A fini sa fiche de présentation :D

i d e n t i t é ;


Nom; D'Argantrîa
Prénom; Isis Ellià
Surnom; Zi'
Âge; 17 ans
Année; Septième

Nationalité; Française
Orientation Sexuelle; Hétérosexuelle
Sang; Sang Pur



monde magique ;


Maison souhaitée; Serpentard

Baguette; Tailler dans du Pommier très résistant avec à l'intérieur un cheveux de sirène, longue de 22 centimètres, baguette unique faite sur mesure.

Forme du Patronus; Louve

Forme de l'Epouvantard; la Vieillesse, Isis a très peur de la vieillesse, lorsqu'elle était petite elle a vu ces grands parents vieillir et mourir. Toutes ces rides et la décrépitude du corps, hante ses nuits de cauchemars.
Animal de Compagnie; Un Chat

Métier Envisagé; Ne sais pas encore.




Rp :



Croire en la réalitée des choses, une fois tout espoirs perdus, est beaucoup plus facile que le pense certaine personne, à la fois blasé par une enfance trop démesuré et une envie de tout contrôler, ma soif de pouvoir s'est agrandis en quelques semaines.
Ma famille et moi qui vivions en France avant aujourd'hui avons dû déménager par ma faute. Depuis des millénaires le nom d'Argantrîa a souvent fait régner la terreur et la curiosité des autres sorciers. D'origine française nous avons toujours habité Paris, la plus belle ville du monde à mes yeux, devant ces moulures, ces tableaux, ces monuments j'en prenais plein la vue et en pensant qu'avec la seul force des Hommes ces monuments ont pu se lever de terre. Mon père travaille au ministère de la magie française, comme agent, je n'en sais pas plus, ce qui depuis mon enfance m'a très souvent interloquée. Ma mère reste à la maison s'occupant de faire des "party" ou des rendez-vous "tasse de thé" avec ses amies. Obligeant l'elfe de maison à faire tout toute seule, le ménage, la cuisine... parmi les 250 mètres carré habitable de la maison.

De Sang pur depuis des générations, noble en soi-même, ma famille essayent de se fondre dans la masse de moldu, remplissant nos placards d'habits de marques plus prestigieuses les une que les autres, j'adore la mode moldu, elle épouse les formes de votre corps, pas comme ces horribles robes de sorciers que j'exècre, mais bon "On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille ...". Dans notre famille, nous sommes tous blonds, aux yeux bleu. Je ressemble beaucoup à ma mère, les cheveux m'arrivant à la taille, mes grands yeux bleu, mon corps sculptés par les partis de Quidditch, ma peau d'ivoire ressemblant à du marbre, aucune imperfection, faisant tomber les coeurs et pourtant n'en attendant qu'un seul ...
Depuis ma plus tendre enfance mon père et ma mère m'ont tout laisser passer, avec la magie et nos ressources inépuisable en matière d'argent j'ai souvent outrepassée les droits qui m'étaient assignés. Ma mère et sa sainte horreur des moldus ou des sangs mêlés, m'a enrôlée dans une espèce d'organisation secrète qui par magie m'empêche de vous révéler ce que nous y faisons, en tous cas sachez-le, ce n'est pas très reluisant ... Mon père et moi avons toujours eu une relation complice, le soir avant de m'endormir il venait me raconter des histoires et me caresser les cheveux jusqu'à ce que je m'endorme !
Petite j'étais très colérique, voulant tout ce qui était sur mon passage, j'ai développé mes pouvoir sans vraiment m'en rendre compte, dans un magasin de farce et attrape, ma mère ne voulait pas m'acheter une sucette qui ne s'épuise jamais... à la sortie je l'avais dans la poche. Lorsqu'Irina (ma mère) s'en est aperçu ce fus plus de la joie qui s'affichât sur son visage que de la colère, néanmoins je n'avais plus le droit de sortir pendant un moment, pour que je m'habitue à mes pouvoirs.
Depuis ce jour-là tout ce que je souhaite je l'obtiens, mon envie irréversible pour les petites choses qui brillent. Récolter des trésors qui font toute ma fierté. Des objets de Gobelins j'en ai des centaines, mon père ne me refusera jamais rien, un point en plus ce qui aide, vous ne pouvez pas vous l'imaginez.
Le jour de mes 11 ans lorsque nous étions dans la rue magique de Paris, ma mère m'a offerte une magnifique baguette, la plus belle de toute, celle que j'avais rêvée un jour dans ma tendre enfance. Faites sur mesure pour moi, dans un écrin noir et vert avec le sceau d'Irgantrîa dessus. Je l'ouvris. Mon coeur s'affolait dans ma poitrine, mes mains tremblées tellement, tant j'étais énervée par ce présent qui avait l'air ... tellement officiel ! Tailler dans du Pommier très résistant avec à l'intérieur un cheveu de sirène, longue de 22 centimètres, elle était la plus belle de toutes, irradiant de sa beauté le magasin tout entier. Tout à fait prête pour rentrer a Hogwart. Un de plus beau jour de ma vie, la grande salle immense, sans plafond apparent, les drapeaux des différentes maisons, scintillant de toute part.
Bien sûr l'éloignement me pesais au début, mais nous nous y faisons très vite et mes amis étaient là pour moi ! Mes parents me manquaient, des parents adorables jusqu'à un certain point, aujourd'hui encore je me pose beaucoup de questions :
Qu'est-ce qui est arrivé ?
Pourquoi nous ?
Pourquoi moi ?
Bref des questions sans réponses. Parmi tous les sorciers qui habitent Paris j'ai dû tomber amoureuse d'un Homme qui n'en était pas un, beau, jeune, blond, romantique, grand, musclé... mais pas sorcier, en soi-même je n'ai rien contre les moldus, du moment qui ne nous embêtent pas, c'est une race comme les autres, pareil à des parasites qui encombrent nos villes, mais à quoi bon ? Je m'égare... Antoine, il s'appelait. Il attendait ces amis dans un café sur les champs ; avec ma meilleure amie, Alice, après avoir terminé nos achats nous y sommes rentrées aussi et il était là, beau comme un dieu, en chemise bleu ciel Ralf Lauren, un jean Emporio, MAGNIFIQUE ! Bien sûr Alice ne l'avait même pas regardée, mais moi, c'était comme si une avalanche m'était tombée dessus, impossible de détacher mes yeux de lui, après avoir repris mon souffle je serais bien allée lui parler, mais je sentais le regard d'Alice qui me vrillait le dos.
Avec pour espoir de le revoir je me rendis le jour suivant dans ce café, il était là, lorsque je suis rentrée. Comme lorsque je regarde un bijou, ma seule préoccupations en cet instant fus qu'il m'appartienne. Il m'a sourie, au départ j'ai cru que ce n'étais pas pour moi, mon coeur s'accélérait, je ne pensais plus très bien, des millions d'émotions se sont bousculées dans ma tête, la joie, le dégout, l'envie ... ha l'envie, ma grande faiblesse, avoir tellement de pouvoir et en vouloir encore plus, toujours plus, ne faire que ce qui me semble bien pour moi, très égocentrique je vous l'accorde ! Il m'a regardé, comme s'il attendait un signe, je lui souris à mon tour ... Il se leva, démarche digne d'un roi, souple, ses cheveux accordés aux miens, même teinte, blond doré, ces prunelles se posèrent sur moi, je n'avais qu'une envie, l'embrasser.


Chaque soir avant de m'endormir je ne pensais qu'à lui, même si j'avais conscience que ce rêve ne durerait pas, j'avais besoin d'y croire, oubliant dans ses bras que je ne faisais pas partie de son monde et que le mien n'attendait que la fille déshonorant les siens, sortir, embrasser, coucher, avec un moldu... de quoi faire jaser toute la famille pendant au moins deux décennies ! De plus les longues séparations dû à mon éloignement à Hogwart ne nous facilitez pas la tâche, j'attendais toujours avec une impatience désordonnée mon retour à Paris pour Le voir.
Il s'abandonnait corps et âme, à moi, je ne supportais plus de lui cacher la vérité. Il ne comprenait pas pourquoi je disparaissais de temps en temps, pourquoi il n'avait pas le droit de venir chez moi, pourquoi il ne pouvait pas voir mes parents, ça le frustrait et moi avec lui.
*Tu sais que je t'aime mon amour ?* me demanda-t-il avec se sourire en coin que j'aimais tant.
*Oui bien sûr, moi aussi mon ange* lui répondis-je avec ce même sourire.
*Que dirais-tu si nous faisions une surprise à tes parents ? Ce soir par exemple...*
*NON* coupais-je avec violence. Mes yeux étaient froids, je m'étais raidi sur son lit, oubliant que sous la couette j'étais nue.
Il caressa la peau de mon épaule, j'en frissonnais, il soupirait, frustré de ne pas comprendre. La colère laissa place à une émotion plus forte, la culpabilité, je mourrais d'envie de lui dire, qui j'étais en réalité, mais le secret serait trop dur pour lui et je ne souhaitais pas que mon bijou, mon ange, mon amour, me regarde, comme si j'étais folle ou un monstre. Il ne comprendrait pas et le fait que je le sache, j'en avais les larmes aux yeux. Comment pourrais-je vivre avec lui si je ne peux avoir confiance en lui ? Comment lui expliquer de ne pas avoir peur ?
Il m'arrachait à mon désespoir en me regardant de plus près, levant mon menton pour que ses yeux croisent les miens.
*Je ne voulais pas t'offenser, mais tous ces secrets, je n'arrive pas à comprendre...*
*Je te l'ai dit, ma famille est très protectrice envers moi et même si je leur dis que je suis heureuse, ils me voleront mon bonheur, toi. Je ne peux pas me résoudre à ça. Je suis désolée si ça te gène, mais nous ne pouvons pas faire autrement. Je ne peux pas vivre sans toi, je t'aime Antoine et rien ne pourrais changer ça, à part mes parents bien sûr ...*
*Mais ils sont quoi des agents secrets ?*
*On peut dire ça...* fis-je avec un mince sourire.


Après un après-midi avec Antoine, un merveilleux après-midi, je rentrais chez moi, la tête dans les nuages, revoyant son sourire, mémorisant son rire, car devant ma maison, j'eus un pressentiment, comme si on allait m'enlever quelque chose de précieux, ma première pensée fus pour les bijoux des Gobelin, un regard vers ma chambre m'appris que quelqu'un y était rentré. Je marchais prudemment jusqu'à la porte quand j'entendis mon père hurlait :
*ISIS ELLIA D'IRGANTRÎA, VIENS ICI TOUT DE SUITE ! !*
Mon coeur eu un raté.
Mes pensées se tournèrent de suite vers Antoine, comment je n'y avais pas pensée tout de suite ? Non ils allaient me l'enlever, ils ne pouvaient pas faire ça. La colère me pris, je me plaignis, suppliais, m'énervais, mais rien ni fis.
Ce fus le chaos dans toute la maison, moi qui avait l'habitude que rien ne me sois refusée, voir mes parents dans un tel états me secoua tout entière, ma mère pleurait a chaude larme en répétant
*Déshonorés, nous sommes déshonorés*,
mon père se mit dans une rage folle, il pleuvait des maléfices dans toute la maison, Alice était là bien sûr, elle me dévisageait, elle qui m'avait promis de ne rien dire, mais malheureusement la jalousie se cache dans tous les coeurs ...

Je fus privée de sorties pendant plus d'un mois, le mois d'août fus très malheureux pour moi, je ne pouvais sortir qu'accompagner par une ribambelle de sorcier "pour ma sécurité"...
Pleurant à chaude larmes ou détruisant les meubles, remplie de rage, je ne savais que faire, le téléphone portable qu'il m'avait acheté briser en mille morceaux par un de mes accès de colère, le regrettant aussitôt, nous ne pouvions plus communiquer et je m'en mordais les doigts.
Après deux semaines de séquestration, je sortais en douce de ma chambre pour aller le rejoindre, il était dans sa chambre, mais quelque chose avait changé dans sa façon de me regarder, comme s'il ne se souvenait pas ... le coeur au bord des lèvres, j'ouvris la porte-fenêtre de sa chambre, je lui souris, mais lui non, à croire que je venais de le gifler, il hurla :
*QUI ETES-VOUS QUE FAITES-VOUS DANS MA CHAMBRE ? ? PAPA, MAMAN ! !*

je ressortis directement sans me retourner, pleurant, m'écroulant sur les pavés, je ne voyais plus rien et j'avais envie de mourir, l'amour de ma vie qui ne me reconnaissais pas, me traitant comme une voleuse, je ne ... puis la colère s'emparais de moi, comment avaient-ils put me faire sa ? Mes propres parents jeter un sort d'oubliette sur l'homme de ma vie ? A présent je hurlais de rage, fracassant tout sur le chemin de la maison, arrivée dans mon salon je jetais des sorts partout tentant de faire mal. Mon père m'agrippa le bras et me regardas avec une tristesse au fond des yeux que je ne lui croyais pas capable, je me calmais de suite.

Nous n'étions pas seuls dans le salon, un sorcier, très grand les cheveux noir comme de l'encre me fixais avec un sourire approbateur, je le devisageais ma rage me reprenant tout d'un coup, mon père m'expliqua pourquoi il étais là, combien ma rage avais decuplé leur interets pour moi, ma mère dans le coup, me regardais comme un objets de fascination, de convoitise, je ne comprenais plus rien. Tout se passa très vite, un sort qui décuple ma rage me fus transmis, des sorts de magie noire, des grimmoires, beaucoup trop de choses que je n'aurais jamais souhaitais avoir. Je m'enfermais dans ma chambre tentant de Lui rendre la mémoire, esseyant tout... en vain. Je me faisais beaucoup trop de mal, ma mère n'étais que trop silencieuse, elle m'observait, comme un rats de laboratoire. Tentant de déterminer quand sera mon prochain excès de colère mais rien ne vint. Je multipliais les achats, achetant des choses que je ne mettrais jamais ou des objets complètement inutiles comme des livres moldus. L'envie, le besoin, le pouvoir s'empara de moi avec tellement de violence que je ne supportais plus de rester parmi les gens qui m'avaient trompés.

Je prévoyais de partir en Italie lorsque mon père me rappela la place que j'avais à Hogwart et que pour rien au monde je devais partir, que ma place parmi les sorciers avait déjà été écrit, que la vie ne valait pas d'être gâcher par un moldu. Prenant mon courage a deux mains je ne partis pas et revint à Hogwart le coeur plein d'amertume et de colère.

Cependant, les jours et les semaines passèrent, je n'éprouvais plus autant de ressentiments, l'envie me repris, je désirais une chose, encore une, la reconnaissance des autres pour mon talent, le besoin d'éprouver que l'on m'aime, faire de grandes choses ...



r é a l i t é ;


Avatar; Lauren Conrad
Pseudo; Choupette
Prénom; Ophélie
Âge; 17 ans
Comment avez vous découvert le forum ? Maiwenn

Comment le trouvez vous ? Sympa, le design est bien.
Code; OK by Za'.

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Bonsoir, je n'ai pas tout lu, mais en tout cas première chose: relis ta fiche tes premières lignes ont beaucoup trop de fautes, fait attention voyons tu mets un sujet pluriel et tu n'accordes pas les verbes, tu mets du féminin et pareil, j'aimerais une réelle relecture de ta fiche pour corriger tout ça .

J'ai parcourus le reste de la fiche, il me semble à vue d'œil que ton caractère ne soit pas assez développé, va falloir retaper cette fiche mademoiselle, respire, ne vas pas trop vite, réfléchis à ce que tu écris et au lieux d'effleurer les choses, ne te contente pas de ça, mais approfondis.

Préviens nous quand cela sera fait.

Voilas Messieurs, j'ai fait de mon mieux !

J'espère que ça vous plaira !

La fiche est refusée miss.
Désolé, je sais que c'est ton premier forum c'est justement cela qui me fait penser que tu n'as pas ta place ici, il y a beaucoup de fautes d'accord et ce n'est pas structuré, tu serais rapidement perdue au milieu de ceux qui Rpgient depuis plusieurs mois et qui ont la plume facile. Je te conseille de jouer sur des forums moins exigeants il faut commencer par le bas pour monter les échellons car si on vise trop haut, le risque de tomber est trop important.

Bonne continuation.