Shye Psychodelia Keagan •• Once Upon A Time. {Uc.

« Forever begings now »

i d e n t i t é ;

Nom; Keagan.
Prénom; Shye Psychodelia Pantalaimon.
Surnom; Il faut reconnaitre que les surnoms tels que Psy', Psycho', etc... sont peu appropriée, mais il vous resté néanmoins la possibilité de l'appeller 'Delia, voir, si vous être bon ami avec elle, Psychopate, mais uniquement sur un ton ironique alors.
Âge; La belle demoiselle est âgée de 16 ans.
Année; 6e.
Nationalité; Américaine.
Orientation Sexuelle; Hétérosexuelle, me semble-t-il. Il faut dire qu'elle aime tellement la gente masculine qu'il lui serait difficile de l'imaginer avec une femme mais comme on dit, l'impossible est toujours possible.
Sang; Issue d'une famille moldu, mais son sang n'en est sûrement pas moin pur.

monde magique ;

Maison souhaitée; Ravenclaw.
Baguette; Bois de cèdre, 23.80 cm, contient un crin de licorne.
Forme du Patronus; Pas encore d'idées pour le moment, je verrai une fois que j'aurai terminé
Forme de
l'Epouvantard; Un clown. Bien quoi ? ça n'a absolument rien de drôle d'avoir la phobie des clowns.
Animal de Compagnie; Chat.
Métier Envisagé; A vrai dire, jamais elle n'avait pensé se retrouver dans une école de magie, et si ses parents n'avaient pas insisté, elle finirait ses études normalement pour devenir médecin.

r p ;

Écrivez
ici, en plusieurs anecdotes, votre vie, en passant pas votre enfance
jusqu'à aujourd'hui. Le compte de ces RPS devra au minimum compter
mille mots.

r é a l i t é ;

Avatar; Jessica Stroup <3
Pseudo; Lùmy.
Prénom; Virginie, aux dernières nouvelles en tout cas o0'
Âge; 14 moins des poussières, mais arrondissons à 14, c'est bien plus simple. Mais c'est grave si je n'aurai ces 14 que dans deux mois ?
Comment avez vous découvert le forum ? Par Moonlight.twilight.
Comment le trouvez vous ? Coup de heart x3
Code; OK by Zaren.

C h a p t e r . O n e * ▬ Once upon a time.

Je m'appelle Shye Psychodelia Pantalaimon Kennedy, 16ans et jusqu'à présent toutes mes dents. L'histoire qui va vous être conté est la mienne, elle n'a rien d'originale, ne vous attendez pas à un récit rythmé et surprenant, vous risqueriez d'être plus que déçus... Ma vie, je la dois à mes très chers parents de mon coeur, et à moi-même, alors ne vous étonnez pas si ce n'est pas un conte de fées que l'on raconte aux enfants le soir avant qu'ils ne s'endorment, les pauvres risqueraient même de faire des cauchemards, et ce n'est pas mon but. Reprenons donc du début. Je m'appelle Shye Psychodelia Pantalaimon Kennedy, fille unique de riches américains, je suis née à Washington mais je n'y ait jamais vécu, très tôt mes parents se sont exilés en Irlande, une petite maison entre les falaises. Ce dont je me souviens c'est du bruit des vagues s'écrasant sur le roc, et de l'air frais qui emplissait mes poumons. Personne ne connait de moi cette identité, à la fois sauvage et mystique, aux autres je me suis toujours contentée de me montrer naïve, idiote, et un peu peste sur les bords, mais ça ne me ressemble pas, seulement cette part de magie, je n'ai jamais voulue la partager, dans la vie de tout les jours vous me connaîtrez vive et maladroite, un peu sotte et revendiquant son idiotie innocemment, vous ne verrez rien d'autre que ce que je veux bien montrer.

J'ai été élevée en grande partie par ma grand-mère, malgré que mes parents furent toujours très présent pour moi, mais cette vieille femme avait quelque chose en elle qui m'intriguait, qui m'attirait incontestablement. Elle m'a apprit tant de chose. Elle était la femme la plus belle que je connaissais, malgré ses rides creuses et ses cheveux blancs. Avec elle, la vie n'était pas une rivière tumultueuse, on pouvait vivre au jour le jour, loin du stress et de l'angoisse. Son sourire était le plus rassurant de ceux que je n'ai jamais connu. J'aimais quand elle me prenait dans ses bras, et qu'elle m'apprenait ces comptines ancestrales du pays qui m'a vu grandir. Ensemble, on faisait des gâteaux et on se baladait dans les bois, ces choses futiles qui plaisent pourtant tellement... J'ai été une enfant heureuse, malgré que je n'était pas de ces filles à papa, gâtée et déchues par tout ces artifices. J'avais ma fierté, une fierté différente de la leur, qui ne s'affichait pas dans ce que j'avais mais plutôt dans ce que j'étais. Pourtant la personne que j'étais en présence d'autres gens n'étaient pas la même que celle que j'étais quand j'étais seule.

Enfant, j'allais dans une petite école de village, qui restait néanmoins assez loin de mon habitation. Malgré le recul de toute civilisation du village, il y avait beaucoup de riches, des gens qui avaient décidé de vivre à la Robinsson Crusoé. Ah. La bonne blague, comme si vivre loin d'une métropole c'était vivre habiter sur une île déserte. Mais enfin, comment voulez-vous changer une mentalité qui persiste parmi les âges. Elle est là, et je ne pouvais manisfestement rien y changer. Au début de ma scolarité, j'avais pas mal de problèmes avec les autres élèves, apparemment, je n'étais pas assez sociable, que j'étais une enfant sauvage et indiscipliné. Faux. Faux et archi-faux. Je ne faisais que réagir lorsque l'on me cherchait. Si je n'aurais pas été comme ça, on m'aurait qualifiée de plante, alors que fallait-il que je fasse ? Dîtes-moi ? Que je sois quelqu'un d'autre ? On m'avait toujours dit d'être moi-même et là, on me demandait l'inverse. Il faudrait savoir à la fin. Mais puisque c'est ce qu'il voulait, pourquoi leur ôter ce plaisir ? Alors, je me suis mise à faire semblant. Petite fille modèle, toute de rose vêtue, mon dieu quelle horreur. Je grimaçais à chaque fois que je passais devant un miroir mais je n'avais pas le choix, il fallait que je devienne quelqu'un de "fréquentable" pour pouvoir continuer ma scolarité normalement dirons-nous, et puis c'est presque devenu un jeu pour moi... Au lieu de jouer à la poupée, ce que je faisais aussi mais pour mon "rôle", je jouais à être quelqu'un d'autre. C'était pas aussi amusant, mais à la longue, je m'y suis faîte. J'étais l'une de ces jeunes-filles " Copiée/collée ", pour le plus grand bonheur de tous.

Mais malgré tout, je restais très liée à ma grand-mère, ôtant dès que je le pouvais cet immonde masque, et cette réputation qui me collait à présent à la peau. Je n'avais que neuf ans quand elle nous a quitté, et c'est toutes les larmes de mon corps qui se sont déversées le long de mes joues lorsque j'ai appris la funeste nouvelle. On ne m'a pas mentit ce jour là, pas de longs voyages ni de paradis

" Elle est décédée Psychodelia, c'est fini. "

Fini, dès lors ce mot résonnait dans ma tête. Fini. Fini. Un éternel écho qui résonne encore aujourd'hui, faiblement, au fin fond de mon âme. A mes yeux, elle ne pouvait pas mourir, elle était pareille à un ange et le anges ne meurent pas, elle devait rester en vie, sans elle, qu'étais-je ? Peu à peu, j'ai délaissé la mer, et la forêt, les noms des fleurs et des arbres qu'elle m'avait enseignés se sont envolés de mon esprit, je lui en voulais malgré que je savais qu'elle ne pouvait pas faire autrement que rejoindre le monde des morts. J'étais à présent enfermée dans un monde auquel je n'appartenais pas, cheveux longs et jupes courtes en hiver, bonnet rose et manteau de fourrure l'hiver. Elle me manquait, elle était mon seul échappatoire. Il ne fallut pas plus d'un corps pour que mon corps subisse les effets de sa mort. J'étais particulièrement faible, je savais à peine marcher, je ne pouvais plus aller à l'école, je passais mes journées au lit, sachant à peine bouger. J'étais devenue inerte, c'était l'une de mes plus grande peur.

Nombres de médecins se sont succédés à mon chevet, nul ne savait ce que j'avais. Les questions étaient toujours les mêmes. " A-t-elle subit un choc émotionnel récemment ? " " Mange-t-elle suffisamment ? " " Avez-vous déjà eut des cas similaires dans votre famille ? ". Oui, non, on ne sait pas. Après plusieurs mois de diagnostics abracadabrants, un vieux génie avait découvert ce que j'avais, après maintes enquêtes dans la famille.

" Il s'agit d'une maladie rare et génétique, elle attaque principalement le système imunitaire mais fatigue également plus rapidement le patient, jusqu'à ce qu'il soit dans l'état de votre fille. Sans traitement, elle ne s'en remettra pas. "

A mes yeux, une maladie rare n'avait aucun traitement, mais apparemment, il s'agissait simplement d'une cure de repos, et de médicament énergisant. Je suis probablement l'une des non-sportives les mieux dopée au monde. Mais malgré tout, cette fichue maladie est incurable, nouvelle qui, quand elle s'abattit sur mes parents, les démoralisa. Et me voilà objet de la dépression de ma mère et de l'angoisse de mon père. Ô si seulement tu étais restée, grand-mère, tout rien de cela ne serait jamais arrivé...

C h a p t e r . t w o * ▬ Sex, drug's & rock 'n' roll .

Miracle, je marchais de nouveau. Mais courir était pour moi un effort insurmontable. Je ne pouvais plus suivre les cours de sport, cours qui était parmi mes favoris après anglais. Je subissais à longueur de journée les " Oh ma pauvre chérie je te plains, je ne sais pas ce que je ferais si j'étais à ta place ". Rien. C'était ça la réponse. Je ne pouvais rien faire sans m'épuiser comme si j'avais fait vingts tours de terrains de foot en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. J'arrivais à peine à marcher comment voulaient-elles que je fasse quelque chose d'autre ? J'essayais pourtant, rester inactive me tapait sur le système, de plus, je devais toujours faire semblant, être sympathique, gentille, aimable et tout ce qui va avec. C'était une horrible situation. Je souriais, je sortais avec les garçons les plus mignons du lycée, j'étais la fille la plus convoitée. J'avais de plus en plus l'impression d'étouffer... C'est cette époque que choisis ma mère pour nous laisser, moi et mon père. Elle décéda d'un cancer généralisé, dépisté trop tard. La vie n'avait plus aucun sens pour moi. Avec mon père on déménagea à Londres, et les souvenirs que je gardais de mon enfance passée sur les terres majestueuses d'Irlande hantaient mes nuits. Je revoyais les visages de tout ceux que j'avais chéris jusque là. J'entendais ces chants qui me donnaient accès à un autre univers. Le mal du pays disait mon père. Je l'ai cru, au début mais c'était bien trop fort. Londres m'était étrangère, mon coeur se serrait à chacun de mes pas. C'était une sensation horrible qui m'occupait. Et toujours ces sourires forcés pour paraître comme les autres, ces ragots que je subissais à longueur de journée, ces séances de shopping que je haïssais, ces faux amours. Mes premières cuites en boite, ma virginité perdue à presque quinze ans, mes notes plus que limites en cours. Étudier plus, s'amuser moins. Si seulement je pouvais. Ce jeu risquait de me coûter ma scolarité, je risquais de rater mes études mais tant pis, je n'avais plus le choix, je ne pouvais plus tout laisser tomber...

Pourtant, contrairement à ce que je pensais, tout n'était pas perdu. Je ne sentais peut-être plus mon coeur battre, mais sans s'en rendre compte, mon père avait trouver le moyen de me faire à nouveau vivre.

" Et si on allait en vacance en Irlande ? La petite maison est toujours à nous à ce que je sache "

Irlande. Sans raisons, les larmes me montèrent aux yeux. Et dire qu'il avait dit ça sur le ton le plus naturel qu'il soit...

" On part quand ? " Demandais-je, soudainement prise d'une joie incontrôlable.
" Pourquoi pas directement après ta dernière heure de cours ? On passerait nos vacances entières là-bas. "
" T'es un génie papa ! "
" Je le savais bien avant toi "

Un petit rire, le plus sincère depuis longtemps. Il ne restait que deux semaines avant les vacances, deux semaines durant lesquelles j'étais méconnaissable. Je n'allais plus partout où "les filles" allaient, je prétextais que je devais étudier sinon mon père m'enverrait en internat. Alors elles me laissaient seule. Et durant ce temps libre, j'étudiais réellement, mais en même temps je rêvais de mes vacances. Retour aux sources. Enfin, je l'attendais tellement. Mes points avaient considérablement augmenté durant ces deux semaines, à croire qu'au fond je n'étais pas si bête. La fameuse dernière heure de cours, mon regard était rivé sur l'horloge. 3...2...1 et enfin voilà que l'attende fini en beauté.

Bienvenue

Par contre oui, ton âge pose problème... comme le stipule le règlement, des propos sexuels peuvent être abordés sur le forum, et l'âge minimum a été ajouté pour préserver... les plus jeunes (il en fallait bien un...). Je cite :

Spoiler:

Maintenant, tu as un style agréable, ton début de fiche est intéressant, mais voilà...

Donc Cassian t'informera de ce qu'il en est quand il passera, mais sache qu'il est possible qu'il te dise non.

Désolé miss, c'est encore trop léger niveau Rp, plus d'avancera dans l'âge plus sa deviendra fluide, mais tu comprends que ceux de 21 ans n'aient aucune envie de poster avec des personnes de 13 ans, cela les limite, même ceux de 17 ans ... le décalage est trop grand, je prévilégéie l'aisance de mes membres.

Donc fiche refusée, bonne continuation :]