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 Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.

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MessageSujet: Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.   Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes. Icon_minitimeJeu 11 Déc - 23:22

i d e n t i t é ;
    Nom; Le nom est connu depuis des décennies, Bradford Turner a fondé notre famille en 1780, jusqu'ici nous avons conservé ce nom.
    Prénom; Ma mère m'a fait baptisé Lune, la dernière chose qu'elle n'a jamais faite d'ailleurs. Mes grand-parents ont ensuite ajouté Gaspard et Aidan à mon baptême pour plus de classe.
    Surnom; Je n'en ai jamais vraiment eu. Lune est déjà bien assez tordu en lui même.
    Âge; Né en 1991 j'ai grandi avec mes grand-parents, ma mère s'étant faite assassinée par un homme dans une ruelle et mon père ayant toujours été un inconnu, j'ai jusqu'ici passé les 17 années de ma vie avec mes grand-parents.
    Année; Un, deux, trois... sept.
    Nationalité; Depuis des générations on porte mon nom comme étant celui d'une famille de grands bourgeois Londonnien. Ma mère m'a laissé au moins ça, mes origines anglaises intactes.
    Orientation Sexuelle; Depuis ce jour de Septembre je n'ai plus pensé qu'à EUX. Même si mon initiation incluait des femmes, je n'ai jamais aimé qu'un d'entre eux, il y a fort longtemps.
    Sang; Issue d'une famille moldue en dehors de son grand-père lui même sorcier.



monde magique ;
    Maison souhaitée; Mon grand-père, Maxwell, a fait parti des Poufsouffles. Mais pour ma part je suis bien plus attiré par les couleurs plus froides, telles le vert et le bleu.
    Baguette; Un manche en bois d'hêtre et un ventricule de drangon à l'intérieur compose cette baguette de vingt-huit centimètres. Excellente en sortilèges et d'une rigidité rare.
    Forme du Patronus; Une mignonne petite fouine, c'est un animal très sympathique, qui est considéré comme sournois et curieux. Tout comme moi dans mes meilleurs jours.
    Forme de l'Epouvantard; Ma phobie ? Pourquoi voulez-vous le savoir ? En quoi celà peut-il vous concerner ? A c'est pour l'exercice ! Je dirais que les eaux profondes et lugubres sont mes pires ennemis. J'évite soigneusement le lac.
    Animal de Compagnie; Je n'en ai pas, un peu solitaire dans l'âme, je préfère la compagnie des livres ou celle des hommes.
    Métier Envisagé; Je n'envisage la vie que d'une manière. Au jour le jour.


r p ;

    Prochains Posts.


r é a l i t é ;
    Avatar; Eugen Bauder
    Pseudo; Lune
    Prénom; Quentin
    Âge; 16 ans
    Comment avez vous découvert le forum ? Admin de la première version.
    Comment le trouvez vous ? Comme je l'ai déjà dit, je suis fier du travail accompli par Cassian et ses membres du staff.
    Code; OK by Za'


Dernière édition par Lune G. A. Turner le Sam 13 Déc - 2:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.   Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes. Icon_minitimeJeu 11 Déc - 23:22


    La lune brillait. Entre sa douceur et son voyeurisme, elle éclairait les amants enlacés dans le hamac aux motifs dépareillés. La chevelure brune de Natacha dépassait sur le côté, la main de son homme passant dans ses légères boucles. Doucement, avec toute la finesse qui le caractérisait il la fit passer à son ancienne place, Alexandre du haut de ses dix-huit ans était de cette catégorie de garçons qui au lycée sont les tombeurs il savait s’y prendre avec les femmes. Et là ils tombèrent tout deux à terre, et non, c’est ce que l’histoire aurait voulu, mais il n’en a rien était, reprenons où nous nous en étions arrêtés. Je disais donc. Leurs bras nus s’embrassaient comme des flammes ardentes à la recherche d’un glaçon. Comment décrire alors les sentiments qu’éprouvaient la jeune vierge ? Celle-là même avec qui sortait le plus beau du lycée depuis maintenant trois mois. Trois mois de chasteté pour lui prouver son amour. Enfin elle se donnait à lui, comme si c’était naturel. Les derniers linges qui les séparaient de la nudité la plus simple tombèrent au sol alors que leurs lèvres se rencontraient de nouveau. La fougue du jeune en rut n’avait d’égal que l’amour qu’elle lui portait. Sa main malhabile touchait pour la première fois « la chose » elle aurait frémi si elle n’avait pas eu ses frissons de bonheur pur. Aussi vite qu’il fallait pour le dire, leur bêtise et la malchance jouèrent contre eux. Ce fut leur plus belle nuit, lui n’avait jamais autant aimé le faire qu’avec elle, quant à elle, cette première fois scellait à jamais son cœur au sien. Et malheureusement l’histoire n’arrange jamais les choses à la sauce du meilleur des deux. La première peut-être la bonne. Ce fut le cas. On la retrouva enceinte et seule deux mois après.

    Maxwell » Comment as-tu pu ? Aller outre les règles de la famille ! Tu n’auras pas de rapport avant le mariage ! Quel est donc le mot trop difficile dans cette phrase pour ton pauvre cerveau ?
    Jacinthe » Mais tu es une traînée ! Ma famille ! Déshonorée ! Par TA faute ! Je te renierais sur le champ si je n’avais pas une autre solution.
    Maxwell » Une solution ? En dehors du mariage avec le père de l’enfant quelle solution peut-être envisageable ? Ah mais bien sûr ! Jacinthe tu es diabolique !
    Jacinthe » Je sais chéri. Un avortement, puis une dot conséquente ne devraient pas être de trop pour qu’elle épouse un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise. Leurs mœurs sont moins fiables que les nôtres, ils ne regarderont pas si elle est vierge ou non.
    Natacha » Mais ! Maman ? Papa ? Vous n’êtes pas sérieux ? Je ne vais quand même pas me marier et avorter !
    J & M » Non tu ne vas quand même pas le faire.
    Maxwell » Tu crois qu’on te laisse le choix ?
    Jacinthe » Mais voyons chérie, tu sais bien que tu as le choix.
    Maxwell » Ah bon ?
    Jacinthe » Tu préfères te marier ou être reniée ?
    Natacha » Allez au diable ! Je ne me marierais pas !
    Maxwell » Chérie, appelle le notaire, Newton notre cher neveu sera content d’hériter de nos millions.
    Natacha » Vous êtes infects !
    Jacinthe » Et toi tu es ruinée.


    Ce fut la dernière fois que Natacha entendait parler de ses parents. Malheureusement pour eux, en cet année de grâce de 1991, ils se verraient bientôt affublés d’un nouveau-né. Patience est mère de sûreté. Huit mois après, on vint sonner à la porte des Turner. L’agent de police leur donna l’enfant, leur expliquant ce qui était arrivé. Natacha laissant derrière elle, son enfant et une seule et unique lettre, dans laquelle elle demandait à ses parents de prendre soin de son enfant et expliquait pourquoi elle partait, elle reconnaissait ses erreurs. Au final elle avait préféré l’envol par le premier pont qu’elle avait croisé à l’éducation de son enfant. Tant pis.


    Longtemps Maxwell et Jacinthe avaient pensé qu’ils ne pourraient pas élever cet enfant comme s’il était le leur, et pourtant, ils avaient appris à l’aimer, à oublier la déception que leur fille avait engendré tant en s’humiliant qu’en l’engendrant lui. Leur amour inconditionnel fut tout de suite plaqué sur les joues du bébé. A huit mois il était l’enfant le plus gâté que le continent avait connu depuis des siècles. Sa mère n’avait fait que le mettre au monde, mais si Lune avait su, aucun doute qu’il l’aurait remercié. En se tuant elle avait fait de lui l’enfant le plus épanoui qu’il était possible d’imaginer. Bien sûr l’absence de parents directs était une surprise pour tout le monde, les Turner la justifiait par l’assassinat de leur fille et la dépression du père de l’enfant qui l’avait renié en quittant le pays puis, progressivement le continent. Mais qu’importait, d’une certaine façon Natacha s’était sacrifiée pour le bien de son fils, qui grandit dans l’opulence et le luxe, comme elle des années plus tôt. La différence, il était un homme. Le mâle qui serait chargé de transmettre le nom. Tout lui souriait, le physique, le nom, le cadre familial. Quelle ne serait pas la déception des grand-parents quand ils comprendraient, par une journée de Septembre que les fêtes privées de leur petit fils dans le pool house n’étaient rien d’autres que des orgies. Si encore ces sauteries infâmes étaient bisexuelles, la seconde déception vint quand ils ne virent rien d’autres que des enfants de bonnes familles et d’autres garçons tous plus beaux les uns que les autres. La famille était-elle maudite ? Le nom ne devait-il pas résister après la génération des grand-parents ? Les questions n’avaient de cesse de tourner dans la tête des deux aïeux.


    Lune » Grand-mère, grand-père. Puis-je vous parler s’il vous plaît ?
    M & J » Parle nous t’écoutons.
    Lune » Je sais que ce que vous avez vu vous choque, vous blesse et vous cause bien des problèmes.
    Jacinthe » Nous ne voulons que ton bonheur tu sais. Mais c’est une déception, nous espérions un héritier.
    Lune » Je sais Grand-Mère, mais, comprenez que je n’ai pas envie de me forcer à avoir un enfant avec une femme que je n’aurais de cesse de tromper. J’aime les hommes, ce n’est pas un mal.
    Maxwell » Qu’importe. Newton sera ravi d’apprendre que son fils deviendra l’héritier du titre. Bien sûr Lune, tu garderas l’argent et les titres de ta grand-mère.
    Lune » Je vous aime.


    Il sortit, dans la nuit noire, retournant à ce qu’il aimait faire. Une fête. Si ses grand-parents n’avaient pas été ses derniers liens il ne serait jamais allé leur parler. S’il l’avait fait, c’était uniquement par respect pour eux. Toute sa vie il n’avait vécu que dans l’ombre, pour ne pas leur briser le cœur. A Poudlard, il se sentait chez lui, libre de coucher avec cette fille s’il en éprouvait l’envie, avec ces jeunes hommes s’ils se laissaient tenter. A la maison ils avaient le droit à une version revisitée et adoucie de qui il était. Être différent avec eux était une habitude qu’il avait prise. Pourquoi se cacher quand personne à Poudlard n’avait envie qu’il se cache ? La version édulcorée, douce et souriante n’avait pas sa place dans l’école de sorcellerie, transformée en lieu de perdition des mieux fréquentés. Les sexes n’avaient jamais de repos, les bouteilles n’avaient plus de fond et les cigarettes n’avait de fin que lorsqu’on manquait de souffle. Un paradis dans lequel Lune se sentait plus roi que pion. Son milieu et son éducation lui avait appris les bonnes fréquentations et la façon dont on avait tout ce qu’on pouvait vouloir. Son caractère acide pouvait prendre son ampleur et ses envies mondaines de solitude pouvaient être compensées par un verre supplémentaire. La seule chose qu’on achetait pas, c’était sa langue, elle qui piquait la peau à vif et qui vivifiait les peaux piquantes des gorges mal rasées.


    La grande salle était éblouissante, se pavaner au milieu de tout ce monde lui procurait une impression grisante. Il ne leur était pas supérieur, ni inférieur, en quelque sorte ils étaient tous égaux ici. Devant le péché qui ne peut succomber ? Le but de son passage ? Trouver une cible, une nouvelle personne avec qui s’amuser un jour, deux jours. Pas plus, pas moins, rien ni personne ne méritait qu’on ne s’attache. Une fois il avait essayé, une fois l’amour l’avait dévoré et une fois pour toute il s’était détesté. S’en vouloir au point de préférer souffrir que de se revoir, imaginer la mort comme unique échappatoire ? Sa vie avait perdu son sens, pendant quelques semaines, il n’avait été que loque. La question qu’il s’était posé avait d’abord était « pourquoi ? » l’évidence ne sautait aux yeux que de Clément. Leur amour était passionné, certes, passionnel, aussi, destructeur, probablement. Mais qu’importait qu’ils se fassent du mal s’ils étaient là pour le réparer par la suite ? Le temps effaça des mémoires cette sinistre époque. Dans la sienne le nom de Clément résonne encore comme était synonyme de douleur. L’amour lui avait cassé les ailes, son poids lui avait fendu le cœur et tout ce qu’il en restait était une profonde rancœur. Le point positif de cette histoire ? En étant optimiste, était qu’il n’avait à le croiser, ce démon tout droit sorti de son enfer personnel, que pendant les vacances d’été, toujours à se pavaner aux bras d’un bellâtre musclé à outrance. Tout ce que Lune détestait, en quelque sorte comme si Clément s’amusait à le provoquer. La douleur avait laissé sa place à un sentiment d’amertume, il l’avait aimé et à présent il le détestait de tout son cœur.

    Aussi à Poudlard il était libéré des contraintes qui reposaient sur son dos pendant qu’il vivait chez ses grand-parents. La discrétion dans l’école de sorcellerie n’était pas de mise, les élèves s’affichaient tous plus ou moins, quelle que soit leur lubie ou la personne avec qui ils s’envoyaient en l’air. L’avantage des relations d’un soir c’était qu’au lendemain Lune n’avait pas à s’afficher avec l’autre. De plus, s’il était de ces gens qui sont vigoureux durant l’acte, la personne à son côté perd toute sa valeur au réveil, alors il devient exécrable. Ce garçon qui se trouvait là ce matin avait tout pour plaire, un visage charmant un corps d’éphèbe, il ne lui manquait qu’une chose, un peu d’intérêt. Sous la douche l’eau brûlante le lavait de ses ébats nocturnes. Sa main savonneuse parcourait son corps lascivement, quand il sentit une main, puis un corps nu, se coller au sien.


    Lune » Qu’est-ce que tu fous bordel ?
    Stanislas » Je te retrouve sous la douche.
    Lune » Mais dégage tes pattes de là !
    Stanislas » Tu me fais quoi là ? C’est bon t’en as envie, j’en ai envie où est le problème ?
    Lune » Le problème réside dans le fait que j’ai envie de baiser, mais sûrement pas avec toi.
    Stanislas » Tu simulais pas hier, alors arrête de me faire croire que je te laisse indifférent !
    Lune » Tu l’as dit ! Hier ! Aujourd’hui tu me fais moins d’effet qu’un glaçon ! Allez, barre-toi tu m’empêches de me préparer pour mon rendez-vous de ce soir.
    Stanislas » Mais va te faire foutre !
    Lune » C’est exactement ce que je ne veux pas faire avec toi. Tu permets que je finisse de me doucher, sans toi.
    Stanislas » Connard !
    Lune » Paroles, paroles et paroles.


    Le corps tiède et sec se décolla de son dos, l’espace d’un instant il l’aurait bien retenu, un coup succinct sous la douche, mais le plan était un peu trop glauque pour qu’il ne le fasse et après la douche froide qu’il avait infligé à ce pauvre Stanislas, il doutait qu’il veuille encore prendre son pied avec lui. Ne le jugez pas trop vite, en plus d’être méchant, comme présentement, il est aussi un amoureux de la nouveauté. Ce qui brille au début est forcément d’or, ce qui se ternit c’est de la merde. Aussi simple que ça, mais c’est sa philosophie. L’amour lui a fait trouver une exception, pendant plusieurs mois il ne s’est pas lassé, mais au vu de la façon dont cette relation amoureuse a fini, il a déduit simplement que sa philosophie l’aidait à survivre dans la meilleure condition psychologique possible. S’il s’était interdit l’attachement il n’avait pourtant pas renoncé à certains principes de sa famille, l’exigence, en ce domaine il aimait l’excellence. Tant dans ses études que dans ses fréquentations, s’il couchait avec une personne il se fichait de son talent pendant l’acte, mais si cette personne était d’une bêtise effarante et d’un manque de goût probant, elle déguerpissait. Trier sur le volet les gens était un des rares caprices de sa famille dont il avait hérité.

    L’école ? Vous savez, s’il y a bien une chose qu’il apprécie ce sont les bonnes notes. L’école en elle-même n’est pas sa plus grande amie, mais il aime certaines matières, comme la métamorphose ou les sortilèges et enchantements. On dit souvent que les enfants de riches n’ont pas besoin de travailler pour vivre. Sachez une chose, les parents riches, ici grand-parents, n’ont qu’un objectif faire en sorte que leur progéniture grandisse par elle même, qu’elle devienne capable de reprendre l’affaire, l’activité familiale, sans pour autant les aider. On a souvent vu des enfants de pauvres penser que si les héritiers étaient toujours premiers de la classe c’était grâce à leur statut. Si c’était le cas pour les autres, Lune n’avait pas bénéficié de ce traitement de faveur, sans être un élève brillant, il adorait apprendre de nouvelles choses, quand elles étaient intéressantes, il lisait beaucoup, n’oubliant pas pour autant d’avoir une vie en dehors. Il s’était toujours saigné pour avoir des notes dignes de ce qu’attendaient les autorités en vigueur. Être parmi les meilleurs de la classe, sortir dans les premiers de sa promotion, avoir un dossier impeccable, tout ça pour une seule chose, pouvoir ensuite choisir la fonction qu’il souhaiterait dans l’endroit qu’il désirerait. Ce n’était pas par passion pour les professeurs qu’il était souriant, bien qu’hypocrite la plupart du temps, avec eux. C’était pour ne pas se les mettre à dos. L’élève qui ne bossait que très peu, sauf la veille des examens, ou quand l’objet d’étude lui plaisait, n’avait jamais été le chouchou du professeur. Aussi, une attitude avenante et presque sympathique avec eux adoucissait leur amertume. Tout était dans la manipulation, art dans lequel il excellait, notamment envers les adultes, professeurs, membres du personnel ou encore familles et parents d’amis.




Dernière édition par Lune G. A. Turner le Ven 12 Déc - 21:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.   Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes. Icon_minitimeVen 12 Déc - 23:17

Relationship & P.O.V.

    Témoignage de ses camarades d’été. Amis de sauteries. Compagnon de buvette. Prise de son réalisée lors d’une journée où tous les amis d’été avaient apporté leur caméscope pour immortaliser leurs amitiés et les pensées de chacun sur le propriétaire de la caméra. En exclusivité, trois témoignages sélectionnés avec soin.

    Siméon Richard » Lune ? Putain ! Lui et moi ! On a dû rendre mes parents fous ! Toutes ses soirées qu’on a passé à boire, à fumer et parfois même à baiser à côté de leur chambre ! Un truc de dingues. Si je devais le définir en un mot : Géant ! Tout ce qu’il fait il le fait mieux que nous, même se mettre à l’envers il le fait mieux que nous et pourtant nous sommes des experts en la matière, pratiquant toute l’année la boisson alcoolisée. Sinon, un petit conseil, ne le fréquentez pas le jour, la nuit il est plus sauvage et plus branché collé-serré, le jour il est plus branché sarcasme et piques glacées. Enfin, si comme nous vous savez le mettre à l’aise, nu dans une piscine avec tous les plus beaux apollons de la City, il est abordable avant la tombée du jour, mais pas avant 17 heures. Bon, mon temps imparti est passé. Lune je t’aime mon pote ! Vivement l’été prochain gros !

    Lucas-Wilfried Moskovitch » Je fais vraiment ça parce qu’on est obligé de passer devant toutes les caméras du groupe. Je crois que t’es la pire personne que je connaisse Lune ! Franchement, comment tu fais pour être aussi peu réceptif ? On a couché ensemble une fois, je t’ai couru après trois semaines et tu ne m’as même pas regardé. T’es qu’un gros chien. Je comprends même pas pourquoi les autres te vénèrent tant que ça, t’as rien de si extraordinaire. T’as une belle gueule, un humour terriblement blessant et t’es arrogant. Alors tu sais quoi, retourne dans ton pensionnat pour futures merdes et l’an prochain laisse nous tranquille.

    Arthur-Sid Fitzgerald » Tu me laisses véritablement sceptique. Tu m’as snobé pendant la première partie des vacances, puis tu m’as approché presque férocement, avant de me mettre dans ton lit très rapidement. Ok c’était ce que tu cherchais mais pourquoi tu tournes les talons dès que je t’approche ? Je sais bien que tu ne veux rien de sérieux, mais c’est pas parce que tu me repousses quand je t’embrasse que je veux quelque chose de sérieux. Non, j’étais en manque, même si apparemment toi tu as couché avec toute la bande… Tu t’es rassasié pour toute l’année ? Même si tu m’as un peu délaissé je t’aime bien tu sais ! Alors bon courage et reviens nous en un seul morceau et avec un peu plus d’amabilité.





    En dehors de ses amis d’été, il avait, au cours de l’année croisé un jeune homme qu’il n’avait auparavant jamais remarqué. Un garçon de septième année, chez les serpents. La première fois qu’il le remarqua et qu’il se questionna sur le « comment était-il possible qu’il lui ait échappé pendant sept ans » il supposa que c’était parce qu’il n’avait encore jamais eu de relation avec un asiatique. Mais après mûre réflexion c’était une hypothèse contestable, il n’avait jamais fait de différence entre les races, noirs, blancs, beurs, la différence c’était la personne. Aussi, la semaine qui suivit cette première fois, visuelle, il rit de bon cœur, un peu moqueur, en voyant Yoshi, dont il ignorait alors le nom, se rapprocher petit à petit, étape par étape, de la table, ses yeux se fermant au fur et à mesure que s’approchait le bois, pour enfin se clore jusqu’à ce que la sonnerie ne retentît. C’est alors, qu’amusé, il se lève pour aller à la rencontre du bonhomme émergeant avec moult difficultés de son sommeil. Approchant de la table il lança son dossier de note pour le cours. Le bruit que fit alors la pile de feuille fut inattendu, tant pour ses oreilles que pour l’ensommeillé.

    Lune » Tu risques de galérer si tu continues ta sieste. Prend mes notes, elles te seront bien plus utiles que les… Enfin que la superbe feuille blanche qui te sert de coussin.

    Maugréant un merci, sur un ton qui relevé presque de la colère, il prit les notes et tourna les talons. C’était décidé. Ce garçon-là il devrait être à lui. Pour un soir ou peut être deux. Mais il l’avait piqué à vif, tant dans son corps que dans sa fierté. Alors qu’il avait fait un geste qui lui semblait un peu aimable, cet idiot asiatique n’avait même pas pris la peine de le remercier comme il se devait. Lune en faisait le serment silencieux, ils étaient appelés à se revoir.


The end.
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Choixpeau Magique

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MessageSujet: Re: Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.   Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes. Icon_minitimeSam 13 Déc - 2:08

J'ai pris beaucoup plaisir à lire cette fiche, le côté sombre/clair du personnage, ses piques glacées. Très intéressant, une famille qui tient beaucoup à ses valeurs, un jeune garçon imbu de lui même mais qui respecte ses proches, qui a des valeurs mais dont on se demande parfois où il les a laissées:

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MessageSujet: Re: Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes.   Lune, venez rêver parmi les étoiles nocturnes. Icon_minitime

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