Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie)

Tancrède Dresde .. O'Dylan Stuart

« La diférence entre l'homme et la bête c'est qu'elle, elle n'a pas besoin de se droguer pour supporter son existance. Je crois qu'on appele ça l'absence de conscience. En tout cas moi je n'ai pas bien comprit ce qu'est la conscience. »

***

O’ Dylan Stuart. O’ Dylan est un nom irlandais puisque sa mère est à moitié irlandaise. Stuart, un nom illustre en Ecosse du fait de la dynastie de roi ayant régnés sur l’Ecosse puis sur la Grande Bretagne. Malheureusement, Tan n’a plus grand-chose à voir avec cette illustre famille.

Tancrède Dresde. Le premier prénom vient du fait que sa mère vient d’une ile d’Ecosse longtemps colonisée par les normands, l’ile de Lewis dans les Hébrides. Encore maintenant on y trouve beaucoup de descendants de normands.

Il y a plusieurs surnoms qui lui sont donnés. Tout d’abord, sa mère l’appelle Didi, à cause de son dernier prénom. Ensuite, il y a ses amis qui l’appellent Tan. Et pour finir, il a un surnom plus officiel, connut seulement par ceux qui savent où le trouver pour avoir du crack ou de l’herbe. C’est un surnom qui lui sert pour son business et qui reflète son caractère : Mandragora. Le plus amusant est que beaucoup de ceux qui entendent son surnom sans le connaître croient qu’il est une fille à cause du a final.

Tan est âgé de 18 ans depuis le 02 Février. Il est donc tout naturellement en 7° année.

Tan est écossais et irlandais du nord par sa mère, ce qui revient à dire dans les deux cas qu’il est britannique. Il y a cependant un petit détail à savoir sur sa mère. Celle-ci a été adoptée. Vous comprendrez donc aisément la couleur particulière de notre cher Tan. Pourtant, celle-ci n’arrête pas de lui dire que son père est allemand. D’où le prénom Dresde. Tan est curieux de savoir comment est ce pays, et il s’est juré de découvrir ses origines de ce côté-là. Mais comme son père n'est pas officiellement déclaré, il n'a pas la nationnalité allemande. Tordu non ?

Bisexuel. Tan ne refuse aucun plaisir que peut lui procurer la vie. Ce qui vaut pour la drogue vaut aussi pour le sexe. Il a tout essayé et veut tout essayer encore.

Enfant de Moldu autant qu’il sache. Eh oui, Tan n’a pas eut la chance d’être d’une famille de sorciers, du moins c’est ce qu’il croit. En effet, si sa mère est bel et bien moldue, il ne sait en revanche pas suffisamment de choses sur son père pour déterminer si celui ci est un sorcier ou pas. Il est persuadé qu'il l'est mais comment savoir ?

***

Tancrède n’a aucune préférence de maison, tant qu’il peut faire son petit business, rien ne le dérange.

Etrange combinaison que celle de la baguette de Tan, comme vous allez le voir. Le bois qui la compose provient d’un pommier, arbre de la connaissance et de la sagesse. A croire qu’il y a eut comme un bug lors du choix de celle-ci. A l’intérieur, on trouve un cheveu de Vélane pour la beauté dangereuse. Ca c’est plus dans les cordes de Tan. Quand à la longueur et à la consistance, je dirais qu’elle fait 21,5 centimètres et qu’elle est souple. C’est une belle baguette qui n’a pas vraiment de spécialité, contrairement à beaucoup de ses congénères qui sont faites pour des aptitudes précises.

Son patronus est un Kangourou. Quoique pour l’instant, ça ressemble plus à une grosse souris vu le peu de compétences que possède Tan pour ce sortilège. Il aime bien cet animal, bondissant et agile, qui sait se défendre face au danger.

Un serpent, basique comme peur. Tan déteste les reptiles. Il le transforme en ballon gonflable pour le combattre.

Tan n’arrive parfois pas à s’occuper de lui-même, alors imaginez qu’il ait à s’occuper d’un animal en plus. Sa mère a simplement insisté pour lui offrir une chouette baptisée Munich, comme la ville allemande. Comme quoi on aime ce pays dans la famille.

Tan a trois solutions qui s’offrent à lui pour sonavenir. Soit il fait la pute, soit il continue à dealer, soit il se prend en main et décide de continuer dans la botanique. Bon ok j’avoue, seule la dernière est une proposition qu’il envisage vraiment. Il ne se voie pas louer son corps pour de l’argent, et le deal est pour lui plus un passe temps qu’autre chose. Donc il prévoie de faire sa vie dans les plantes, voire peut être dans les potions. Son grand rêve est de devenir apothicaire et d’avoir sa propre boutique, mais il ne dirait pas non à d’autres métiers dans cette branche.

***

Avatar; Shou (Alice Nine)

Pseudo; KeroZen
Âge; 17 ans

Comment avez-vous découvert le forum ? Par hasard
Comment le trouvez-vous ? Par hasard aussi

Code; ok par Alice.

Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie) J0i82x

_Chapter One : Birth of the Herbalist

« Isild, tu sais que je ne veux pas perdre ma liberté. »

L’homme était appuyé dos au mur et regardait la femme qui faisait les cents pas au milieu de la pièce. Il était diablement beau, avec ses boucles châtaines et ses yeux gris, ses yeux rieurs et sa bouche moqueuse. Mais à présent, nul sourire ne venait s’étaler sur son visage, et ses yeux ne riaient pas silencieusement. Il regardait sa compagne avec tout le sérieux du monde, et avait dit sa sentence d’une voix neutre et posée. La dénommée Isild, brune, les yeux noirs, les traits asiatiques, savait ce que cette expression signifiait. Il n’y avait pas de solution de secours, pas de plan B. Il ne reviendrait pas sur sa décision, et cela se sentait à l’aura de tranquillité qui se dégageait de lui. Que pouvait-elle dire face à une telle détermination. Elle s’arrêta pour contempler son visage, comme elle l’avait fait si souvent, et elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose. Mais se mots ne voulurent pas sortir, conscients et honteux de leur inutilité. Alors elle referma la bouche et se tourna vers la petite créature qui contemplait la scène de ses yeux endormis. Un bébé, aux yeux bridés, qui se trouvait dans son lit en bois. Il regardait le plafond, tourné sur le dos, et essayait de tourner son regard neuf vers ses géniteurs. Isild devait réagir, pour le bien de son bébé. Elle se tourna d’un air décidé vers l’homme et mit ses poings sur ses hanches.

« Tu ne peux pas partir comme ça. Tu dois rester… au moins pour lui. »

Son ton était autoritaire, mais elle savait que cela ne suffirait pas. L’homme la regarda toujours aussi posément, sans rien ajouter. Une éternité sembla passer où l’on entendit seulement les petits bruits que faisaient le bébé. Il gigotait ses bras et ses jambes, comme un petit insecte cherchant à se remettre droit, et poussait de petits gémissements de protestation. Puis l’homme se décida à bouger. Il décroisa les bras et se décolla du mur. Lentement, il s’approcha d’Isild et la prit par les épaules en la regardant dans les yeux.

« Tu sais comment je suis… je n’aime pas me sentir attaché à quelque chose. Je suis libre Isild. Et je ne resterais pas. Ca vous ferait sans doute bien plus mal si je restais. »

Isild ne pouvait pas nier qu’elle avait pensé la même chose. S’il restait, il risquait d’être malheureux, comme prisonnier d’une cage dorée. Oh ce n’était pas qu’il ne l’aimait pas, au contraire, et elle le savait. Seulement il était libre comme un oiseau et le retenir ne ferait que compliquer les choses. Sa raison lui disait qu’il valait mieux qu’il parte, que c’était le mieux pour tous. Mais son cœur ne pouvait que hurler de le voir partir. Elle avait si peur de se retrouver toute seule. Et le bébé, comment savoir s’il serait heureux ? Dans un cas comme dans l’autre, Isild savait qu’il serait malheureux. Tous ils le seraient à leur façon. Aussi, elle plongeât son regard dans celui azur de son amant, et elle eut un sourire forcé qui voulait tout dire.

« J’imagine que c’est mieux ainsi. Je t’aime tu sais. »

« Moi aussi, mais je ne peux pas… »

Sa voix mourut sur ses lèvres lorsqu’il l’embrassa. Puis il se défit de son étreinte et se retourna, sortant de la chambre, puis de l’appartement. Isild resta là, écoutant la porte claquer ainsi que son cœur se fermer pour toujours. La page ne pourrait jamais être tournée. Le bébé lança une plainte qui la tira de ses pensées. Au moins lui restait-il son fils…

***

Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie) 9sxqut

Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie) 9sxqut

_Chapter Two : Sudden Awareness

Le bébé avait bien grandit. C’était maintenant un enfant aux yeux rieurs et au sourire facile. Il était vif, aimait faire des blagues. En quelques mots, pénible et adorable en même temps. Cet été là, il avait onze ans, et il s’apprêtait à entrer dans une nouvelle école à la rentrée. Le collège, il savait déjà que ça le passionnerait. Sa mère avait choisit une école pas loin, puisqu’elle avait toujours peur de le voir loin d’elle. Mais quelque chose donnait l’impression au garçon qu’autre chose se préparait. Il ne savait pas trop ce qui lui faisait dire ça, peut être les choses bizarres qu’il faisait de temps en temps. Sa mère ne voulait pas le croire, comme la fois où il avait changé la couleur du pull hideux que sa tante lui avait offert. De vert caca d’oie, le vêtement avait prit une jolie teinte bleue azur. Il ne savait pas encore comment il avait fait ça, mais il était sur que c’était lui qui l’avait fait. Voila où il en était de ses considérations, assis sur le banc dans le parc où il allait souvent. Il avait un short noir et un tee shirt blanc, ainsi qu’une casquette de même couleur. Rien de bien original en fait. Il regardait le ciel, penché en arrière, lorsque quelque chose retint son attention. C’était un oiseau qui volait dans le ciel, mais c’était bien trop gros comme oiseau. Il y avait bien des choses à Aberdeen, mais pas de si gros oiseaux. Pourtant, ça volait, se rapprochant de lui à grande vitesse. En plissant les yeux, il put voir que c’était un hibou. Un quoi ? Ici, à Aberdeen ? Le hibou se posa devant lui et s’approcha doucement, braquant sur lui ses yeux sévères. D’abord, Tancrède eut peur, mais il comprit bien vite que l’oiseau ne lui voulait aucun mal. Cette hypothèse fut rapidement confirmée lorsque l’animal tendit une patte vers lui, à laquelle était attachée une très grosse enveloppe. C’était énorme, à se demander comment l’oiseau avait fait pour transporter tout ça. Prudemment, Tancrède défit le nœud et prit l’enveloppe. Le hibou fit bouffer ses plumes d’un air important puis repartit à tire d’ailes, comme il était venu. Le garçon ouvrit précautionneusement l’enveloppe et regarda à l’intérieur. Des feuilles de papier, plusieurs même. Il les sortit et lut la première attentivement.

Citation :: « Cher Tancrède.

Tu ne sais pas qui je suis, mais moi, je sais très bien qui tu es, et je t’observe souvent. En tout cas j’essaye de garder un œil sur toi. Peut être même suis-je en train de le faire en ce moment ? »

Le garçon interrompit sa lecture et jeta un regard inquiet autour de lui. Tout cela avait l’air plus que louche. Après vérification, il se rendit compte qu’il n’y avait pas le nom du destinataire sur l’enveloppe comme c’est pourtant le cas d’habitude. Mais après tout, un courrier apporté par un hibou, c’est déjà suffisamment étrange. Il se remit donc à lire.

Citation :: « Je sais que tu vas trouver ça très surprenant, et que peut être tu croiras à une farce. Mais je te prie de bien vouloir croire que tout ce que je vais te dire est vrai. Bien sur, tu n’as pas entendu parler de Poudlard. Eh bien je puis te dire que c’est une école, une école très spéciale. En effet, on y enseigne la magie. C’est quand même autre chose que l’histoire et les sciences non ? En tout cas, tu y es inscrit depuis ta naissance, et ce grâce à tes dons. Tu as dut te rendre compte que parfois, tu faisais des choses peu banales ? C’est de ces dons là que je veux parler. »

La suite de la lettre parlait ainsi de beaucoup de choses, de magie, d’endroits nouveaux, de créatures fabuleuses. Tout cela décrivait la base de l’organisation du monde magique. Tancrède eut vite la tête qui lui tournait, mais il lut le dernier paragraphe tout de même.

Citation :: « J’ai eut l’accord du directeur pour t’envoyer la lettre d’admission et les fournitures en même temps que ma lettre. Cela va surement te surprendre. D’ailleurs, tu pourras trouver les fournitures là où je te l’ai dit tout à l’heure, sur le chemin de traverse. J’ai glissé un plan et des explications pour s’y rendre. Demande au barman de te montrer comment y accéder, c’est un homme très gentil et il a l’habitude des futurs élèves un peu perdus. Surtout Tancrède, promets moi de bien faire attention à toi. Le monde de la magie peut parfois se révéler néfaste si on n’y prend pas garde.

J’espère que l’on pourra un jour se rencontrer plus tard... Un jour peut être, il ne faut pas désespérer de ça. »

La lettre n’était pas signée, mais Tancrède avait comprit qui était l’expéditeur dès qu’il avait lut la mise en garde et la note d’espoir de la fin. Il ne lui restait plus qu’a avertir sa mère, ce qu’il s’empressa d’aller faire en courant…

***

Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie) 2gsjyis

Such a Lonely Day >T.D O'Dylan< (finie) 2gsjyis

_Chapter Three : Mandragora’s Blues

« Hey ! C’est toi Mandragora ? »

Le garçon qui venait de se faire interpeller de cette façon se retourna et toisa l’inconnu. Son visage ne lui était pas familier non. Plutôt petit, vêtu de fringues trop larges. Ce qui était effrayant, c’étaient ses yeux vides et fuyants, qui s’agitaient dans tout les sens comme s’il cherchait quelque chose. Et ses mains tremblaient, il se rongeait les ongles. Nerveux ? Il eut un sourire en reconnaissant en lui le type même du drogué en manque. Bien, il ne devait pas venir le voir pour tailler une bavette, mais plutôt pour s’acheter sa dose. Le garçon le regarda en croisant les bras, placide, ses yeux rieurs s’animant d’une petite lueur. Un sourire narquois vint se poser sur ses lèvres et il prit tout son temps pour répondre, détaillant son interlocuteur.

« Oui, c’est bien moi. Tu as besoin de quelque chose peut être ? »

Le drogué regarda autour de lui une nouvelle fois, avant de reporter difficilement son regard sur le dénommé Mandragora. Il aurait parié que c’était plutôt une fille, mais après tout, son cerveau avait grillé depuis longtemps avec ce qui lui restait de lucidité. Alors il ne s’étonna de rien. Il fit claquer sa langue contre son palais avec nervosité, cherchant à rassembler toute sa concentration vers ce qu’il voulait dire.

« Oui… du crack. T’en as ? »

« J’ai de tout… et aussi du crack. Liquide ! »

La dernière remarque ne concernait pas la drogue mais le moyen de payement. Cela aurait semblé limpide pour n’importe qui, mais l’autre le regarda un moment avant de comprendre. Enfin, il tira de sa poche un billet qu’il tendit à Mandragora. Celui-ci le prit, et lui donna en échange un petit sachet vert avec un dessin de ce qui semblait être une plante. Bah oui, la mandragore, évident non vu son petit surnom. L’autre eut un petit rire nerveux et marmonna avant de s’en aller. Mandragora poussa un soupir lorsqu’il se fut éloigné, et s’adossa au mur derrière lui. Combien en avait il vu, de ces pommés aux yeux ternes, qui fixaient le vide devant eux. Des junkies, trop défoncés ou trop en manque pour être sociable. Sale engeance. Il prenait lui-même quelques substances parfois, mais jamais assez pour être dans cet état. Il avait quand même un rang à tenir quoi ! Ces types ressemblaient à des loques, de quoi vous faire frissonner. Il ne se rendit pas tout de suite compte de la présence à ses cotés, mais sursauta lorsqu’une voix murmura à son oreille.

« Pourquoi tu continue ce boulot si t’es si blasé ? »

Mandragora sursauta et se retourna vers la personne. Un garçon, pas plus âgé que lui, c'est-à-dire environ 17 ans, maquillé comme une voiture volée. Joli morceau de viande, moulé dans un jean serré et un débardeur blanc. Dangereuse beauté, mais sérieusement amoché par a vie. Complètement pourri de l’intérieur on pourrait même dire. Le garçon s’esclaffa devant la surprise, ce qui fit râler l’autre.

« T’es con ! Tu m’as fouttu les pétoches Marnay ! »

Marnay, ce n’était pas son vrai prénom, mais c’était comme ça qu’on l’appelait dans le milieu de la rue. Des yeux qui vous fascinaient, un sourire aguicheur, et une vraie langue de pute. Quoique y’avait pas que la langue qui l’était, mais le mec tout entier. Mandragora eut un sourire et répondit enfin à sa question.

« Je fais pour le fric »

« Je savais pas que t’avais besoin de fric ! »

« Tss… pis si ça me plait ? T’es pas ma mère. »

« J’aimerais pas l’être. Mais bon tu fais c’que tu veux C’est pas mes oignons. Tant que tu me paye… au fait, ça te dit ? »

« Là non, j’attends un client qui doit venir. »

« Dommage, ça aurait bien commencé ma soirée. »

« Demain Marnay, j’essayerai de me libérer pour toi »

Il le prit par les hanches et l’attira contre lui pour l’embrasser. Oui, chaud comme la braise le seigneur des trottoirs. Mais Mandragora n’avait vraiment pas le temps pour une partie de jambes en l’air. Alors il le lâcha et eut un sourire avant d’ajouter.

« T’es la meilleure pute de la ville si ça peut te consoler. »

« T’es un ange Tan. Je pourrais presque t’aimer si je savais encore ce que ça voulait dire. Bon, j’ai du boulot moi. »

Puis il s’éclipsa, aussi silencieusement qu’il n’était arrivé. Mandragora le regarda partir jusqu’à ce que sa silhouette se fonde avec les ombres de la ville. Saleté d’endroit. Il n’était pas loin de retourner à Poudlard. Dans quelques semaines, la septième année s’annonçait. Un picotement dans sa nuque fit pressentir à l’adolescent qu’il n’était pas à bout de ses surprises. M’enfin, les cours étaient les cours. Tant qu’il pouvait faire son business, tout ça n’avait que peu d’importance…

Salut et bienvenue sur le forum

Une bonne orthographe et une histoire assez intéressante avec un caractère un peu léger, certes, mais qui nous évite une énième âme torturée. Je n'ai qu'une chose à te demander et c'est de décider de l'âge de ton personnage. Étant donné qu'il est en dernière année, il doit avoir 18 ans si il vient de fêter son anniversaire (en se disant qu'on est aussi en mars dans le RP) ou, s'il en a définitivement 17, être en sixième année.

Voilà, je te laisse modifier ça et je valide.

Je ne suis pas très bon en mathématiques désolé... voila j'ai rectifié

Ca ne fait rien, voilà juste qui semble exclure Serdaigle.

Et bien alors, mon petit, pour ton côté vif, blagueur, enjoué et sociable, ce sont les portes de POUFSOUFFLE qui s'ouvrent devant toi.

Pense à te créer une fiche de liens ainsi qu'un topic pour les demandes de sujets.
N'hésite pas à envahir flood et ChatBox, il y a peu de cas de morsure en ce moment.
Vote pour le forum et rapporte des points à ta chère maison en postant ici.
Fais-toi plaisir !

» Hum.... Mieux vaut tard que jamais ? :-P [finie ^^]
» # Thybalt Peterson _ Misery loves Compagny [finie] - [OK]
» L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE]