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| | | L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] |  |
| | | Auteur | Message |
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Invité
Invité
|  Sujet: L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] ![L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 26 Oct - 19:12 | |
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IDENTITÉ ;
Nom; Crane.
Prénoms; June Ichabod.
Surnom; June est bien assez court. Sinon, "Maître" me conviendra parfaitement! 
Âge; 17 ans.
Année; 7ème année.
Nationalité; Britannique.
Orientation Sexuelle; Hétéro.
Sang; Sang Pur.
MONDE MAGIQUE ;
Maison souhaitée; Slytherin. 
Baguette; 28cm, mélange de Bruyère et de Sureau, souple, rapide, contient un nerf de coeur de dragon. Bonne pour les duels.
Forme du Patronus; Un chacal.
Forme de l'Epouvantard; Lui-même, habillé en détenu d'Azkaban, le visage déformé par la folie avec, à ses côté, sa baguette cassée.
Animal de Compagnie; Un hibou Grand Duc répondant au nom de Archibald.
Métier Envisagé; Il ne le sait encore.
Dernière édition par June I. Crane le Dim 26 Oct - 19:38, édité 1 fois |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] Dim 26 Oct - 19:33 | |
| Chapitre I : A travers vous
Alice – « Tu m’aimes ? »
June – « Et toi, tu m’aimes ? »
Alice – « Je ne sais pas… Mais je suis bien avec toi. Alors ? »
June – « Alors… rien. »
Alice – « Rien ? C’est tout ce que je t’inspire ? »
June – « Non. Mais je voulais être gentil. Pour une fois… »
Alice – « Quoi ?! »
June – « Si je t’avais dit que tu m’inspirais du mépris, tu l’aurais mal pris. »
Alice – « Je t’inspire du mépris ?! »
June – « Tu vois, à force de chercher à savoir, tu te détruis… »
Alice – « Réponds clairement pour une fois ! Est-ce que tu m’aimes June ? »
June – « Mon cœur appartient déjà à une femme. »
Alice – « Ah oui ? Et qui est donc l’heureuse cocue ? »
June – « La liberté. »
Alice – « Pauvre con ! »
June Crane vu par Alice Todd :
« June est certainement le garçon le plus énigmatique que je connaisse, et Merlin sait que j’en connais beaucoup ! On ne sait jamais clairement ce qu’il pense, il faut dire qu’il n’est pas très franc comme gars… En fait, je dirais qu’il est même assez hypocrite. Impossible de deviner ses pensées ou de prévoir ce qu’il va faire, il incarne le mystère. Certes, son visage est expressif, surtout ses yeux, ses yeux magnifiques… mais ses traits sont trompeurs ! Le pire, c’est quand il se renferme dans sa coquille de « je suis fort, je suis dur, tu ne m’atteins pas ! ». Alors là, il devient carrément exécrable parce qu’on a beau lui sortir les pires monstruosités, il ne réagit pas. Parfois, il nous rit même au nez… c’est agaçant ! J’ai renoncé à lui faire entendre raison, il est bien trop borné pour moi ! Ce type est détestable quand on y réfléchit bien… mais en même temps, malgré son ton désintéressé, ses remarques cinglantes et son petit air suffisant, on ne peut s’empêcher de l’apprécier. Il est un peu comme Docteur Jekyll et Mister Hyde, acide en public et doux en intimité. C’est comme ça avec lui ! Il faut être seul à seul pour qu’il se relâche un peu et qu’il consente à être lui-même. Enfin, ce n’est pas pour me vanter mais j’ai la chance d’avoir sa confiance, chose fort rare. C’est sans doute pour cela que j’ai droit à quelques marques d’attention quand nous sommes tous les deux. Au fond, je pense que c’est quelqu’un de sensible et c’est pour cela que je m’y accroche. Il a une très grande part de féminité et ça me touche. Il n’est pas si mauvais qu’on le prétend… c’est juste une image qu’il se donne ! Mais je vous ennuie là, non ? »
***
Kyle – « Ah j’ai adoré quand t’as remballé la petite Gryffondor ! Quelle conne celle-là franchement ! »
June – « N'est-ce pas? »
Kyle – « Tu manœuvres toujours bien mec ! En plus, tu frappes bien là où ça fait mal, chapeau bas. »
June – « Je sais. Reste à déguster la réaction du préfet des Bouffons, je sens qu'il va encore se déchaîner! »
Kyle- « Ouais, c’est clair ! En fait, j’pense que tous les gens de cette maison sont trop… strange ! Ils créent des problèmes là où il ne devrait pas y en avoir. »
June – « C’est exactement ça… les lions sont stupides. »
Kyle – « Une cigarette ? »
June – « Menthe ? »
Kyle – « Désolé, j’ai grillé la dernière mentholée tout à l’heure… »
June – « Alors non, passe-moi un chewing gum. »
June Crane vu par Kyle Hollow :
« Ce mec c’est vraiment le plus grand dégueulasse des dégueulasses ! Franchement, j’pense pas qu’il y ait pire que lui. Il trouve toujours bien une petite parole moqueuse, un petit pic bien placé. Par exemple, l’autre jour, y’avait une petite Gryffondor qui regardait sa copine, Alice, avec insistance. Au bout de cinq minutes, il lui a dit, le sourire aux lèvres, la voix acide : « Regarde la bien car elle est pourvue de tous les atouts que tu n’auras jamais. ». Je vous le dis moi, mieux vaut compter June dans ses amis que dans ses ennemis parce que, il fait des ravages ! J’avoue que ça me fait bien marrer, normal, je déteste ses cibles. Mais quand même, quand j’y réfléchis, j’me dis que je n’aimerais vraiment pas être à la place de ses martyrs. Oui, j’emploie ce mot sans abuser de son sens ! Parce que quand il prend quelqu’un en grippe, ce quelqu’un a plutôt intérêt à ne pas mettre le nez dehors pendant plusieurs mois ! A côté de ça, c’est un super pote qui ne vous laissera jamais tomber. Bon, il lui arrive de péter les plombs de temps à autres, comme tout le monde, mais ce n’est pas le genre de type à vous faire des coups foireux sans raison. Tant que vous ne le décevez pas, il reste un allié de taille, un confident incorruptible et une épaule sur qui se reposer. Son plus gros défaut ? J’dirais que c’est d’être indéfinissable. Ouais, c’est un grand malade imprévisible ! En même temps, c’est pour ça qu’on l’aime ! Mais en fait, pourquoi vous intéresse-t-il tant ? »
***
Drew – « Bon, tu bouges ? »
June – « Mais je t’en prie, passe donc. »
Drew – « T’es sourd ou quoi ? »
June – « Comme tu voudras. »
Drew – « Non mais sérieux, j’ai pas que ça à faire ! Soit tu dégages, soit j’vais me sentir obligé de te faire dégager. »
June – « Oh mais rassure-toi, depuis que ton odeur empeste les lieux, je n’ai plus qu’une envie : partir. »
Drew – « Répète un peu ?! »
June – « Si tu étais plus mince, tu n’aurais aucun mal à passer entre moi et ce mur… Seulement, tu dois faire au minimum… le poids d’un bébé cachalot. »
Drew – « Ta gueule connard ! Tu crois que c’est mieux de ressembler à une fillette de douze ans ? »
June – « Franchement, à te voir dégouliner comme ça, oui. »
Drew – « J’vais te tuer ! »
June – « Si ça peut te faire fondre, ne t’en prive pas ! »
June Crane vu par Drew Mccormick :
« Vous voulez que je vous parle de cette petite ordure ? Et bien allons-y, de toute manière, je n’ai rien d’autre à faire… Ce gars se prend pour le roi de l’école alors que c’est le roi des nains ! Un vrai naze, je peux vous le garantir ! Il doit faire quarante kilos tout mouillé et il joue à la brute épaisse, c’est vraiment lamentable. Ce qui est vraiment ridicule, c’est quand il vous fixe de ses yeux froids… j’avoue que c’est dérangeant au début, parce qu’on se sent plein de complexes, mais en même temps, une fois qu’on s’y habitue, c’en devient carrément risible. Mais qu’est ce qu’il croit franchement ? Que parce qu’il est l’idole des filles de sa maison ça en fait un maître tout puissant ? Pff… Laissez-moi rire ! Et en plus d’être con, c’est un salaud. Oui, je l’affirme ! Qui ne sait pas que ce cher June se tape toutes les nanas qui passent alors qu’il est officiellement avec Alice depuis plus de huit mois ? J’pense qu’il n’y a qu’elle qui ne voit rien… Ou plutôt, qui fait semblant de ne rien voir. C’est dommage parce que c’était une fille bien Alice… mais depuis qu’elle traîne avec lui, ça n’a plus rien avoir. En fait, tous ceux qui le côtoient deviennent de vrais poisons, c’est incroyable, à croire qu’il les contamine. Vous savez quoi ? J’vais m’arrêter là parce que rien que d’en parler, j’en ai la nausée ! »
II.Et Slytherin trouva son prince.
Un océan d'incompréhension, une vague d'amour, un torrent de déception... tout cela tenait en deux pupilles malheureuses et embuées. Elle le regardait, partagée entre l'envie de le tuer et de lui sauter dans les bras. Ah ce June, ce détestable June! Il avait suffi d'une seconde de faiblesse pour qu'il la charme, l'envoûte. Une nuit torride, des heures de plaisir, quelques murmures plus doux que le paradis et ce regard indéffinissable, il n'avait pas eu besoin de plus d'artifices pour que Léa compte parmi ses adoratrices. Mais, déjà, elle comprenait que le rêve était fini, que le célèbre courreur de jupons l'avait rayée de sa liste. Infâme personnage, ôdieux narcisse! Comment pouvait-on traîter les femmes avec si peu de respect? Tel le vicomte de Valmont, il usait de toutes les ruses pour croquer la pomme défendue, sans état d'âme. Les demoiselles le savaient, pourtant, elles ne pouvaient s'empêcher de glisser dans ses filets dès la moindre occasion. Il était le Roméo des temps modernes, un prince contemporain... un salaud en gros.
Rhétorique acide, discours méprisant, le bougre n'était pas vraiment aimé par la gente masculine des autres maisons. Il suffisait d'ailleurs de constater la mine enragée du meilleur ami de Léa pour en avoir la preuve. Ce dernier détestait le petit prince des Serpentards depuis toujours, comme la majorité des garçons. Jalousie? Raison? Certainement un peu des deux. Quant à lui, June s'en amusait. Comme à son habitude, il traversait la Grande salle d'un pas assuré, léger, un sourire mesquin aux lèvres et le regard plein de supériorité mal placée. Ah qu'il était bon de sentir les yeux envieux et haineux dans son dos, qu'il était agréable de deviner la tristesse de la naïve princesse!
Diabolique à souhait, il prit place à la table de verts et argent qui le gratiffièrent de diverses éloges. Crane, l'idole des jeunes serpents. Machinalement, il passa ses longs doigts fins dans sa tignasse sombre, découvrant ses prunelles azures. On avait rarement vu autant de paradoxe dans des pupilles. Douceur acérée, tempête calme, on ne pouvait définir son sentiment exact. Avec lui, pas d'empathie, on ne savait pas à quoi s'attendre. Tel un roi, il parcourut l'assemblée du regard et trouva un bouffon. Son choix se porta tout naturellement sur un Poufsouffle faible et inconnu. D'une voix forte, traînante, il dit :
June - « Tiens donc! Les chiens mangent à table maintenant? »
Hilarité générale chez les vipères. Le Poufsouffle, surpris par l'attaque, ne sut que répondre et déglutit difficilement. Préférant éviter un affront direct avec le plus venimeux des reptiles, il fit profile bas et se concentra sur son assiette à moitié vide. Victoire, jouissance malsaine! June se colla un sourire carnassier aux lèvres et continua à fixer le malheureux, une lueur machiavélique dans les yeux. Il fallait amuser les foules, leur prouver sa supériorité naturelle et, cette fois encore, il l'avait fait avec brio. A ce magnifique tableau de tyrannie manquait la reine. Un souverain sans épouse n'était pas un souverain accompli. Pour se faire, l'adolescent avait su choisir la perle parmi les perles; Alice Todd. Belle, intelligente, raffinée, à forte personnalité, il n'aurait pu rêver mieux. Voilà près d'un an que leur idylle avait commencé et malgré les infidélités répétées de Crane, elle n'était pas prête de se terminer. Elle était la seule qui comptât vraiment, la seule qui le connaissait au delà du masque de pédant et mortel cobra. Les autres? Des distractions, un jeu incessant, une addiction pour la chair... rien de plus.
Il était rare de voir les tourteraux manger ensembles, et pour cause, Alice n'allait tout de même pas ripailler avec les maîtresses de son amant! A Serpentard, les demoiselles qui ne s'étaient pas étendues dans la couchette du don juan se comptaient sur les doigts d'une main. Et malgré ça, le couple survivait. Peut-être était-ce dû au fait que la Belle connaissait tout de lui, de l'emprisonnement de son père au caractère libertin de sa mère, de son enfance dans l'outrageuse opulence à son adolescence chaotique. Car, si le sorcier avait connu un début de vie des plus merveilleux, on ne pouvait pas en dire autant du reste. Son paternel avait été arrêté pour homicide volontaire sur la personne du secrétaire général du Ministère de la magie alors que l'héritier n'avait que douze ans. S'en étaient suivis d'innombrables procès, recours, avocats et scandales. Le blason des Crane avait été sali à jamais, taché de sang innocent et orné de fonds détournés. Blanchissement d'argent, corruption, chantage, Ichabod Crane – le papa – n'avait pas lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins. Quant à Joanna, son épouse, elle s'était consolée dans les bras des sorciers les plus riches d'angleterre, une maîtresse parfaite au corps épargné par le temps. Le descendant s'était réfugié dans l'excès. L'excès de tabac, de filles, de méchanceté, de mauvais coups, de soirées... un sale gosse pourri gâté comme on en voyait de plus en plus, un privilégié dont la fortune équivalait la noirceur de l'âme.
Et tandis que le fils de Satan mangeait en paix, nourrissant le monstre sans scrupules qui l'animait, une demoiselle aux yeux rougis se maîtrisait tant bien que mal pour ne pas éclater en sanglots. Léa n'avait pas eu droit à un signe d'attention, même pas un regard. Jamais on ne l'avait salie ainsi, jamais on ne l'avait traitée de la sorte. Il lui avait volé sa pureté, l'avait trompée. Peut-être aurait-elle dû ouvrir les yeux plus tôt? Car, désormais, elle ne voyait plus le prince fougueux de la veille mais un poison mortel et sulfurique, un démon au visage d'ange.
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| | | | | Choixpeau Magique
Le Choixpeau a toujours raison
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| | Sujet: Re: L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] Dim 26 Oct - 19:59 | |
| Une fiche très bien écrite j'aime ton style, les mots choisis sont précis et concis, un beau salopard ce personnage le Prince des Serpentard promet  . Ainsi Serpentard voulait un sang-purChez les sorciers de son académieEt qu'ils aient comme lui ruse et rouerie.Un jeune homme prétentieux, décadent & insolent tâché par un passé sombre et point des plus heureux. Serpentard !+ 6 points pour la maison Enjoy ! N'hésite pas à flooder, poster évidemment. Des liens importants t'ont été envoyés dans le message de bienvenue, regarde -les | |
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| | Sujet: Re: L'Incube orgueilleux. June Ichabod Crane. [FINIE] | |
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