’il s’agissait d’un véritable ange à mes yeux, il ne faut pas que vous oubliez la notion complètement subjective de ce qualificatif ; je l’adorais, mais il était bourré de défauts. J’ai toujours pensé qu’il s’agissait là de mon point préféré dans la personnalité d’autrui : les défauts. A ce niveau là, Elias me gâtait. Je me délectais de son arrogance, qui n’avait rien de la prétention que j’abhorrais tant, et qui tenais plus de la fierté personnelle ; il avait un égo comme pas deux, presque aussi développé que le mien, si bien que lorsque les deux bêtes se rencontraient cela pouvait provoquer des clash qui n’avaient rien à envier aux disputes conjugales, combats de rue, guerres internationales et autres farces. Avec Elias, il y a avait des moments ‘avec’ et des moments ‘sang’, si vous voulez bien m’excusez le jeu de mots douteux. Quand les plaisanteries que je lui adressais ne ricochaient pas sur sa carapace, je pouvais sentir l’océan de colère qui rapatriait ses forces pour me les renvoyer en pleine face, déferlantes impitoyables ravageant tout sur leur passage.

    - Il t’a réellement dit ça ?
    - Mot pour mot. Sérieusement, je me fais du soucis pour cette pauvre créature. Premièrement, il ne doit pas être tout à fait sain d’esprit pour s’éprendre ainsi de moi, et deuxièmement, il faut être singulièrement aliéné pour proférer de telles menaces, tu ne crois pas ?
    - Carrément. C’est débile, tu ne vas pas t’enfermer dans un couvent juste parce qu’un pauvre type qui souffre d’un sérieux problème de jugement te le demande. En tout cas une chose est sûre, ce mec n’a aucune estime de soi ; je ne ramperai jamais aux pieds d’une fille comme ça, et je me vois encore moins la menacer de me suicider si je la vois avec un autre mec. Enfin, après, chacun sa technique de drague…

    Elias pouffa de rire, et je fus aussitôt prise par son accès d’hilarité. A ses côtés, je me sentais immédiatement plus épanouie. Quelques secondes plus tôt, le comportement de Justin m'alarmait au plus haut point, à en perdre mes moyens, et à présent j’arrivais à en rire.

    Ce mec avait beau être de la pire engeance, il parvenait toujours à me faire m’esclaffer comme une gamine.


    - Et de ton côté alors ? Milany, c’est ça ? Tu vas conclure l’affaire ?

    Nous évoquions nos affaires de ‘cœur’ sur le ton de la conversation, systématiquement. A mes yeux, cela n’avait jamais sollicité plus d’importance. L’amour était la chose la plus répugnante et la plus ridicule à laquelle j’avais eu affaire. Rien que le mot me rebutait. Chaque fois que le sujet venait dans une conversation, je ne pouvais m’empêcher de pousser un soupir, car je savais que je passerais pour la blasée de service dans le quart d’heure à suivre, avec mon sempiternel discours « l’amour est un sentiment illusoire crée de toute pièce par l’être humain pour se donner l’impression d’être supérieur aux animaux qui contribuent à la pérennité de leur espèce sans sentiments aucun ». C’est à cause de se discours, et aussi en grande partie en raison de mon incapacité à fermer mon joli minois, que je suis rayé des listes d’invités de tous les mariages qui ont pu avoir lieu dans mon entourage. A ajouter aussi que mon gimmick « en quoi ces choses vivantes qui vivent et bougent à l’intérieur de votre corps -comme s’ils ne vous déformaient déjà pas assez à la base- sont-elles différentes d’un ver solitaire ? » en a convaincu plus d’un de l’utilité de mon absence à tout événement festif comportant des femmes ou des mères de la bonne société. La bonne blague.

    - Mirany, elle s’appelle. Et je ne sais pas, j’hésite encore. Il y a une autre fille qui me plaît bien, j’attends qu’elle se prononce, qu’elle m’envoie un signe, mais soit je suis pas très réceptif, soit elle a de sérieux soucis pour émettre ces fichus indices.

    Je n’avais pas besoin de tourner la tête pour savoir qu’il m’observait à présent ; ma vision périphérique était suffisamment élaborée pour que tout geste en sa direction soit vain. A la place, je me bornait à pousser un léger soupir et à passer une main sous mon crâne tandis que j’enroulais une pousse d’herbe autour de mon index de l’autre main.

    - Tu sais ce qu’on dit ; mieux vaut un tien que deux tu l’auras. Surtout si l’autre fille te fait poireauter. Avec un peu de chance, cela fera même naître l’envie chez la deuxième fille et tu en auras deux pour la prix d’une.
    - Mouais… J’ai un peu peur que ça fasse fuir la deuxième fille.
    - Moque-t-en. Ce sera tant pis pour elle.

    Et ce fut tant pis pour moi, mais ce n’est que plusieurs années après que je le réalisais, longtemps après ma fuite. Dès l’instant où la liaison entre Elias et Mirany fut officielle, je me surpris à être irritée par le comportement de ce dernier, sans raison valable. Je ne pensais pas qu’il y avait une corrélation avec Mirany, l’idée me semblait d’autant plus absurde qu’il avait été en couple auparavant et que cela ne m’avait gênée en rien. Même à l’instant où je vous parle j’ignore le fin mot de l’histoire, les affres du temps ont gommé mes souvenirs, tout cela me semble si lointain à présent. C’était à l’époque où mon esprit et mon corps formaient deux entités bien différentes, et tour à tout chacune jouait un tour à l’autre. L’ironie de la situation ne m’échappe pas ; j’ai été si aveugle. Et j’ignore si mon regret est sincère ou s’il s’agit d’une de ses blessures artificielles, une de ses manifestations de la partie de mon esprit qui m’échappe, afin de donner plus d’intensité au personnage que je me suis crée. Mais nous ne nous connaissons pas encore assez pour que je creuse le sujet plus profondément avec vous.



Dernière édition par Lyssandre R. Carroll le Lun 11 Mai - 21:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeSam 9 Mai - 19:40

Epilogue.
L'orgueilleux aimera mieux se perdre que de demander son chemin.


    Par les forces des choses, Elias et moi en sommes venus à nous haïr. Je ne saurais vous expliquer comment, ni pourquoi. Les quelques hypothétiques raisons que j’entrevois étant, pour ma part, bien trop ridicules et risibles pour que je vous les dévoile. Ce fut le dernier combat de nos ego respectifs, et j’ignore lequel de nous deux en est sortie vainqueur. En ce qui me concerne, le goût de la victoire se mêle à la saveur amère de la défaite, et j’ai comme la conviction que je garderai toujours à l’égard d’Elias cette même rancœur qu’il me destine sûrement.

    Nicholas n’a jamais réalisé que je lui avait simplement joué un tour à ma façon, et le crédit qu’il accordait à mon avis me flattait trop pour que je brise la magie de ce sentiment en lui dévoilant la vérité. Amélie a fini par retrouver son chat, même si elle ne put jamais expliquer la disparition de sa queue ; je sens que vous mourrez d'envie de savoir ce qui a pu se passer entre Patoush et moi même, mais ce détail ne vous plairait pas, croyez-moi. Ivan fait le bonheur de la pharmacienne du village, j’irais même jusqu’à avancer que 50% de leurs revenus viennent de sa famille ; je fus un peu dépitée de voir l'effet de la potion que j'avais si amoureusement concoctée anéanti par des dédoctions moldues. Je suis retournée discuter avec Benjamin, rongée par la culpabilité, et son état s’est amélioré. Sa faiblesse mentale flagrante qui m’avait révulsé dans un premier temps avait fini par avoir raison de moi. J’ai toujours eu ce curieux rapport avec la faiblesse ; je la trouve attirante et repoussante à la fois. J’imagine que c’est hormonal, je suis humaine après tout, et il est normal que je me laisse attendrir de temps à autre.

    Pour répondre aux quelques questions que vous avez pu vous poser, sachez que je suis née en France, j’y ai grandi une partie de mon enfance et j’ai déménagé en Angleterre alors que je devais avoir, voyons… environ huit ou neuf ans. Ma mère ne mentionne jamais l’existence de mon père ; à l’entendre, elle a été fécondée par le saint esprit -ce qui, vu le résultat, ne m’étonnerait pas tant que ça. Je tiens à préciser que je n’ai rien de diabolique ; ne vous fiez pas aux quelques anecdotes négatives qui vous ont été racontées, ce ne sont que des instants fugaces capturés à la va-vite. Je me sais capable d’amitié, et théoriquement je pourrais même être une amie fidèle, bien que dans la pratique je n’excelle pas à la loyauté en raison de nombreuses embûches semées sur mon passage, probablement liées à mon tempérament ou un manque incontestable de chance peut-être… Je suis beaucoup plus tolérante envers les autres qu’envers moi-même, ce qui n’est pas forcément très significatif de ma bonté… Je ne suis probablement pas la personne la plus honnête que vous ayez rencontré, mais je suis franche. Je ne suis pas non plus un modèle d’intégrité, mais l’idée de tricher ne me viendrait jamais à l’esprit ; je suis bien trop orgueilleuse pour ça. Je peux faire preuve d’enthousiasme et de volonté, pour la simple et bonne raison que l’ennui m’est inconcevable. Je suis tout à fait vivable comme jeune fille, je vous l’assure.

    Je vous avais fait part précédemment de la première raison qui me poussait à rêver d’immortalité, en précisant tacitement qu’il en existait d’autres donc. La deuxième est que j’ai aussi la chance de faire partie de ces créatures passionnées par la vie, capables de s’émerveiller toujours plus, jour après jour, de la beauté du soleil, de la mer, de la terre, de la perfection de notre corps jusqu’à son plus infime vaisseau, de tout ce qui compose notre existence. Je ne me lasserai jamais de cela. Je suis insatiable de vie. Il demeure une troisième raison, qui vous restera inconnue pour l’instant. Nous verrons plus tard, si les affinités s’approfondissent, éventuellement…


    Oh, et, j’oubliais, la pré-puberte-Kirsten-aux-cheveux-verts s’est prise d’affection pour le mouvement punk, au grand damne de ses cracmoldus de parents. J’ignore ce qu’elle est devenue par la suite.



Dernière édition par Lyssandre R. Carroll le Lun 11 Mai - 21:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeDim 10 Mai - 12:08

Salut et bienvenue sur le forum
Pourrais-tu indiquer le statut de ta fiche ? Tu as fini ou non ? :aww:
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeDim 10 Mai - 12:24

Merci (: et oui ma fiche est terminée, je ne vais pas vous imposer un pavé plus long à lire ^^'
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeDim 10 Mai - 20:07

    C'est gentil Razz

    Seule remarque, les sorciers de premier cycle n'ont pas le droit d'utiliser la magie en dehors de Poudlard donc on va avoir des problèmes au niveau des cheveux verts, de l'acné aux propriétés étranges etc. Tu pourrais modifier ça ? Disons que, au moins, il n'y ait pas de sort mais une potion ou un bonbon dans le style de ceux préparés par Fred et Geoge.

    Sinon, je tiens à préciser que ta fiche est très bien écrite autant au niveau du style que de l'orthographe. Mais voilà, il y a ce petit point technique...
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeLun 11 Mai - 20:20

De rien, j'ai déjà un peu abusé... Ce n'est pas dans mes habitudes de pondre autant de lignes pour une fiche pourtant, mais il faut croire que... je ne sais pas, j'étais inspirée disons. (x

En fait, j'avais songé à ce problème après coup, mais j'ai pensé que dans le cas des cheveux verts, Lyssandre était jeune et, comme Harry à cet âge là n'avait eu aucun soucis en utilisant la magie (la vitre qui disparaissait et je crois qu'il y en a eu d'autres), je me suis dis que ça passerait et que le ministère considérait cela comme des "accidents". Et oui pour ce qui est de l'acné je pensais utiliser le prétexte de la potion, mais je file préciser cela si ça pose un problème, pas de soucis. ^^


Edit : Done ! J'ai ajouté les précisions nécessaires, à moins qu'il n'y ait autre chose je pense que ça doit être bon ?
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Choixpeau Magique

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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitimeLun 11 Mai - 23:40

    C'est parfait.

    D'apparence calme, orgueilleuse à souhait, suffisante, présentant une certaine allergie aux règles, et puis, avouons-le, il y a en toi de la vipère. C'est donc dans "cette maison bourrée de fils à papa sans aucune autonomie, incapables d’agir par eux mêmes et dont la prétention sans limite est notoire" que tu échoueras.

    SERPENTARD.

    Pense à faire ta fiche de liens et de sujets pour bien intégrer ton personnage et n'ai pas peur d'aller vers les autres membres pour demander un RP. Peu d'entre eux mordent réellement. Et n'hésite pas à aller faire un tour dans le flood ou sur la ChatBox.
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MessageSujet: Re: l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l   l y s s a n d r e . r i v e r . c a r r o l l Icon_minitime

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