L i n c o l n ; Suddenly everything has changed. [TERMINEE]

i d e n t i t é ;

Nom;

Prénom;

Surnom;

Âge;

Année; Et on entame la Septième ! Lincoln est, en effet, sur le point d'entamer son ultime année à Hogwarts, à son grand regret. Déjà six années au compteur, Dieu que ça fait mal. Six années de bons et loyaux services à Messire le Choixpeau, oui, je veux une médaille.

Nationalité; Son passeport affiche une nationalité Anglaise, dû à ses longues années passées sur l'île Britannique. Il ne précise pourtant pas qu'il est issu d'une union entre une mère Américaine et un père Anglais.

Orientation Sexuelle;

Sang;

monde magique ;

Maison souhaitée;

Baguette;

Forme du Patronus;

Forme de l'Epouvantard;

Animal de Compagnie;

Métier Envisagé;

r é a l i t é ;

Avatar;

Est-ce un personnage prédéfini ?;

Pseudo;

Prénom;

Âge;

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Comment le trouvez vous ?

L i n c o l n ; Suddenly everything has changed. [TERMINEE] 819133

Code;

Ok

L i n c o l n ; Suddenly everything has changed. [TERMINEE] Sanstitre1fdc

Alors on tend la main et on se retrouve fou.

Une dame et deux hommes entrèrent dans la maison qu’habitait Lincoln, âgé d’à peine quatre ans. Il était alors sous la garde d’une nounou, ses parents se voyant dans l’impossibilité de rester à la maison. Ces gens-là s’intéressèrent tout de suite au petit, haut comme trois pommes, … et bariolé de peinture. Les grandes personnes lui déroulèrent toutes sortes d’informations, de papiers officiels, de douces paroles sensées le rassurer, … Lincoln n’était pas idiot, et encore moins patient. Il comprit que quelque chose n’allait pas. Sans l’ombre d’une quelconque gêne, l’insolent regarda la dame droit dans les yeux.

« Bon, il se passe quoi là ? »

Surprise, la dame garda son sang-froid et lui répondit, en utilisant des termes plus clairs, plus appropriés à son âge et à la situation. Elle lui apprit la pire nouvelle qu’un enfant puisse apprendre ; la mort de ses parents. Tout enfant normalement constitué devrait fondre en larmes .. à croire que Lincoln ne l’était pas. Il resta immobile, telle une statue, le regard vide, le visage inexpressif, pendant plus d’une minute. Cette dame n’était autre que la directrice d’un orphelinat Anglais, qui venait jusque là dans le seul but de l’arracher au manoir familial dans lequel il aurait dû vivre, sans le moindre souci, qu’il soit familial ou financier. Mais le destin avait frappé, il en avait décidé autrement. Ce fut lorsque cette dame voulut le consoler que l’orgueil de Lincoln surgit. Il répondit que tout allait bien et que ces choses là arrivaient, mais que la vie continuait. Son assurance était telle que la directrice de l’orphelinat jugea nécessaire de le laisser tranquille.
La voiture redémarra dans la soirée, avec Lincoln à bord. Il avait dû faire ses bagages, en laissant une grande partie de ses affaires, et de ses souvenirs. Il est vrai qu’à quatre ans, le plus important se résume à quelques jouets, la photo de la famille posée sur sa table de nuit et la peluche. Aucune larme n’avait encore roulé sur la joue du jeune homme, bien que profondément blessé. Non, il ne voulait pas faire ce plaisir à sa « nouvelle famille » qu’étaient les gens de l’orphelinat. Il serait au dessus de ça, plus fort que ça.
Le bruit du moteur dans les oreilles, Lincoln vécut le dénouement d’un préambule ; il voyait le seul endroit digne de confiance, dans lequel il était sûr d’être à l’abri de toute perturbation extérieure, disparaître à l’horizon. La cabane où il passait des heures à espionner ses voisins, la balançoire qui semblait pétrifiée, son ballon coincé dans un arbre, la fontaine qui ornait le jardin et qui ne jaillissait plus, .. tout cela ne serait plus qu’un souvenir. Il s’efforça de regarder attentivement chaque recoin, et d’en garder les moindres détails en mémoire. Au bout de la rue, au lieu de se morfondre, il ouvrit la bouche, et se transforma en moulin à paroles.

« On est bientôt arrivés ? Parce qu’elle est vachement nulle vot’voiture. Et au fait, Madame, je pourrais avoir une chambre rien qu’à moi ? Non ? Alors je veux la plus belle. »

Après deux longues heures, ils arrivèrent à bon port. Surexcité, Lincoln ouvrit la portière, dans le but de descendre et de découvrir le lieu. La directrice le rattrapa par le bras, et l’amena devant le coffre de la voiture.

« Jeune homme, tu ne crois quand même pas que je vais porter tes affaires toute seule ? »
« Ben je sais, c’est le conducteur qui doit le faire. »
« Heu, non. Ecoute moi Lincoln, ici ça ne marche pas exactement comme à ton ancienne maison. Tu dois respecter certaines règles, ainsi que les personnes. Alors le conducteur, comme tu le dis, conduit. Il ne s’occupe pas de tes affaires. Moi, je vais t’aider, pour ce qui est lourd par exemple. Mais tiens, prends juste ta peluche et ton petit sac, je m’occupe du reste, et je te fais visiter. »

Borné comme personne, le petit garçon attendit que la directrice ait le dos tourné une seconde, pour filer discrètement dans le Parc. C’était un Parc immense, verdoyant et excellemment bien entretenu, qui avait plein de cachettes, et une allure calme et reposante. Lincoln trouvait cela bien trop calme d’ailleurs, et comptait bien mettre de l’ambiance. Il continua son périple en terre inconnue, une sorte de cabane avec juste un toit, cachée entre les arbres, que l’on apercevait même à la lisière d’une forêt. Cet endroit l’intriguait. Et Mme Jones, la directrice de l’orphelinat, fit son apparition.

« Tu es sacrément têtu toi. »
« C’est quoi cette cabane ? »
« Cette cabane ? Je te le dis si tu me laisses t’accompagner et te faire visiter. Ça marche Lincoln ? »
« Hm .. » Il n’en avait pas la moindre envie mais dû mettre son entêtement de côté, ou presque. Il voulait vraiment savoir ce qu’était cette chose. « Vous me dîtes ce que c'est et vous pouvez venir. »
« Cette cabane n’en est pas vraiment une, c’est ce qu’on appelle un kiosque. C’est comme une cabane d’été, et qui n’est pas perchée dans les arbres. »
« Je préfère les cabanes. »

La visite continua, et elle alla de surprise en surprise pour le jeune homme. Après cette drôle de cabane, il visita l’intérieur de l’orphelinat. Il ressemblait étrangement au Manoir dans lequel il avait vécu ses quatre premières années, avec ces tableaux de maître accrochés aux murs, ses longs couloirs ornés de tapis, ses nombreuses pièces fermées à cadenas, ses lourdes portes en bois, ses vues imprenables du parc par les grandes fenêtres, ses cheminées, … Cependant, Lincoln n’y pensa même pas. Tout ce qui l’intéressait pour l’instant, c’était sa chambre, ses quartiers. Il en avait assez d’attendre et le fit comprendre à Mme Jones, qui soupira, et d’un sourire plus ou moins compréhensif, se résolut à l’amener devant sa chambre.
Lincoln poussa la porte et découvrit une chambre assez grande, lumineuse, avec du parquet brut et des murs blancs, qui contenait deux lits. Il regarda Mme Jones, qui lui montra du doigt la fenêtre, ou plutôt le garçon qui se tenait devant. Il s’appelait William.

William et Lincoln apprirent à se connaître au fil des jours, des mois puis des années. Ils eurent la chance de se rencontrer au bon moment, au bon endroit. L’un n’aurait pu vivre aussi bien sans l’autre dans cet orphelinat, où Mme Jones s’était révélée bien plus stricte et plus .. conne. N’ayons pas peur des mots. Elle estimait que le jour d’arrivée était le plus important, et s’efforçait de paraître la plus sympathique possible, pour mieux régner ensuite. Beaucoup de pensionnaires tremblaient devant elle, mais pas Will et Coln. Avec leurs histoires étrangement similaires, (ils ignorent qu’ils sont demi-frères), ils ont chacun leur fort caractère, semblable sur certains points ; ils ne savent parfois pas ce qu’ils veulent, mais ils le veulent c’est certain. Indécis et Bornés ? Parfaitement. Leur impulsivité, quant à elle, peut les rendre dans des situations complexes, situations dans lesquelles leurs comportements diffèrent totalement. Cela se vérifia d’ailleurs un soir d’été, lorsqu’ils avaient eu l’envie soudaine de faire un feu de camp dans le parc de l’Orphelinat. Mme Jones, alertée par une nuage de fumée noire, arriva en trombe dans un recoin verdoyant et les découvrit. La fureur se lisait dans ses yeux, à travers le regard de braise qu’elle jetait aux garçons, tout juste âgés de 11 ans.

MME JONES « VOUS ÊTES COMPLETEMENT FOUS !! IMAGINEZ UN PEU SI UN INCENDIE S’ETAIT DECLARE ! QUELLE INCONSCIENCE .. ET TOUJOURS LES MÊMES ! »
WILLIAM « J’ai rien fait moi ! »
LINCOLN « C’est ça ouais ! Put*in mais assume Will ! Avoue même que c’est toi qui as trouvé les allumettes ! »
WILLIAM « MAIS MERDE ‘COLN ! C’EST PAS MOI, JAI RIEN FAIT ! »
MME JONES « Ça suffit vous deux ! Entre le lâche & la balance, je suis servie ! »
LINCOLN « On voulait juste s’amuser, y’a rien à faire dans ce trou à rats. »
MME JONES, en soupirant. « Dans vos chambres. »

Lincoln et William se regardèrent, se sourirent et finirent par obéir. Il n’y avait aucun malaise entre eux, jamais. Ils étaient unis comme les deux doigts de la main, malgré leurs discordes assez .. fréquentes. Désormais, ils ne pourraient plus vivre l’un sans l’autre, c’était deux amis très proches, ils se sentaient comme des frères, allez savoir pourquoi ..
Ce fut ce soir-là, que tout changea à nouveau. Après l’arrivée à l’orphelinat, voilà qu’un nouvel évènement allait changer la vie de Lincoln. Alors qu’il était ressorti discrètement dans le parc, sans que Mme Jones le voit, pour récupérer son écharpe (qu’il avait oublié), une lumière l’aveugla, et une silhouette se profila. Au premier abord, il ne distinguait pas exactement ce qu’il sortait d’entre les arbres. Ce fut après quelques secondes qu’il se rendit compte, à sa grande surprise, qu’il s’agissait d’une personne, avec une sorte de baguette magique.

« EUH .. Bonsoir. Jpeux savoir qui vous êtes ? »
« Bonsoir, je m’appelle M. Owen, je suis professeur à l’école de magie de Hogwarts. Et je suis là pour te dire que tu as l’honneur de l’intégrer, dès cette nuit. »
« Par.. Pardon ? Une école de magie ? Mais ouais bien sûr. Et puis vous êtes venu comment ? Et .. ce bâton, c’est une baguette magique ? »
« On sl’a joue pas hautain avec moi, et tout ira pour le mieux, y’a pas de raison. Pour répondre à tes multiples questions, oui, Hogwarts est bien une école de magie, sinon comment expliquerais-tu que je sache lancer un sort avec ma baguette ? La lumière qui jaillissait de celle-ci était dû au sort Lumos. Tu l’apprendras en Première Année d’ailleurs. Cette année. Vas faire ta valise, et rejoins-moi ici. »
« Waow ! Je .. j’en reviens pas ! » Lincoln se pinça, histoire de voir s’il rêvé. Il sentit bien le pincement, pas de souci là-dessus. « Je reviens dans 5 minutes ! »
« Content que tu le prennes comme ça, je t’attends ici. Fais attention, personne ne doit te voir partir, ou même savoir que tu t’en vas. Tout est réglé, ne t’en fais pas. »

Certainement pas, il n’allait pas s’en faire le moins du monde. Enfin, si. Pour William. Il ne pouvait pas partir sans lui, le laisser seul ici, dans cet orphelinat. En même temps, il ne devait dire mot à propos de cela. Tiraillé entre ces deux choses, il rentra dans la chambre et fut plus qu’étonné de voir William boucler sa valise.

« Oh tu pars, toi aussi ? »
« Oui, j'y peux rien. Heuu .. pourquoi ‘’ Moi aussi ’’ ? »
« Une famille … d’accueil m’attend dehors, ils viennent de loin, c’est pour ça qu’il n’arrivent que maintenant. »
« Ah ouais ? Bah .. moi pareil. Ils .. ils viennent peut-être du même coin. On garde contact hein ? »
« Ouais. »

Il ne l’avouerait pas, mais ça blessait profondément Lincoln de se séparer de Will, son ami, son meilleur ami, son « frère ». Orgueil quand tu nous tiens.
Après une accolade entre potes, Lincoln partit de son côté, si excité à l’idée de devenir sorcier qu’il ne se posait même pas de questions quant au départ subit de William. Avait-il menti ? Se reverraient-ils ? Etait-ce la fin d’une belle histoire d’amitié ? Seul l’avenir le dirait.
Cet avenir arriva bien plus rapidement que Lincoln l’aurait cru. A peine débarqué sur la voie 9¾ qu’ils se retrouvèrent. De toute évidence, ils allaient dans la même direction.

« Will ?!! Me dis pas que … Oh lala ça va être génial ! »

Et ce fut vraiment génial. Lincoln était plus qu’heureux à Hogwarts ; il apprenait toutes les ficelles, sorts et enchantements pour devenir un excellent sorcier, se faisait des tas d’amis, volait sur un balai volant lors de match de Quidditch, vivait des aventures géniales, notamment avec William, et son compagnon ou sa copine du moment. En effet, absolument pas réticent face à l’amour, il avouait être bisexuel, sans pour autant avouer des sentiments, c’était une chose difficile pour lui. Lincoln était attentionné avec l’élu de son cœur, quand les autres n’étaient pas là. Il s’avérait être gentil et attachant mais fier, orgueilleux, hautain. Un savoureux mélange qui donne tout son charme au jeune Lloyd.

En cinquième année, il sortait avec un jeune homme, du nom de Lucas. C’était l’amour fou, jamais il n’aurait cru vivre ça un jour. Tout était parfait. Mais l’orgueil de Lincoln fit fuir sa moitié, celui avec qui il souhaitait partager bien plus qu’une partie de jambes en l’air. La rupture fut difficile, mais comme d’habitude, Lincoln ne montra aucune facette de sa tristesse, de son désespoir, et essaya tant bien que mal de passer à autre chose. Ce fut chose difficile moralement, certes, mais il y parvint, comme à chaque fois. Comment ? Cette fois ce fut grâce à une demoiselle, qui lui redonna le sourire, et le plaisir. Cette demoiselle n’était autre qu’une jolie brune, de qui Lincoln était proche, et ce, depuis leur première année. C’était un peu comme sa meilleure amie, il se sentait lui-même avec elle, qui l’aimait tendrement depuis plusieurs années. Ils vécurent deux mois de bonheur passionné. Deux mois seulement. Elle n’avait rien à voir là-dedans, la raison en était toute autre. Le plaisir charnel, c’était ça la vraie raison de leur rupture. Lincoln avait beau s’attacher à cette fille, il continuait d’aller voir ailleurs dès que l’occasion se présentait, c’était plus fort que lui. Seul avec elle, il ne pensait qu’à elle, ne vivait que pour elle et par elle, mais il suffisait pourtant d’une absence pour qu’un homme ou une femme l’aguiche légèrement et qu’il succombe à la tentation. Ces deux expériences furent les plus marquantes de sa vie amoureuse, qui l’avait fait grandir et lui avait au moins apporté une qualité .. le fait d’être plus serviable, du moins avec les gens qui le méritent selon lui. Malheureusement, cela ne lui a pas retiré de défaut, l’indécision fait toujours partie du jeune homme ; Lincoln aimerait parfois se poser, être sérieusement en couple et d’autres fois, se considère sacrément chanceux d’avoir sa part de liberté. La vie vaut d’être vécue, mais comment ?

Aujourd’hui, Lincoln est sur le point d’entamer sa dernière année à Hogwarts, l’année promet d’être riche en rebondissements. Plus en forme que jamais, l’orgueilleux mais attachant Lloyd entre en piste, aux côtés de William, son plus fidèle acolyte. Lincoln passa le seuil de la porte de la Grande Salle, pleine à craquer, arqua un sourcil et sourit. C’était ici, chez lui.

Bienvenue et merci de ton inscription yeah

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Bon courage pour la suite de ta fiche ^^ !

SERPENTARD

Pense à faire ta fiche de liens et de sujets pour bien intégrer ton personnage et n'ai pas peur d'aller vers les autres membres pour demander un RP. Peu d'entre eux mordent réellement. Et n'hésite pas à aller faire un tour dans le flood ou sur la ChatBox.
Et puis, si tu veux le faire, ne te retiens pas pour le prédéfini de ton demi-frère même si ça ne pourra pas être un William vu qu'on en a déjà un...

» W I L L I A M > My fucking personality ! [TERMINEE]